I. 428
Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ce chemin, etj'escaladais sans bruit unepetite porte de garage grillagée pour sortir de la terrasse avant de descendre qui donnait sur la route avant de pour sortir de la terrasse,
jem'engageai dans suivis descendis une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute
parsemée d'ornières et de cailloux. La lune était pleine dans le ciel, que
voilaient en partie de longues volutes de nuages noirs qui glissaient
dans son halo comme des lambeaux d'étoffe déchirée. La cime des arbres
ployaient lourdement sous le ventdans un bruissement de feuillage qui
rythmait le silence, et jetraversai m'engageai m'engageai sans bruitsur la place du village, où
une cabine téléphonique[d1]faiblement éclairée par la lune s'élevait dans
la pénombre<d1>.tandis Une petite fourgonette blanche que je n'avais jamais vue
était garée au loin devant la façade grise et silencieuse d'une maison
abandonnée.
I. 428
Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ce chemin, et
jem'engageai dans une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute
parsemée d'ornières et de cailloux. La lune était pleine dans le ciel, que
voilaient en partie de longues volutes de nuages noirs qui glissaient
dans son halo comme des lambeaux d'étoffe déchirée. La cime des arbres
ployaient lourdement sous le ventdans un bruissement de feuillage qui
rythmait le silence, et jetraversai sans bruit la place du village, où
une cabine téléphoniquefaiblement éclairée par la lune s'élevait dans
la pénombre. Une petite fourgonette blanche que je n'avais jamais vue
était garée au loin devant la façade grise et silencieuse d'une maison
abandonnée.
I. 428
Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ce chemin, etj'escaladais sans bruit unepetite porte de garage grillagée pour sortir de la terrasse avant de descendre qui donnait sur la route avant de pour sortir de la terrasse,
jem'engageai dans suivis descendis une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute
parsemée d'ornières et de cailloux. La lune était pleine dans le ciel, que
voilaient en partie de longues volutes de nuages noirs qui glissaient
dans son halo comme des lambeaux d'étoffe déchirée. La cime des arbres
ployaient lourdement sous le ventdans un bruissement de feuillage qui
rythmait le silence, et jetraversai m'engageai m'engageai sans bruitsur la place du village, où
une cabine téléphonique[d1]faiblement éclairée par la lune s'élevait dans
la pénombre<d1>.tandis Une petite fourgonette blanche que je n'avais jamais vue
était garée au loin devant la façade grise et silencieuse d'une maison
abandonnée.
I. 428
Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ce chemin, et
jem'engageai dans une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute
parsemée d'ornières et de cailloux. La lune était pleine dans le ciel, que
voilaient en partie de longues volutes de nuages noirs qui glissaient
dans son halo comme des lambeaux d'étoffe déchirée. La cime des arbres
ployaient lourdement sous le ventdans un bruissement de feuillage qui
rythmait le silence, et jetraversai sans bruit la place du village, où
une cabine téléphoniquefaiblement éclairée par la lune s'élevait dans
la pénombre. Une petite fourgonette blanche que je n'avais jamais vue
était garée au loin devant la façade grise et silencieuse d'une maison
abandonnée.