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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00429
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I. 429

Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et

je m'engageai dans une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute

parsemée d'ornières et de cailloux. La lune était pleine dans le ciel, que

voilaient en partie de longues volutes de nuages noirs qui glissaient dans

son halo comme des lambris d'étoffe déchirée.<d1> Sur la place du village que

je traversai sans bruit,[d1] lesa cimes des arbres ployaient lourdement sous
le ventdans un bruissement de feuillage qui rythmait le silence,.
 et Une cabine téléphonique s'élevaitlà dans la pénombre, faiblement

éclairée par la lune,et tandis qu'unevoiture petite fourgonnette blanche que je n'avais jamais vue était garée

au loin devant la façade grise et silencieuse d'une maicon abandonnée. Je

resserrai mon manteau autour de moi pour me protéger du vent,qui souflait de plus en plus fort et pris la

direction du port en longeant le terre-plein meuble et relativement solide

que les algues séchées quis'étaient accumulées tout au long du rivage s'accumulaient d'années en années???   dans le port 

foramient en bordure du bassin principal.|Il n'y avait pas un bruit dans

le port,et pas une lumière, et  la petite jetée de pierres s'étendait dans l'obscurité,violem- et le cadavre du chat flottait à la renverse dans une eau noire, le long faisceau du 

phare ment venait l'éclairée par intermittenceà intervalles réguliers par le long faisceau du phare, quidispa- apparaissait 

avec fulgurance raissait aussitôt  pourne répapparaître que disparaître aussitôt,  beaucoup pklus tard avec la

même fulgurance, balayantdéjà au loin la surfacedans sa fuite  ondulée noire  del la mer.

I. 429

Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et

je m'engageai dans une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute

parsemée d'ornières et de cailloux. La lune était pleine dans le ciel, que

voilaient en partie de longues volutes de nuages noirs qui glissaient dans

son halo comme des lambris d'étoffe déchirée. Sur la place du village que

je traversai sans bruit, lesa cimes des arbres ployaient lourdement sous le ventdans un bruissement de feuillage qui rythmait le silence,.  Une cabine téléphonique s'élevaitlà dans la pénombre, faiblement

éclairée par la lune,et unevoiture  que je n'avais jamais vue était garée

au loin devant la façade grise et silencieuse d'une maicon abandonnée. Je

serrai mon manteau autour de moi pour me protéger du vent, et pris la

direction du port en longeant le terre-plein meuble et relativement solide

que les algues séchées quis'étaient accumulées tout au long du rivage  

foramient en bordure du bassin principal.Il n'y avait pas un bruit dans

le port,et   la petite jetée de pierres s'étendait dans l'obscurité,violem-  

 ment éclairée par intermittence par le long faisceau du phare, quidispa-  

 raissait aussitôt  pourne répapparaître que   beaucoup pklus tard avec la

même fulgurance, balayantdéjà au loin la surface  ondulée   del la mer.

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I. 429

Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et

je m'engageai dans une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute

parsemée d'ornières et de cailloux. La lune était pleine dans le ciel, que

voilaient en partie de longues volutes de nuages noirs qui glissaient dans

son halo comme des lambris d'étoffe déchirée.<d1> Sur la place du village que

je traversai sans bruit,[d1] lesa cimes des arbres ployaient lourdement sous
le ventdans un bruissement de feuillage qui rythmait le silence,.
 et Une cabine téléphonique s'élevaitlà dans la pénombre, faiblement

éclairée par la lune,et tandis qu'unevoiture petite fourgonnette blanche que je n'avais jamais vue était garée

au loin devant la façade grise et silencieuse d'une maicon abandonnée. Je

resserrai mon manteau autour de moi pour me protéger du vent,qui souflait de plus en plus fort et pris la

direction du port en longeant le terre-plein meuble et relativement solide

que les algues séchées quis'étaient accumulées tout au long du rivage s'accumulaient d'années en années???   dans le port 

foramient en bordure du bassin principal.|Il n'y avait pas un bruit dans

le port,et pas une lumière, et  la petite jetée de pierres s'étendait dans l'obscurité,violem- et le cadavre du chat flottait à la renverse dans une eau noire, le long faisceau du 

phare ment venait l'éclairée par intermittenceà intervalles réguliers par le long faisceau du phare, quidispa- apparaissait 

avec fulgurance raissait aussitôt  pourne répapparaître que disparaître aussitôt,  beaucoup pklus tard avec la

même fulgurance, balayantdéjà au loin la surfacedans sa fuite  ondulée noire  del la mer.

I. 429

Ce n'était pas la première fois que j'empruntais ainsi ce chemin, et

je m'engageai dans une mauvaise ruelle de terre, sombre et étroite, toute

parsemée d'ornières et de cailloux. La lune était pleine dans le ciel, que

voilaient en partie de longues volutes de nuages noirs qui glissaient dans

son halo comme des lambris d'étoffe déchirée. Sur la place du village que

je traversai sans bruit, lesa cimes des arbres ployaient lourdement sous le ventdans un bruissement de feuillage qui rythmait le silence,.  Une cabine téléphonique s'élevaitlà dans la pénombre, faiblement

éclairée par la lune,et unevoiture  que je n'avais jamais vue était garée

au loin devant la façade grise et silencieuse d'une maicon abandonnée. Je

serrai mon manteau autour de moi pour me protéger du vent, et pris la

direction du port en longeant le terre-plein meuble et relativement solide

que les algues séchées quis'étaient accumulées tout au long du rivage  

foramient en bordure du bassin principal.Il n'y avait pas un bruit dans

le port,et   la petite jetée de pierres s'étendait dans l'obscurité,violem-  

 ment éclairée par intermittence par le long faisceau du phare, quidispa-  

 raissait aussitôt  pourne répapparaître que   beaucoup pklus tard avec la

même fulgurance, balayantdéjà au loin la surface  ondulée   del la mer.

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