II, 75

J’avançai jusqu’à l’escalier et commençai à monter. Je
montais lentement, les yeux fixés devant moi qui tâchaient de percer quelque
peu l’obscurité très dense qui régnait dans la maison. Arrivé sur le palier,
j’hésitai un instant avant de m’engager dans le couloir continuer et, longeant <#d1> le couloir [d1] sans bruit,
prenant d’infinies précautions , je m’introduisis tour à tour tour à tour avec d’infinies précautions dans les chacune des deux
chambres à coucher qui se trouvaient à l’étage, la chambre à coucher des Biaggi et
la chambre d’amis dans laquelle personne ne semblait avoir dormi depuis longtemps , découvrant à chaque fois dans l’obscurité une chambre parfaitement vide
dont les volets étaient fermés. qui semblait inoccupée depuis longtemps Aucun des lits Les lits n’avaient pas été défaits dans
aucune des deux chambres, et il n’y avait aucune pas la moindre aucune trace de présence ni dans
l’une ni dans l’autre aucune des deux chambres , aucun vêtements qui traînait sur les chaises, aucun
journaux sur les tables de nuit. Il n’y avait personne à l’étage, et la
maison des Biaggi était vide, apparemment.