I. 415
Un taxi était venu me chercher à l'hôtelvers dix heures ce matin-là,
etla voiture nous évoluaitions lentementsur les lacets d'une routeen lacets ensoleilléeet déserte
qui montait entre les arbres. Mon fils se tenait à côté de moi, qui était
assis comme un grand sur la banquette arrière, ses courtes jambes bien
écartées sur le siège et les deux pieds immobiles à la verticale, chaussés
de petites bottines en cuir. Une de ses mains reposait sur ma cuisse et
de l'autre, il tenait serré contrelui sa poitrine sa vieille sandale en plastique
trouvée sur la plage. Sa têtine transparente remuaitlentement doucement dans sa
bouche et il avait un air terriblement sérieux et pensif. Le chauffeur,
dont j'apercevaisle haut du visage dans le rétroviseur la nuque massive devant moi, conduisait
sans dire un mot. Il portait des lunettes teintées très sombres et je
sentais à d'imperceptibles mouvements de sa tête qu'il m'observait
tirant à l'occasion une bouffféede la cigarette de mégot en papiermais maïs presque éteint qu'il
n'otait jamais de sa gardait ??? dans la bouche. Il portait des lunettes à verres teintésderrière lesquelles
et je senrtaisà d'imperceptibles mouvement de sa tête qu'ilne cessait de m'observait
régulièrement dans le rétroviseur. Sur le tableau de bord était fixé
un petit cadre en forme de coeur
I. 415
Un taxi était venu me chercher à l'hôtelvers dix heures ce matin-là,
etla voiture évoluait lentementsur les lacets d'une route ensoleillée
qui montait entre les arbres. Mon fils se tenait à côté de moi, qui était
assis comme un grand sur la banquette arrière, ses courtes jambes bien
écartées sur le siège et les deux pieds immobiles à la verticale, chaussés
de petites bottines en cuir. Une de ses mains reposait sur ma cuisse et
de l'autre, il tenait serré contrelui sa vieille sandale en plastique
trouvée sur la plage. Sa têtine transparente remuaitlentement dans sa
bouche et il avait un air terriblement sérieux et pensif. Le chauffeur,
dont j'apercevaisle haut du visage dans le rétroviseur , conduisait
sans dire un mot. Il portait des lunettes teintées très sombres et je
sentais à d'imperceptibles mouvements de sa tête qu'il m'observait
tirant à l'occasion une bouffféede la cigarette en papiermais qu'il
n'otait jamais de sa bouche. Il portait des lunettes à verres teintés
et je senrtaisà d'imperceptibles mouvement de sa tête qu'il m'observait
régulièrement dans le rétroviseur. Sur le tableau de bord était fixé
un petit cadre en forme de coeur
I. 415
Un taxi était venu me chercher à l'hôtelvers dix heures ce matin-là,
etla voiture nous évoluaitions lentementsur les lacets d'une routeen lacets ensoleilléeet déserte
qui montait entre les arbres. Mon fils se tenait à côté de moi, qui était
assis comme un grand sur la banquette arrière, ses courtes jambes bien
écartées sur le siège et les deux pieds immobiles à la verticale, chaussés
de petites bottines en cuir. Une de ses mains reposait sur ma cuisse et
de l'autre, il tenait serré contrelui sa poitrine sa vieille sandale en plastique
trouvée sur la plage. Sa têtine transparente remuaitlentement doucement dans sa
bouche et il avait un air terriblement sérieux et pensif. Le chauffeur,
dont j'apercevaisle haut du visage dans le rétroviseur la nuque massive devant moi, conduisait
sans dire un mot. Il portait des lunettes teintées très sombres et je
sentais à d'imperceptibles mouvements de sa tête qu'il m'observait
tirant à l'occasion une bouffféede la cigarette de mégot en papiermais maïs presque éteint qu'il
n'otait jamais de sa gardait ??? dans la bouche. Il portait des lunettes à verres teintésderrière lesquelles
et je senrtaisà d'imperceptibles mouvement de sa tête qu'ilne cessait de m'observait
régulièrement dans le rétroviseur. Sur le tableau de bord était fixé
un petit cadre en forme de coeur
I. 415
Un taxi était venu me chercher à l'hôtelvers dix heures ce matin-là,
etla voiture évoluait lentementsur les lacets d'une route ensoleillée
qui montait entre les arbres. Mon fils se tenait à côté de moi, qui était
assis comme un grand sur la banquette arrière, ses courtes jambes bien
écartées sur le siège et les deux pieds immobiles à la verticale, chaussés
de petites bottines en cuir. Une de ses mains reposait sur ma cuisse et
de l'autre, il tenait serré contrelui sa vieille sandale en plastique
trouvée sur la plage. Sa têtine transparente remuaitlentement dans sa
bouche et il avait un air terriblement sérieux et pensif. Le chauffeur,
dont j'apercevaisle haut du visage dans le rétroviseur , conduisait
sans dire un mot. Il portait des lunettes teintées très sombres et je
sentais à d'imperceptibles mouvements de sa tête qu'il m'observait
tirant à l'occasion une bouffféede la cigarette en papiermais qu'il
n'otait jamais de sa bouche. Il portait des lunettes à verres teintés
et je senrtaisà d'imperceptibles mouvement de sa tête qu'il m'observait
régulièrement dans le rétroviseur. Sur le tableau de bord était fixé
un petit cadre en forme de coeur