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  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00069
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II. 69

 La lune était presque entièrement voiléede nuages noirs dans le ciel maintenant, et

la façade de l'hôtel demeuraitparfaitement silencieuse en face de moi, dont

les murs plâtreux étaient comme mangés d'efflorescences grisâtres. Sur le

toit du bâtiment, à côté de la grande antenne de télévision dirigée vers

le pylône émetteur de la montagne, s'élevaient<d1>les leslettresdont les lettres de néon éteintes se dressaient à la verticale dans la nuit de néon éteintes

de[d1] l'enseigne lumineuse de l'hôtel, qu'un réseau de fines tiges métalliques

maintenait dressées à la verticale dans la nuit. Il y avait une rangée

de quatre volets identiques au premier étagede l'hôtel, puis deux autres

volets encoreau-dessus à l'étage suivant, beaucoup plus petits et de forme carrée, qui ne

semblaient pas donner sur des chambres, mais sur un grenier plutôt, une

sorte de mansarde nichée sous la corniche.Mais se pouvait-il vraiment 

que Biaggi se fût trouvé à l'hôtel maintenant ? Et dans quelle chambre 

se serait-il trouvé ? me demandais-je.  Etc'est alors que  je me souvinsalors 

que la nuit dernière, quand j'étais remonté dans ma chambre après le dîner,

j'avais remarqué la présence d'un petit escalier tout au fond du couloir,

qui m'avait fait penser qu'il y avait peut-être encoreune ou deux des chambres

sous les combles là-haut, car j'avais été intrigué par un bruit quisemblait  venaitir paraissait semblait provenir delà-haut sous les combles,

un bruit régulieret monotone qui résonnait étrangement[d2] ce soir-là  dans

les couloirs de l'hôtel<d2>  -- comme si quelqu'un tapait à la machine dans sa

chambre.

Mais se pouvait-il vraiment que Biaggi se fût trouvé à l'hôtel maintenant ? 

Caca ? dis-je.??? -je  Pardon ? dit le chauffeur en se retournant. Non, je parlais à mon fils, dis-je. Notre conversation s'en tint là.

II. 69

 La lune était presque entièrement voiléede nuages noirs  maintenant, et

la façade de l'hôtel demeuraitparfaitement silencieuse en face de moi, dont

les murs plâtreux étaient comme mangés d'efflorescences grisâtres. Sur le

toit du bâtiment, à côté de la grande antenne de télévision dirigée vers

le pylône émetteur de la montagne, s'élevaientles lettres de néon éteintes

de l'enseigne lumineuse de l'hôtel, qu'un réseau de fines tiges métalliques

maintenait dressées à la verticale dans la nuit. Il y avait une rangée

de quatre volets identiques au premier étagede l'hôtel, puis deux autres

volets encoreau-dessus , beaucoup plus petits et de forme carrée, qui ne

semblaient pas donner sur des chambres, mais sur un grenier plutôt, une

sorte de mansarde nichée sous la corniche.Mais se pouvait-il vraiment 

que Biaggi se fût trouvé à l'hôtel maintenant ? Et dans quelle chambre 

se serait-il trouvé ? me demandais-je.  Etc'est alors que  je me souvins 

que la nuit dernière, quand j'étais remonté dans ma chambre après le dîner,

j'avais remarqué la présence d'un petit escalier tout au fond du couloir,

qui m'avait fait penser qu'il y avait peut-être encoreune ou deux  chambres

sous les combles , car j'avais été intrigué par un bruit qui venaitir  delà-haut ,

un bruit régulieret monotone qui résonnait étrangement ce soir-là  dans

les couloirs de l'hôtel  -- comme si quelqu'un tapait à la machine dans sa

chambre.

 

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II. 69

 La lune était presque entièrement voiléede nuages noirs dans le ciel maintenant, et

la façade de l'hôtel demeuraitparfaitement silencieuse en face de moi, dont

les murs plâtreux étaient comme mangés d'efflorescences grisâtres. Sur le

toit du bâtiment, à côté de la grande antenne de télévision dirigée vers

le pylône émetteur de la montagne, s'élevaient<d1>les leslettresdont les lettres de néon éteintes se dressaient à la verticale dans la nuit de néon éteintes

de[d1] l'enseigne lumineuse de l'hôtel, qu'un réseau de fines tiges métalliques

maintenait dressées à la verticale dans la nuit. Il y avait une rangée

de quatre volets identiques au premier étagede l'hôtel, puis deux autres

volets encoreau-dessus à l'étage suivant, beaucoup plus petits et de forme carrée, qui ne

semblaient pas donner sur des chambres, mais sur un grenier plutôt, une

sorte de mansarde nichée sous la corniche.Mais se pouvait-il vraiment 

que Biaggi se fût trouvé à l'hôtel maintenant ? Et dans quelle chambre 

se serait-il trouvé ? me demandais-je.  Etc'est alors que  je me souvinsalors 

que la nuit dernière, quand j'étais remonté dans ma chambre après le dîner,

j'avais remarqué la présence d'un petit escalier tout au fond du couloir,

qui m'avait fait penser qu'il y avait peut-être encoreune ou deux des chambres

sous les combles là-haut, car j'avais été intrigué par un bruit quisemblait  venaitir paraissait semblait provenir delà-haut sous les combles,

un bruit régulieret monotone qui résonnait étrangement[d2] ce soir-là  dans

les couloirs de l'hôtel<d2>  -- comme si quelqu'un tapait à la machine dans sa

chambre.

Mais se pouvait-il vraiment que Biaggi se fût trouvé à l'hôtel maintenant ? 

Caca ? dis-je.??? -je  Pardon ? dit le chauffeur en se retournant. Non, je parlais à mon fils, dis-je. Notre conversation s'en tint là.

II. 69

 La lune était presque entièrement voiléede nuages noirs  maintenant, et

la façade de l'hôtel demeuraitparfaitement silencieuse en face de moi, dont

les murs plâtreux étaient comme mangés d'efflorescences grisâtres. Sur le

toit du bâtiment, à côté de la grande antenne de télévision dirigée vers

le pylône émetteur de la montagne, s'élevaientles lettres de néon éteintes

de l'enseigne lumineuse de l'hôtel, qu'un réseau de fines tiges métalliques

maintenait dressées à la verticale dans la nuit. Il y avait une rangée

de quatre volets identiques au premier étagede l'hôtel, puis deux autres

volets encoreau-dessus , beaucoup plus petits et de forme carrée, qui ne

semblaient pas donner sur des chambres, mais sur un grenier plutôt, une

sorte de mansarde nichée sous la corniche.Mais se pouvait-il vraiment 

que Biaggi se fût trouvé à l'hôtel maintenant ? Et dans quelle chambre 

se serait-il trouvé ? me demandais-je.  Etc'est alors que  je me souvins 

que la nuit dernière, quand j'étais remonté dans ma chambre après le dîner,

j'avais remarqué la présence d'un petit escalier tout au fond du couloir,

qui m'avait fait penser qu'il y avait peut-être encoreune ou deux  chambres

sous les combles , car j'avais été intrigué par un bruit qui venaitir  delà-haut ,

un bruit régulieret monotone qui résonnait étrangement ce soir-là  dans

les couloirs de l'hôtel  -- comme si quelqu'un tapait à la machine dans sa

chambre.

 

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