II. 74
Et c'est alors, dans le silence absolu de la maison, que je crus
entendre du bruità l'étage, comme un craquement imperceptible qui venait de l'étage. Je prêtai
l'oreille attentivement, mais je n'entendis plus rien, ni à l'étage, ni
dans toute la maison, seulement le ronronnement régulier du réfrigérateur
qui se faisait entendre au loin dans la cuisine. Je ressortis du bureau
[d1] sans bruit et me rendis<d1> dans le vestibule, où je m'immobilisai contre le
mur. L'ombre de l'escalier se dressait devant moi dans l'obscurité, par-
faitement silencieuse, et j'apercevais le couloir du premier étage en haut
des marches, où Biaggi* se tenait peut-être, qui se cachait dans l'ombre
de quelque meuble. J'avançai jusqu'à l'escalier et commençai à monterau
premier étage. Je montais sans bruit, les yeux fixés devant moi qui tâchaient
de percerquelque peu l'obscuritétrès dense qui régnait dans la maison du couloir du couloir. Arrivé sur le palier, j'hésitai un instant
avant de m'engager dans le couloir et,prenant à chaque fois d'infinies
précautions, je m'introduisistour à tour sans bruit dans les deux chambres à coucher qui se trou-
vaient à l'étage, la chambre des Biaggi* et la chambre d'amis, découvrant
à chaque fois une chambre parfaitement videdans l'obscurité.dont les volets étaient fermés. Aucun des
lits n'avaient été défaits, et il n'y avait aucun de trace de présenceni dans l'une ni dans l'autre
lointainte ou récente dans aucune des deux chambres, aucun vêtement qui
traînait sur les chaises, aucunlivre ou journaux sur les tables de nuit.
Il n'y avait personne à l'étage, et La maison des Biaggi* était vide, apparemment, comme inoccupée depuis l'été.
J'étais certain, pourtant, que Biaggi* se trouvait dans le village et que'Biaggi* il se cachait de moi depuis mon arrivée. Mais où se cachait-il, me demandais-je, puisqu'il n'était pas chez lui ? et qu'il
continuait de fréquenter sa maison. Mais cette nuit, me demandais-je-- car j'étais certain que Biaggi* se trouvait dans le village --, où
Biaggi* Biaggi* était-il cette nuit ?
A l'hôtel.Biaggi* se trouvait.
-- ma chambre, celle dans laquelle il m'était ??? --
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Et c'est alors, dans le silence absolu de la maison, que je crus
entendre du bruità l'étage, comme un craquement imperceptible. Je prêtai
l'oreille attentivement, mais je n'entendis plus rien, ni à l'étage, ni
dans toute la maison, seulement le ronronnement régulier du réfrigérateur
qui se faisait entendre au loin dans la cuisine. Je ressortis du bureau
sans bruit et me rendis dans le vestibule, où je m'immobilisai contre le
mur. L'ombre de l'escalier se dressait devant moi dans l'obscurité, par-
faitement silencieuse, et j'apercevais le couloir du premier étage en haut
des marches, où Biaggi* se tenait peut-être, qui se cachait dans l'ombre
de quelque meuble. J'avançai jusqu'à l'escalier et commençai à monterau
premier étage. Je montais sans bruit, les yeux fixés devant moi qui tâchaient
de percer l'obscurité du couloir . Arrivé sur le palier, j'hésitai un instant
avant de m'engager dans le couloir et,prenant à chaque fois d'infinies
précautions, je m'introduisis dans les deux chambres à coucher qui se trou-
vaient à l'étage, la chambre des Biaggi* et la chambre d'amis, découvrant
à chaque fois une chambre parfaitement videdans l'obscurité. Aucun des
lits n'avaient été défaits, et il n'y avait aucun de trace de présence
lointainte ou récente dans aucune des deux chambres, aucun vêtement qui
traînait sur les chaises, aucunlivre ou journaux sur les tables de nuit.
La maison des Biaggi* était vide, apparemment, comme inoccupée depuis l'été.
J'étais certain, pourtant, que Biaggi se trouvait dans le village et qu'il
continuait de fréquenter sa maison. Mais cette nuit, me demandais-je, où
Biaggi était-il cette nuit ?
A l'hôtel.
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Et c'est alors, dans le silence absolu de la maison, que je crus
entendre du bruità l'étage, comme un craquement imperceptible qui venait de l'étage. Je prêtai
l'oreille attentivement, mais je n'entendis plus rien, ni à l'étage, ni
dans toute la maison, seulement le ronronnement régulier du réfrigérateur
qui se faisait entendre au loin dans la cuisine. Je ressortis du bureau
[d1] sans bruit et me rendis<d1> dans le vestibule, où je m'immobilisai contre le
mur. L'ombre de l'escalier se dressait devant moi dans l'obscurité, par-
faitement silencieuse, et j'apercevais le couloir du premier étage en haut
des marches, où Biaggi* se tenait peut-être, qui se cachait dans l'ombre
de quelque meuble. J'avançai jusqu'à l'escalier et commençai à monterau
premier étage. Je montais sans bruit, les yeux fixés devant moi qui tâchaient
de percerquelque peu l'obscuritétrès dense qui régnait dans la maison du couloir du couloir. Arrivé sur le palier, j'hésitai un instant
avant de m'engager dans le couloir et,prenant à chaque fois d'infinies
précautions, je m'introduisistour à tour sans bruit dans les deux chambres à coucher qui se trou-
vaient à l'étage, la chambre des Biaggi* et la chambre d'amis, découvrant
à chaque fois une chambre parfaitement videdans l'obscurité.dont les volets étaient fermés. Aucun des
lits n'avaient été défaits, et il n'y avait aucun de trace de présenceni dans l'une ni dans l'autre
lointainte ou récente dans aucune des deux chambres, aucun vêtement qui
traînait sur les chaises, aucunlivre ou journaux sur les tables de nuit.
Il n'y avait personne à l'étage, et La maison des Biaggi* était vide, apparemment, comme inoccupée depuis l'été.
J'étais certain, pourtant, que Biaggi* se trouvait dans le village et que'Biaggi* il se cachait de moi depuis mon arrivée. Mais où se cachait-il, me demandais-je, puisqu'il n'était pas chez lui ? et qu'il
continuait de fréquenter sa maison. Mais cette nuit, me demandais-je-- car j'étais certain que Biaggi* se trouvait dans le village --, où
Biaggi* Biaggi* était-il cette nuit ?
A l'hôtel.Biaggi* se trouvait.
-- ma chambre, celle dans laquelle il m'était ??? --
II. 74
Et c'est alors, dans le silence absolu de la maison, que je crus
entendre du bruità l'étage, comme un craquement imperceptible. Je prêtai
l'oreille attentivement, mais je n'entendis plus rien, ni à l'étage, ni
dans toute la maison, seulement le ronronnement régulier du réfrigérateur
qui se faisait entendre au loin dans la cuisine. Je ressortis du bureau
sans bruit et me rendis dans le vestibule, où je m'immobilisai contre le
mur. L'ombre de l'escalier se dressait devant moi dans l'obscurité, par-
faitement silencieuse, et j'apercevais le couloir du premier étage en haut
des marches, où Biaggi* se tenait peut-être, qui se cachait dans l'ombre
de quelque meuble. J'avançai jusqu'à l'escalier et commençai à monterau
premier étage. Je montais sans bruit, les yeux fixés devant moi qui tâchaient
de percer l'obscurité du couloir . Arrivé sur le palier, j'hésitai un instant
avant de m'engager dans le couloir et,prenant à chaque fois d'infinies
précautions, je m'introduisis dans les deux chambres à coucher qui se trou-
vaient à l'étage, la chambre des Biaggi* et la chambre d'amis, découvrant
à chaque fois une chambre parfaitement videdans l'obscurité. Aucun des
lits n'avaient été défaits, et il n'y avait aucun de trace de présence
lointainte ou récente dans aucune des deux chambres, aucun vêtement qui
traînait sur les chaises, aucunlivre ou journaux sur les tables de nuit.
La maison des Biaggi* était vide, apparemment, comme inoccupée depuis l'été.
J'étais certain, pourtant, que Biaggi se trouvait dans le village et qu'il
continuait de fréquenter sa maison. Mais cette nuit, me demandais-je, où
Biaggi était-il cette nuit ?
A l'hôtel.