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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00428
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I. 428

Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ce chemin, etj'escaladais sans bruit unepetite  porte de garage grillagée  pour sortir de la terrasse avant de descendre  qui donnait sur la route avant de pour sortir de la terrasse, 

jem'engageai dans suivis descendis   une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute

parsemée d'ornières et de cailloux. La lune était pleine dans le ciel, que

voilaient en partie de longues volutes de nuages noirs qui glissaient

dans son halo comme des lambeaux d'étoffe déchirée. La cime des arbres

ployaient lourdement sous le ventdans un bruissement de feuillage qui 

rythmait le silence, et jetraversai m'engageai m'engageai  sans bruitsur la place du village, où

une cabine téléphonique[d1]faiblement éclairée par la lune s'élevait dans

la pénombre<d1>.tandis  Une petite fourgonette blanche que je n'avais jamais vue

était garée au loin devant la façade grise et silencieuse d'une maison

abandonnée.

I. 428

Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ce chemin, et 

jem'engageai dans   une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute

parsemée d'ornières et de cailloux. La lune était pleine dans le ciel, que

voilaient en partie de longues volutes de nuages noirs qui glissaient

dans son halo comme des lambeaux d'étoffe déchirée. La cime des arbres

ployaient lourdement sous le ventdans un bruissement de feuillage qui 

rythmait le silence, et jetraversai    sans bruit la place du village, où

une cabine téléphoniquefaiblement éclairée par la lune s'élevait dans

la pénombre.  Une petite fourgonette blanche que je n'avais jamais vue

était garée au loin devant la façade grise et silencieuse d'une maison

abandonnée.

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I. 428

Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ce chemin, etj'escaladais sans bruit unepetite  porte de garage grillagée  pour sortir de la terrasse avant de descendre  qui donnait sur la route avant de pour sortir de la terrasse, 

jem'engageai dans suivis descendis   une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute

parsemée d'ornières et de cailloux. La lune était pleine dans le ciel, que

voilaient en partie de longues volutes de nuages noirs qui glissaient

dans son halo comme des lambeaux d'étoffe déchirée. La cime des arbres

ployaient lourdement sous le ventdans un bruissement de feuillage qui 

rythmait le silence, et jetraversai m'engageai m'engageai  sans bruitsur la place du village, où

une cabine téléphonique[d1]faiblement éclairée par la lune s'élevait dans

la pénombre<d1>.tandis  Une petite fourgonette blanche que je n'avais jamais vue

était garée au loin devant la façade grise et silencieuse d'une maison

abandonnée.

I. 428

Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ce chemin, et 

jem'engageai dans   une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute

parsemée d'ornières et de cailloux. La lune était pleine dans le ciel, que

voilaient en partie de longues volutes de nuages noirs qui glissaient

dans son halo comme des lambeaux d'étoffe déchirée. La cime des arbres

ployaient lourdement sous le ventdans un bruissement de feuillage qui 

rythmait le silence, et jetraversai    sans bruit la place du village, où

une cabine téléphoniquefaiblement éclairée par la lune s'élevait dans

la pénombre.  Une petite fourgonette blanche que je n'avais jamais vue

était garée au loin devant la façade grise et silencieuse d'une maison

abandonnée.

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