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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00415
  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

I. 415

Un taxi était venu me chercher à l'hôtelvers dix heures  ce matin-là,

etla voiture nous  évoluaitions lentementsur les lacets  d'une routeen  lacets ensoleilléeet déserte

qui montait entre les arbres. Mon fils se tenait à côté de moi, qui était

assis comme un grand sur la banquette arrière, ses courtes jambes bien

écartées sur le siège et les deux pieds immobiles à la verticale, chaussés

de petites bottines en cuir. Une de ses mains reposait sur ma cuisse et

de l'autre, il tenait serré contrelui sa poitrine sa vieille sandale en plastique

trouvée sur la plage. Sa têtine transparente remuaitlentement doucement  dans sa

bouche et il avait un air terriblement sérieux et pensif. Le chauffeur,

dont j'apercevaisle haut du visage dans le rétroviseur la nuque massive devant moi, conduisait

sans dire un mot. Il portait des lunettes teintées très sombres et je

sentais à d'imperceptibles mouvements de sa tête qu'il m'observait

tirant à l'occasion une bouffféede la cigarette de mégot  en papiermais maïs presque éteint qu'il

n'otait jamais de sa gardait ???  dans la  bouche. Il portait des lunettes à verres teintésderrière lesquelles  

et  je senrtaisà d'imperceptibles mouvement de sa tête qu'ilne cessait de m'observait

régulièrement dans le rétroviseur. Sur le tableau de bord était fixé

un petit cadre en forme de coeur

I. 415

Un taxi était venu me chercher à l'hôtelvers dix heures  ce matin-là,

etla voiture   évoluait lentementsur les lacets  d'une route ensoleillée

qui montait entre les arbres. Mon fils se tenait à côté de moi, qui était

assis comme un grand sur la banquette arrière, ses courtes jambes bien

écartées sur le siège et les deux pieds immobiles à la verticale, chaussés

de petites bottines en cuir. Une de ses mains reposait sur ma cuisse et

de l'autre, il tenait serré contrelui  sa vieille sandale en plastique

trouvée sur la plage. Sa têtine transparente remuaitlentement   dans sa

bouche et il avait un air terriblement sérieux et pensif. Le chauffeur,

dont j'apercevaisle haut du visage dans le rétroviseur , conduisait

sans dire un mot. Il portait des lunettes teintées très sombres et je

sentais à d'imperceptibles mouvements de sa tête qu'il m'observait

tirant à l'occasion une bouffféede la cigarette   en papiermais  qu'il

n'otait jamais de sa   bouche. Il portait des lunettes à verres teintés 

et  je senrtaisà d'imperceptibles mouvement de sa tête qu'il m'observait

régulièrement dans le rétroviseur. Sur le tableau de bord était fixé

un petit cadre en forme de coeur

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  • Tapuscrit corrigé
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I. 415

Un taxi était venu me chercher à l'hôtelvers dix heures  ce matin-là,

etla voiture nous  évoluaitions lentementsur les lacets  d'une routeen  lacets ensoleilléeet déserte

qui montait entre les arbres. Mon fils se tenait à côté de moi, qui était

assis comme un grand sur la banquette arrière, ses courtes jambes bien

écartées sur le siège et les deux pieds immobiles à la verticale, chaussés

de petites bottines en cuir. Une de ses mains reposait sur ma cuisse et

de l'autre, il tenait serré contrelui sa poitrine sa vieille sandale en plastique

trouvée sur la plage. Sa têtine transparente remuaitlentement doucement  dans sa

bouche et il avait un air terriblement sérieux et pensif. Le chauffeur,

dont j'apercevaisle haut du visage dans le rétroviseur la nuque massive devant moi, conduisait

sans dire un mot. Il portait des lunettes teintées très sombres et je

sentais à d'imperceptibles mouvements de sa tête qu'il m'observait

tirant à l'occasion une bouffféede la cigarette de mégot  en papiermais maïs presque éteint qu'il

n'otait jamais de sa gardait ???  dans la  bouche. Il portait des lunettes à verres teintésderrière lesquelles  

et  je senrtaisà d'imperceptibles mouvement de sa tête qu'ilne cessait de m'observait

régulièrement dans le rétroviseur. Sur le tableau de bord était fixé

un petit cadre en forme de coeur

I. 415

Un taxi était venu me chercher à l'hôtelvers dix heures  ce matin-là,

etla voiture   évoluait lentementsur les lacets  d'une route ensoleillée

qui montait entre les arbres. Mon fils se tenait à côté de moi, qui était

assis comme un grand sur la banquette arrière, ses courtes jambes bien

écartées sur le siège et les deux pieds immobiles à la verticale, chaussés

de petites bottines en cuir. Une de ses mains reposait sur ma cuisse et

de l'autre, il tenait serré contrelui  sa vieille sandale en plastique

trouvée sur la plage. Sa têtine transparente remuaitlentement   dans sa

bouche et il avait un air terriblement sérieux et pensif. Le chauffeur,

dont j'apercevaisle haut du visage dans le rétroviseur , conduisait

sans dire un mot. Il portait des lunettes teintées très sombres et je

sentais à d'imperceptibles mouvements de sa tête qu'il m'observait

tirant à l'occasion une bouffféede la cigarette   en papiermais  qu'il

n'otait jamais de sa   bouche. Il portait des lunettes à verres teintés 

et  je senrtaisà d'imperceptibles mouvement de sa tête qu'il m'observait

régulièrement dans le rétroviseur. Sur le tableau de bord était fixé

un petit cadre en forme de coeur

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