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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00412
  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

I. 412

 Un taxi était venu me chercher à l'hôtel vers dix heures, ce matin-là,

et nous roulions lentement sur une route ensoleillée qui montait entre les arbres, mon fils à côté de

moi[d1] sur la banquette arrière, qui était assistout seul se tenait  comme un grand,<d1> ses

courtes jambes bien écartées sur le siège et les deux pieds immobiles à la

verticale, chaussée de petites bottines en cuir. Un e de ses mains reposait

sur ma cuisse et de l'autre, iltenait précieusement serrait ???   contre sa poitrine

sa vieille sandale en plastique trouvée sur la plage. Sa têtine transparente

remuait lentement dans sa bouche et ilregardait droit devant lui, l' avait un  air

tellement  pensif.

                                                  mais n'arrêtait pas de parler, symptahique et??? ,???  qui???  dans le visage 

Le chauffeur, qui état un peu sourd, me faisait la conversation depuis

le départ de l'hôtel, etvoulant tout savoir ou presque de mon fils,???  lui-même un petit-fils de bourgeois, (la conversation s'arrêtait là entre nous)et lorsque nous eûmes épuisé le sujet, il enchaîna sur --> | des considérations plus que des sur le tourisme hivernal.  j'étais???   obligé de répéter les réponses évasivesquelques phrases évasives qui n'engageaient à rien 

que je donnais à ses questions que je formulais à l'occasion ???  questions  en réponse à ses questions . Oui, c'est possible, hurlais-je de temps

à autre,et et  je regardais ???  le paysage défiler à travers la vitre (les

sourds me fatiguent) ,en fait).

Le chauffeur, qui était sympathique et un peu sourd, d'une cinquantaine

d'années

Mon fils tressautait chaque fois que j'élevais ainsi la voix, mais je lui

caressais la main pour le rassurer, et il continuait de têter

I. 412

 Un taxi était venu me chercher à l'hôtel vers dix heures, ce matin-là,

et nous roulions lentement sur une route ensoleillée , mon fils à côté de

moi sur la banquette arrière, qui était assistout seul   comme un grand, ses

courtes jambes bien écartées sur le siège et les deux pieds immobiles à la

verticale, chaussée de petites bottines en cuir. Un e de ses mains reposait

sur ma cuisse et de l'autre, iltenait précieusement  contre sa poitrine

sa vieille sandale en plastique trouvée sur la plage. Sa têtine transparente

remuait lentement dans sa bouche et ilregardait droit devant lui, l'   air

  pensif.

                                                   

Le chauffeur, qui état un peu sourd, me faisait la conversation depuis

le départ de l'hôtel, et  j'étais   obligé de répéter les réponses évasives 

que je donnais à ses questions  . Oui, c'est possible, hurlais-je de temps

à autre,et   je regardais  le paysage défiler à travers la vitre (les

sourds me fatiguent) ,.

Le chauffeur, qui était sympathique et un peu sourd, d'une cinquantaine

d'années

Mon fils tressautait chaque fois que j'élevais ainsi la voix, mais je lui

caressais la main pour le rassurer, et il continuait de têter

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  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

I. 412

 Un taxi était venu me chercher à l'hôtel vers dix heures, ce matin-là,

et nous roulions lentement sur une route ensoleillée qui montait entre les arbres, mon fils à côté de

moi[d1] sur la banquette arrière, qui était assistout seul se tenait  comme un grand,<d1> ses

courtes jambes bien écartées sur le siège et les deux pieds immobiles à la

verticale, chaussée de petites bottines en cuir. Un e de ses mains reposait

sur ma cuisse et de l'autre, iltenait précieusement serrait ???   contre sa poitrine

sa vieille sandale en plastique trouvée sur la plage. Sa têtine transparente

remuait lentement dans sa bouche et ilregardait droit devant lui, l' avait un  air

tellement  pensif.

                                                  mais n'arrêtait pas de parler, symptahique et??? ,???  qui???  dans le visage 

Le chauffeur, qui état un peu sourd, me faisait la conversation depuis

le départ de l'hôtel, etvoulant tout savoir ou presque de mon fils,???  lui-même un petit-fils de bourgeois, (la conversation s'arrêtait là entre nous)et lorsque nous eûmes épuisé le sujet, il enchaîna sur --> | des considérations plus que des sur le tourisme hivernal.  j'étais???   obligé de répéter les réponses évasivesquelques phrases évasives qui n'engageaient à rien 

que je donnais à ses questions que je formulais à l'occasion ???  questions  en réponse à ses questions . Oui, c'est possible, hurlais-je de temps

à autre,et et  je regardais ???  le paysage défiler à travers la vitre (les

sourds me fatiguent) ,en fait).

Le chauffeur, qui était sympathique et un peu sourd, d'une cinquantaine

d'années

Mon fils tressautait chaque fois que j'élevais ainsi la voix, mais je lui

caressais la main pour le rassurer, et il continuait de têter

I. 412

 Un taxi était venu me chercher à l'hôtel vers dix heures, ce matin-là,

et nous roulions lentement sur une route ensoleillée , mon fils à côté de

moi sur la banquette arrière, qui était assistout seul   comme un grand, ses

courtes jambes bien écartées sur le siège et les deux pieds immobiles à la

verticale, chaussée de petites bottines en cuir. Un e de ses mains reposait

sur ma cuisse et de l'autre, iltenait précieusement  contre sa poitrine

sa vieille sandale en plastique trouvée sur la plage. Sa têtine transparente

remuait lentement dans sa bouche et ilregardait droit devant lui, l'   air

  pensif.

                                                   

Le chauffeur, qui état un peu sourd, me faisait la conversation depuis

le départ de l'hôtel, et  j'étais   obligé de répéter les réponses évasives 

que je donnais à ses questions  . Oui, c'est possible, hurlais-je de temps

à autre,et   je regardais  le paysage défiler à travers la vitre (les

sourds me fatiguent) ,.

Le chauffeur, qui était sympathique et un peu sourd, d'une cinquantaine

d'années

Mon fils tressautait chaque fois que j'élevais ainsi la voix, mais je lui

caressais la main pour le rassurer, et il continuait de têter

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