I. 427
Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et
je quittai la terrasse en escaladant sans bruit une petite porte de garage
grillagée qui donnait sur la route. La lune était pleine dans le ciel, que
voilaient en partie de longues volutes de nuages noirs qui glissaient
dans son halo comme des lambeaux d'étoffe déchirées.Le vent, qui soufflait en rafales, faisait ployer lourdement à chaque rafale de vent La cime des arbres
ployait lourdement sous le vent, et je m'engageai en silence sur la place
du village, où une cabine téléphonique s'élevait dans la pénombre, faible-
ment éclairée par la lune, tandis qu'une fourgonette blanche que je n'avais
jamais vue était garée au loin devant la façade grise et silencieuse d'une
maison abandonnée.
Le vent s'était levé,qui et faisait ployer lourdement la cime des arbres
dans un bruissement continu régulier de feuillage, et, après avoir suivi une mau-
vaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute parsemée d'ornière et
de cailloux, je débouchai sur la place du village
I. 427
Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et
je quittai la terrasse en escaladant sans bruit une petite porte de garage
grillagée qui donnait sur la route. La lune était pleine dans le ciel, que
voilaient en partie de longues volutes de nuages noirs qui glissaient
dans son halo comme des lambeaux d'étoffe déchirée. La cime des arbres
ployait lourdement sous le vent, et je m'engageai en silence sur la place
du village, où une cabine téléphonique s'élevait dans la pénombre, faible-
ment éclairée par la lune, tandis qu'une fourgonette blanche que je n'avais
jamais vue était garée au loin devant la façade grise et silencieuse d'une
maison abandonnée.
Le vent s'était levé,qui faisait ployer lourdement la cime des arbres
dans un bruissement continu de feuillage, et, après avoir suivi une mau-
vaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute parsemée d'ornière et
de cailloux, je débouchai sur la place du village
I. 427
Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et
je quittai la terrasse en escaladant sans bruit une petite porte de garage
grillagée qui donnait sur la route. La lune était pleine dans le ciel, que
voilaient en partie de longues volutes de nuages noirs qui glissaient
dans son halo comme des lambeaux d'étoffe déchirées.Le vent, qui soufflait en rafales, faisait ployer lourdement à chaque rafale de vent La cime des arbres
ployait lourdement sous le vent, et je m'engageai en silence sur la place
du village, où une cabine téléphonique s'élevait dans la pénombre, faible-
ment éclairée par la lune, tandis qu'une fourgonette blanche que je n'avais
jamais vue était garée au loin devant la façade grise et silencieuse d'une
maison abandonnée.
Le vent s'était levé,qui et faisait ployer lourdement la cime des arbres
dans un bruissement continu régulier de feuillage, et, après avoir suivi une mau-
vaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute parsemée d'ornière et
de cailloux, je débouchai sur la place du village
I. 427
Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et
je quittai la terrasse en escaladant sans bruit une petite porte de garage
grillagée qui donnait sur la route. La lune était pleine dans le ciel, que
voilaient en partie de longues volutes de nuages noirs qui glissaient
dans son halo comme des lambeaux d'étoffe déchirée. La cime des arbres
ployait lourdement sous le vent, et je m'engageai en silence sur la place
du village, où une cabine téléphonique s'élevait dans la pénombre, faible-
ment éclairée par la lune, tandis qu'une fourgonette blanche que je n'avais
jamais vue était garée au loin devant la façade grise et silencieuse d'une
maison abandonnée.
Le vent s'était levé,qui faisait ployer lourdement la cime des arbres
dans un bruissement continu de feuillage, et, après avoir suivi une mau-
vaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute parsemée d'ornière et
de cailloux, je débouchai sur la place du village