II. 66
de la télévision qui était posée en??? encastrée dans un meuble.
Mon fils dormait maintenant, qui faisait des nuits complètes depuis que
nous étions arrivés à Sasuelo, et, ce soir-là, je m'attardai quelque peu
dans le salon de télévisionde l'hôtel après le dîner,| assis sur un petit canapé, mon
regard morne glissant sur l'écran avec autant d'enthousiasme qu'une semelle
sur du verglas. J'étais assis là tout seul dans la pièce et,continuant je terminais mon café en
de jeterant[d1] de temps à autre un regardmorne sur l'écrande télévision<d1>,en tenant mon café,je me demandaisnt comment
il se faisait que je n'avais pas encore croisé Biaggi dans le village depuis
mon arrivée, car, même si je continuais de prendre les mêmestype de précautions garde
pour d'éviter les parages de sa maison chaque fois que je quittais l'hôtel,
il n'en demeurait pas moins que ma présence dans le village ne pouvait lui
avoir échappé. Car Biaggisavait devait savoir que je me trouvais à Sasuelo, selon toute
vraisemblance. Je sortis de ma poche les quatre lettres que j'avais prises
la veille danssla boîte aux lettresdes Biaggi et lesposai un instant devant moi
pour les examinerun instantde mes mains devant moi.. Je me demandais ce que je devais en faire car je ne parvenais
pas à me résoudre à les ouvrir, pas plus qu'à les détruire d'ailleurs -- tout
du moins détruire celle dans laquelle était annoncée mon arrivée à Sasuelo.
Car je ne voulais plus, maintenant, que l'on sache que je me trouvais à Sasuelo.
Il n'y avait pas bruit dans l'hôtel, et je
me demandant si les Biaggisavait pouvaient savoir que je me trouvais à Sasuelo. en ce moment.
il pouvait très bien m'avoir aperçu??? dehors sans que je m'en aperçoive un jour que je me promenais dans le village sur la jetée du port la veille ou l'avant-veille quandje guettais le crabe??? sur la jetée je m'étais rendu sur la jetée à la tombée de la nuit.à mon insu.
et je n'avais toujours pas croisé les Biaggi dans le village depuis mon arrivée
(, et sans doute le soir même qui précédait la nuit où le chat avait été assassiné,
II. 66
Mon fils dormait maintenant, qui faisait des nuits complètes depuis que
nous étions arrivés à Sasuelo, et, ce soir-là, je m'attardai quelque peu
dans le salon de télévision après le dîner, assis sur un petit canapé, mon
regard morne glissant sur l'écran avec autant d'enthousiasme qu'une semelle
sur du verglas. J'étais assis là tout seul dans la pièce et,continuant
de jeter de temps à autre un regard sur l'écran,je me demandais comment
il se faisait que je n'avais pas encore croisé Biaggi dans le village depuis
mon arrivée, car, même si je continuais de prendre les mêmestype de précautions
pour éviter les parages de sa maison chaque fois que je quittais l'hôtel,
il n'en demeurait pas moins que ma présence dans le village ne pouvait lui
avoir échappé. Car Biaggisavait que je me trouvais à Sasuelo, selon toute
vraisemblance. Je sortis de ma poche les quatre lettres que j'avais prises
la veille danssa boîte aux lettreset lesposai un instant devant moi
pour les examiner. Je me demandais ce que je devais en faire car je ne parvenais
pas à me résoudre à les ouvrir, pas plus qu'à les détruire d'ailleurs -- tout
du moins détruire celle dans laquelle était annoncée mon arrivée à Sasuelo.
Car je ne voulais plus, maintenant, que l'on sache que je me trouvais à Sasuelo.
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de la télévision qui était posée en??? encastrée dans un meuble.
Mon fils dormait maintenant, qui faisait des nuits complètes depuis que
nous étions arrivés à Sasuelo, et, ce soir-là, je m'attardai quelque peu
dans le salon de télévisionde l'hôtel après le dîner,| assis sur un petit canapé, mon
regard morne glissant sur l'écran avec autant d'enthousiasme qu'une semelle
sur du verglas. J'étais assis là tout seul dans la pièce et,continuant je terminais mon café en
de jeterant[d1] de temps à autre un regardmorne sur l'écrande télévision<d1>,en tenant mon café,je me demandaisnt comment
il se faisait que je n'avais pas encore croisé Biaggi dans le village depuis
mon arrivée, car, même si je continuais de prendre les mêmestype de précautions garde
pour d'éviter les parages de sa maison chaque fois que je quittais l'hôtel,
il n'en demeurait pas moins que ma présence dans le village ne pouvait lui
avoir échappé. Car Biaggisavait devait savoir que je me trouvais à Sasuelo, selon toute
vraisemblance. Je sortis de ma poche les quatre lettres que j'avais prises
la veille danssla boîte aux lettresdes Biaggi et lesposai un instant devant moi
pour les examinerun instantde mes mains devant moi.. Je me demandais ce que je devais en faire car je ne parvenais
pas à me résoudre à les ouvrir, pas plus qu'à les détruire d'ailleurs -- tout
du moins détruire celle dans laquelle était annoncée mon arrivée à Sasuelo.
Car je ne voulais plus, maintenant, que l'on sache que je me trouvais à Sasuelo.
Il n'y avait pas bruit dans l'hôtel, et je
me demandant si les Biaggisavait pouvaient savoir que je me trouvais à Sasuelo. en ce moment.
il pouvait très bien m'avoir aperçu??? dehors sans que je m'en aperçoive un jour que je me promenais dans le village sur la jetée du port la veille ou l'avant-veille quandje guettais le crabe??? sur la jetée je m'étais rendu sur la jetée à la tombée de la nuit.à mon insu.
et je n'avais toujours pas croisé les Biaggi dans le village depuis mon arrivée
(, et sans doute le soir même qui précédait la nuit où le chat avait été assassiné,
II. 66
Mon fils dormait maintenant, qui faisait des nuits complètes depuis que
nous étions arrivés à Sasuelo, et, ce soir-là, je m'attardai quelque peu
dans le salon de télévision après le dîner, assis sur un petit canapé, mon
regard morne glissant sur l'écran avec autant d'enthousiasme qu'une semelle
sur du verglas. J'étais assis là tout seul dans la pièce et,continuant
de jeter de temps à autre un regard sur l'écran,je me demandais comment
il se faisait que je n'avais pas encore croisé Biaggi dans le village depuis
mon arrivée, car, même si je continuais de prendre les mêmestype de précautions
pour éviter les parages de sa maison chaque fois que je quittais l'hôtel,
il n'en demeurait pas moins que ma présence dans le village ne pouvait lui
avoir échappé. Car Biaggisavait que je me trouvais à Sasuelo, selon toute
vraisemblance. Je sortis de ma poche les quatre lettres que j'avais prises
la veille danssa boîte aux lettreset lesposai un instant devant moi
pour les examiner. Je me demandais ce que je devais en faire car je ne parvenais
pas à me résoudre à les ouvrir, pas plus qu'à les détruire d'ailleurs -- tout
du moins détruire celle dans laquelle était annoncée mon arrivée à Sasuelo.
Car je ne voulais plus, maintenant, que l'on sache que je me trouvais à Sasuelo.