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  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00068
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  • Tapuscrit

II. 68

 La lune était presque entièrement voilée dans le ciel maintenant, et

la façade de l'hôtel demeurait silencieuse en face de moi, dont les murs

plâtreux étaient comme mangés d'efflorescences grisâtres. Sur le toit du

bâtiment, à côté de la grande antenne de télévision dirigée vers le pylône

émetteur de la montagne, s'élevait l'enseigne lumineuse de l'hôtel dont

les lettres de néon éteintes se dressaient à la verticale dans la nuit. Il

y avait une rangée de quatre volets identiques au premier étage, puis deux

autres volets encore à l'étage suivant, beaucoup plus petits et de forme

carrée, qui ne semblaient pasdonner sur correspondre à des chambres, maissur à un grenier

plutôt, une sorte de mansarde nichée sous la corniche. Et je me souvins alors

que la nuit dernière, quand j'étais remonté dans ma chambre après le dîner,

j'avais remarqué la présence d'un petit escalier tout au fond du couloir,

qui m'avait fait penser qu'il y avait peut-être encore des chambres là-haut,

car j'avais été intrigué par un bruitqui semblait provenir de sous les 

combles, un bruit régulier  qui résonnait étrangement dans les couloirs de

l'hôtelce soir-là ce soir-là  -- comme si quelqu'un tapait à la machine dans sa chambre.

, un bruit que je n'étais pas parvenu à définir exactement, c'était comme s'il s'il y avait quelqu'un qui comme si quelqu'un tapait à la machine peut-être --  

II. 68

 La lune était presque entièrement voilée dans le ciel maintenant, et

la façade de l'hôtel demeurait silencieuse en face de moi, dont les murs

plâtreux étaient comme mangés d'efflorescences grisâtres. Sur le toit du

bâtiment, à côté de la grande antenne de télévision dirigée vers le pylône

émetteur de la montagne, s'élevait l'enseigne lumineuse de l'hôtel dont

les lettres de néon éteintes se dressaient à la verticale dans la nuit. Il

y avait une rangée de quatre volets identiques au premier étage, puis deux

autres volets encore à l'étage suivant, beaucoup plus petits et de forme

carrée, qui ne semblaient pasdonner sur  des chambres, maissur  un grenier

plutôt, une sorte de mansarde nichée sous la corniche. Et je me souvins alors

que la nuit dernière, quand j'étais remonté dans ma chambre après le dîner,

j'avais remarqué la présence d'un petit escalier tout au fond du couloir,

qui m'avait fait penser qu'il y avait peut-être encore des chambres là-haut,

car j'avais été intrigué par un bruitqui semblait provenir de sous les 

combles, un bruit régulier  qui résonnait étrangement dans les couloirs de

l'hôtelce soir-là   -- comme si quelqu'un tapait à la machine dans sa chambre.

 

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II. 68

 La lune était presque entièrement voilée dans le ciel maintenant, et

la façade de l'hôtel demeurait silencieuse en face de moi, dont les murs

plâtreux étaient comme mangés d'efflorescences grisâtres. Sur le toit du

bâtiment, à côté de la grande antenne de télévision dirigée vers le pylône

émetteur de la montagne, s'élevait l'enseigne lumineuse de l'hôtel dont

les lettres de néon éteintes se dressaient à la verticale dans la nuit. Il

y avait une rangée de quatre volets identiques au premier étage, puis deux

autres volets encore à l'étage suivant, beaucoup plus petits et de forme

carrée, qui ne semblaient pasdonner sur correspondre à des chambres, maissur à un grenier

plutôt, une sorte de mansarde nichée sous la corniche. Et je me souvins alors

que la nuit dernière, quand j'étais remonté dans ma chambre après le dîner,

j'avais remarqué la présence d'un petit escalier tout au fond du couloir,

qui m'avait fait penser qu'il y avait peut-être encore des chambres là-haut,

car j'avais été intrigué par un bruitqui semblait provenir de sous les 

combles, un bruit régulier  qui résonnait étrangement dans les couloirs de

l'hôtelce soir-là ce soir-là  -- comme si quelqu'un tapait à la machine dans sa chambre.

, un bruit que je n'étais pas parvenu à définir exactement, c'était comme s'il s'il y avait quelqu'un qui comme si quelqu'un tapait à la machine peut-être --  

II. 68

 La lune était presque entièrement voilée dans le ciel maintenant, et

la façade de l'hôtel demeurait silencieuse en face de moi, dont les murs

plâtreux étaient comme mangés d'efflorescences grisâtres. Sur le toit du

bâtiment, à côté de la grande antenne de télévision dirigée vers le pylône

émetteur de la montagne, s'élevait l'enseigne lumineuse de l'hôtel dont

les lettres de néon éteintes se dressaient à la verticale dans la nuit. Il

y avait une rangée de quatre volets identiques au premier étage, puis deux

autres volets encore à l'étage suivant, beaucoup plus petits et de forme

carrée, qui ne semblaient pasdonner sur  des chambres, maissur  un grenier

plutôt, une sorte de mansarde nichée sous la corniche. Et je me souvins alors

que la nuit dernière, quand j'étais remonté dans ma chambre après le dîner,

j'avais remarqué la présence d'un petit escalier tout au fond du couloir,

qui m'avait fait penser qu'il y avait peut-être encore des chambres là-haut,

car j'avais été intrigué par un bruitqui semblait provenir de sous les 

combles, un bruit régulier  qui résonnait étrangement dans les couloirs de

l'hôtelce soir-là   -- comme si quelqu'un tapait à la machine dans sa chambre.

 

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