• Accueil
  • Le projet
  • L'inventaire
  • Exploration des brouillons
  • Expérimentations
  • Créations
  • À propos
  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00427
  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

I. 427

Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et

je quittai la terrasse en escaladant sans bruit une petite porte de garage

grillagée qui donnait sur la route. La lune était pleine dans le ciel, que

voilaient en partie de longues volutes de nuages noirs qui glissaient

dans son halo comme des lambeaux d'étoffe déchirées.Le vent, qui soufflait en rafales, faisait ployer lourdement à chaque rafale de vent  La cime des arbres

ployait lourdement sous le vent, et je m'engageai en silence sur la place

du village, où une cabine téléphonique s'élevait dans la pénombre, faible-

ment éclairée par la lune, tandis qu'une fourgonette blanche que je n'avais

jamais vue était garée au loin devant la façade grise et silencieuse d'une

maison abandonnée.

Le vent s'était levé,qui et  faisait ployer lourdement la cime des arbres

dans un bruissement continu régulier  de feuillage, et, après avoir suivi une mau-

vaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute parsemée d'ornière et

de cailloux, je débouchai sur la place du village

I. 427

Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et

je quittai la terrasse en escaladant sans bruit une petite porte de garage

grillagée qui donnait sur la route. La lune était pleine dans le ciel, que

voilaient en partie de longues volutes de nuages noirs qui glissaient

dans son halo comme des lambeaux d'étoffe déchirée.  La cime des arbres

ployait lourdement sous le vent, et je m'engageai en silence sur la place

du village, où une cabine téléphonique s'élevait dans la pénombre, faible-

ment éclairée par la lune, tandis qu'une fourgonette blanche que je n'avais

jamais vue était garée au loin devant la façade grise et silencieuse d'une

maison abandonnée.

Le vent s'était levé,qui   faisait ployer lourdement la cime des arbres

dans un bruissement continu   de feuillage, et, après avoir suivi une mau-

vaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute parsemée d'ornière et

de cailloux, je débouchai sur la place du village

  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

I. 427

Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et

je quittai la terrasse en escaladant sans bruit une petite porte de garage

grillagée qui donnait sur la route. La lune était pleine dans le ciel, que

voilaient en partie de longues volutes de nuages noirs qui glissaient

dans son halo comme des lambeaux d'étoffe déchirées.Le vent, qui soufflait en rafales, faisait ployer lourdement à chaque rafale de vent  La cime des arbres

ployait lourdement sous le vent, et je m'engageai en silence sur la place

du village, où une cabine téléphonique s'élevait dans la pénombre, faible-

ment éclairée par la lune, tandis qu'une fourgonette blanche que je n'avais

jamais vue était garée au loin devant la façade grise et silencieuse d'une

maison abandonnée.

Le vent s'était levé,qui et  faisait ployer lourdement la cime des arbres

dans un bruissement continu régulier  de feuillage, et, après avoir suivi une mau-

vaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute parsemée d'ornière et

de cailloux, je débouchai sur la place du village

I. 427

Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et

je quittai la terrasse en escaladant sans bruit une petite porte de garage

grillagée qui donnait sur la route. La lune était pleine dans le ciel, que

voilaient en partie de longues volutes de nuages noirs qui glissaient

dans son halo comme des lambeaux d'étoffe déchirée.  La cime des arbres

ployait lourdement sous le vent, et je m'engageai en silence sur la place

du village, où une cabine téléphonique s'élevait dans la pénombre, faible-

ment éclairée par la lune, tandis qu'une fourgonette blanche que je n'avais

jamais vue était garée au loin devant la façade grise et silencieuse d'une

maison abandonnée.

Le vent s'était levé,qui   faisait ployer lourdement la cime des arbres

dans un bruissement continu   de feuillage, et, après avoir suivi une mau-

vaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute parsemée d'ornière et

de cailloux, je débouchai sur la place du village

Mentions légales - Crédits - Code source