II. 60
Mon fils dormait maintenant, qui faisait des nuits complètes depuis que
nous étions arrivés à Sasuelo, et, ce soir-là, je m'attardai quelque peu
dans le salon de télévisionde l'hôtel après le dîner. J'étais tout seul
dans la pièce, et je terminais mon café en jetant de temps à autre un regard
morne sur l'écrande télévision. Il n'y avait plus un bruit dans l'hôtel,
où tout le monde semblait dormir à présent, et je medemandais si disais que Biaggipouvait avait pu savoir
savait devaitsavoir certainement savoir que je me trouvais à Sasuelo en ce moment, car,même si je continuaisde prendre des précautions pour
de prendre garde à d'éviter les parages de sa maison chaque fois que je
quittais l'hôtel, ilpouvait avait très bienpu m'avoirm'aperçuevoir dans le village un
soir que je me promenais dehorsà la nuit tombée. Et je me représentai alorssoudain qu'il
m'avait même peut-être aperçu dans le portle soir la nuit où le chat avait été
assassiné, car c'était cette soir-là nuit-là, selon toute vraisemblance, queje me j'avais guetté un crabe je m'étais trouvé
trouvais sur la jetée<d1>en train de guetter un crabe [d1]à la tombée de la nuit.
Je'avais sortis de ma poche les quatre lettres que j'avaisprises la veille dans retirées la nuit dernière de
la boîte aux lettres des Biaggi etles je les avais posées devant moipour les examiner pour les examiner examinai un instantles enveloppes devant moi. Je
me demandais ce que je devais en faire car je ne parvenais pas à me résoudre
à les ouvrir, pas plus qu'à les détruire d'ailleurs -- tout du moins détruire
celle dans laquelle était annoncée mon arrivée à Sasuelo. Car je ne voulais
plus, maintenant, que l'on sache que je me trouvais à Sasuelo.
il se pouvait très bien qu'il m'eût aperçu
il ne pouvait pas ne pas m'avoir aperçu
il devait avait dû m'avoir aperçu dans le villageà un moment ou à un autre depuis mon arrivée que je me promenais dehors.
II. 60
Mon fils dormait maintenant, qui faisait des nuits complètes depuis que
nous étions arrivés à Sasuelo, et, ce soir-là, je m'attardai quelque peu
dans le salon de télévisionde l'hôtel après le dîner. J'étais tout seul
dans la pièce, et je terminais mon café en jetant de temps à autre un regard
morne sur l'écrande télévision. Il n'y avait plus un bruit dans l'hôtel,
où tout le monde semblait dormir à présent, et je medemandais si Biaggi
savait que je me trouvais à Sasuelo en ce moment, car, si je continuais
de prendre garde à éviter les parages de sa maison chaque fois que je
quittais l'hôtel, ilpouvait très bien m'avoiraperçu dans le village un
soir que je me promenais dehors. Et je me représentai alorssoudain qu'il
m'avait même peut-être aperçu dans le portle soir où le chat avait été
assassiné, car c'était ce soir-là , selon toute vraisemblance, queje me
trouvais sur la jetéeen train de guetter un crabe à la tombée de la nuit.
Je sortis de ma poche les quatre lettres que j'avaisprises la veille dans
la boîte aux lettres des Biaggi et examinai un instantles enveloppes . Je
me demandais ce que je devais en faire car je ne parvenais pas à me résoudre
à les ouvrir, pas plus qu'à les détruire d'ailleurs -- tout du moins détruire
celle dans laquelle était annoncée mon arrivée à Sasuelo. Car je ne voulais
plus, maintenant, que l'on sache que je me trouvais à Sasuelo.
II. 60
Mon fils dormait maintenant, qui faisait des nuits complètes depuis que
nous étions arrivés à Sasuelo, et, ce soir-là, je m'attardai quelque peu
dans le salon de télévisionde l'hôtel après le dîner. J'étais tout seul
dans la pièce, et je terminais mon café en jetant de temps à autre un regard
morne sur l'écrande télévision. Il n'y avait plus un bruit dans l'hôtel,
où tout le monde semblait dormir à présent, et je medemandais si disais que Biaggipouvait avait pu savoir
savait devaitsavoir certainement savoir que je me trouvais à Sasuelo en ce moment, car,même si je continuaisde prendre des précautions pour
de prendre garde à d'éviter les parages de sa maison chaque fois que je
quittais l'hôtel, ilpouvait avait très bienpu m'avoirm'aperçuevoir dans le village un
soir que je me promenais dehorsà la nuit tombée. Et je me représentai alorssoudain qu'il
m'avait même peut-être aperçu dans le portle soir la nuit où le chat avait été
assassiné, car c'était cette soir-là nuit-là, selon toute vraisemblance, queje me j'avais guetté un crabe je m'étais trouvé
trouvais sur la jetée<d1>en train de guetter un crabe [d1]à la tombée de la nuit.
Je'avais sortis de ma poche les quatre lettres que j'avaisprises la veille dans retirées la nuit dernière de
la boîte aux lettres des Biaggi etles je les avais posées devant moipour les examiner pour les examiner examinai un instantles enveloppes devant moi. Je
me demandais ce que je devais en faire car je ne parvenais pas à me résoudre
à les ouvrir, pas plus qu'à les détruire d'ailleurs -- tout du moins détruire
celle dans laquelle était annoncée mon arrivée à Sasuelo. Car je ne voulais
plus, maintenant, que l'on sache que je me trouvais à Sasuelo.
il se pouvait très bien qu'il m'eût aperçu
il ne pouvait pas ne pas m'avoir aperçu
il devait avait dû m'avoir aperçu dans le villageà un moment ou à un autre depuis mon arrivée que je me promenais dehors.
II. 60
Mon fils dormait maintenant, qui faisait des nuits complètes depuis que
nous étions arrivés à Sasuelo, et, ce soir-là, je m'attardai quelque peu
dans le salon de télévisionde l'hôtel après le dîner. J'étais tout seul
dans la pièce, et je terminais mon café en jetant de temps à autre un regard
morne sur l'écrande télévision. Il n'y avait plus un bruit dans l'hôtel,
où tout le monde semblait dormir à présent, et je medemandais si Biaggi
savait que je me trouvais à Sasuelo en ce moment, car, si je continuais
de prendre garde à éviter les parages de sa maison chaque fois que je
quittais l'hôtel, ilpouvait très bien m'avoiraperçu dans le village un
soir que je me promenais dehors. Et je me représentai alorssoudain qu'il
m'avait même peut-être aperçu dans le portle soir où le chat avait été
assassiné, car c'était ce soir-là , selon toute vraisemblance, queje me
trouvais sur la jetéeen train de guetter un crabe à la tombée de la nuit.
Je sortis de ma poche les quatre lettres que j'avaisprises la veille dans
la boîte aux lettres des Biaggi et examinai un instantles enveloppes . Je
me demandais ce que je devais en faire car je ne parvenais pas à me résoudre
à les ouvrir, pas plus qu'à les détruire d'ailleurs -- tout du moins détruire
celle dans laquelle était annoncée mon arrivée à Sasuelo. Car je ne voulais
plus, maintenant, que l'on sache que je me trouvais à Sasuelo.