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  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00008
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II. 8

 J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants

de la fenêtre. La ciel était immense et sombre devant moi, et quelques

longs nuages noirs,[d1] lentement , glissaient<d1> dans le halo de la lune. Rien ne

bougeaitautour de moi alentour, et je voyais la route qui sinuait au loin dans la

nuit jusqu'à la sortie du village.Je L'air était glacé et parfumé de pluie, et je demeurais là à la fenêtre à  respiraiser  l'odeur fraîche de la

nuità la fenêtre, et l'air était glacé et très pur, qui pénétrait dans que je sentais pénétrer lentement dans mes bronches, 

mes bronches , chargé d'embruns et deparfums senteurs  de plantesmouillées de pluie.

Le port n'était pas visible de ma fenêtre, mais j'entendais la murmure de

la mer, tout près, qui s'accordait intimement au silence qui régnait

alentour et m'apportait peu à peu un apaisement des sens et de l'esprit.tandis que je respirais maintenant à la fenêtre. et  qui m'amenait à ne plus penser à rien. dans le village et m'amena peu à peu à ne plus penser à rien. 

Mon fils dormait derrière moidans la chambre dans la pénombre, et la faible lumière de l

lune qui entrait dans la pièce éclairait son visage endormi. Il dormait

la bouche ouverte dans son lit de voyage, immobile, le souffle régulier,

et je le regardais dormirdans la pénombre sans bouger. Je rabattis le volet finalement,

etJ'allai m'étendre sur le lit, où je demeurai un long moment les yeux

ouverts dans le noir.

II. 8

 J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants

de la fenêtre. La ciel était immense et sombre devant moi, et quelques

longs nuages noirs, lentement , glissaient dans le halo de la lune. Rien ne

bougeaitautour de moi , et je voyais la route qui sinuait au loin dans la

nuit jusqu'à la sortie du village.Je   respirais  l'odeur fraîche de la

nuità la fenêtre, et l'air était glacé et très pur, qui pénétrait dans  

mes bronches  chargé d'embruns et deparfums   de plantesmouillées de pluie.

Le port n'était pas visible de ma fenêtre, mais j'entendais la murmure de

la mer, tout près, qui s'accordait intimement au silence qui régnait

alentour et m'apportait peu à peu un apaisement des sens et de l'esprit. 

Mon fils dormait derrière moidans la chambre , et la faible lumière de l

lune qui entrait dans la pièce éclairait son visage endormi. Il dormait

la bouche ouverte dans son lit de voyage, immobile, le souffle régulier,

et je le regardais dormirdans la pénombre . Je rabattis le volet finalement,

etallai m'étendre sur le lit, où je demeurai un long moment les yeux

ouverts dans le noir.

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II. 8

 J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants

de la fenêtre. La ciel était immense et sombre devant moi, et quelques

longs nuages noirs,[d1] lentement , glissaient<d1> dans le halo de la lune. Rien ne

bougeaitautour de moi alentour, et je voyais la route qui sinuait au loin dans la

nuit jusqu'à la sortie du village.Je L'air était glacé et parfumé de pluie, et je demeurais là à la fenêtre à  respiraiser  l'odeur fraîche de la

nuità la fenêtre, et l'air était glacé et très pur, qui pénétrait dans que je sentais pénétrer lentement dans mes bronches, 

mes bronches , chargé d'embruns et deparfums senteurs  de plantesmouillées de pluie.

Le port n'était pas visible de ma fenêtre, mais j'entendais la murmure de

la mer, tout près, qui s'accordait intimement au silence qui régnait

alentour et m'apportait peu à peu un apaisement des sens et de l'esprit.tandis que je respirais maintenant à la fenêtre. et  qui m'amenait à ne plus penser à rien. dans le village et m'amena peu à peu à ne plus penser à rien. 

Mon fils dormait derrière moidans la chambre dans la pénombre, et la faible lumière de l

lune qui entrait dans la pièce éclairait son visage endormi. Il dormait

la bouche ouverte dans son lit de voyage, immobile, le souffle régulier,

et je le regardais dormirdans la pénombre sans bouger. Je rabattis le volet finalement,

etJ'allai m'étendre sur le lit, où je demeurai un long moment les yeux

ouverts dans le noir.

II. 8

 J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants

de la fenêtre. La ciel était immense et sombre devant moi, et quelques

longs nuages noirs, lentement , glissaient dans le halo de la lune. Rien ne

bougeaitautour de moi , et je voyais la route qui sinuait au loin dans la

nuit jusqu'à la sortie du village.Je   respirais  l'odeur fraîche de la

nuità la fenêtre, et l'air était glacé et très pur, qui pénétrait dans  

mes bronches  chargé d'embruns et deparfums   de plantesmouillées de pluie.

Le port n'était pas visible de ma fenêtre, mais j'entendais la murmure de

la mer, tout près, qui s'accordait intimement au silence qui régnait

alentour et m'apportait peu à peu un apaisement des sens et de l'esprit. 

Mon fils dormait derrière moidans la chambre , et la faible lumière de l

lune qui entrait dans la pièce éclairait son visage endormi. Il dormait

la bouche ouverte dans son lit de voyage, immobile, le souffle régulier,

et je le regardais dormirdans la pénombre . Je rabattis le volet finalement,

etallai m'étendre sur le lit, où je demeurai un long moment les yeux

ouverts dans le noir.

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