I. 414
Un taxi était venu me chercher à l'hôtel vers dix heures, ce matin-là,
et nous roulions lentement sur une route ensoleillée qui montait entre les
arbres. Mon fils se tenait à côté de moi, qui était assis comme un grand
sur la banquette arrière, ses courtes jambes bien écartées sur le siège
et les deux pieds immobiles à la verticale, chaussés de petites bottines
en cuir. Une de ses mains reposait sur ma cuisse et de l'autre, ilserrait tenait tenait serrée
tendrement contre sa poitrine contre sa poitrine sa vieille sandale en plastique trouvée
sur la plage. Sa têtine transparente remuait lentement dans sa bouche et
il avait un air terriblementsérieux et pensif.
I. 414
Un taxi était venu me chercher à l'hôtel vers dix heures, ce matin-là,
et nous roulions lentement sur une route ensoleillée qui montait entre les
arbres. Mon fils se tenait à côté de moi, qui était assis comme un grand
sur la banquette arrière, ses courtes jambes bien écartées sur le siège
et les deux pieds immobiles à la verticale, chaussés de petites bottines
en cuir. Une de ses mains reposait sur ma cuisse et de l'autre, ilserrait
tendrement contre sa poitrine sa vieille sandale en plastique trouvée
sur la plage. Sa têtine transparente remuait lentement dans sa bouche et
il avait un air terriblement pensif.
I. 414
Un taxi était venu me chercher à l'hôtel vers dix heures, ce matin-là,
et nous roulions lentement sur une route ensoleillée qui montait entre les
arbres. Mon fils se tenait à côté de moi, qui était assis comme un grand
sur la banquette arrière, ses courtes jambes bien écartées sur le siège
et les deux pieds immobiles à la verticale, chaussés de petites bottines
en cuir. Une de ses mains reposait sur ma cuisse et de l'autre, ilserrait tenait tenait serrée
tendrement contre sa poitrine contre sa poitrine sa vieille sandale en plastique trouvée
sur la plage. Sa têtine transparente remuait lentement dans sa bouche et
il avait un air terriblementsérieux et pensif.
I. 414
Un taxi était venu me chercher à l'hôtel vers dix heures, ce matin-là,
et nous roulions lentement sur une route ensoleillée qui montait entre les
arbres. Mon fils se tenait à côté de moi, qui était assis comme un grand
sur la banquette arrière, ses courtes jambes bien écartées sur le siège
et les deux pieds immobiles à la verticale, chaussés de petites bottines
en cuir. Une de ses mains reposait sur ma cuisse et de l'autre, ilserrait
tendrement contre sa poitrine sa vieille sandale en plastique trouvée
sur la plage. Sa têtine transparente remuait lentement dans sa bouche et
il avait un air terriblement pensif.