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  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00080
  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

II. 80

par terre là  àcôté de  deuxgrands  sacs de ciment vides qui luisaient sous un rayon

de lune. Je m'approchai sans bruit du petitmuret de pierres tas de briques  et me penchai

sur le sol pour ramasser une truelle dans un vieux seau en fer, avant de

?  repasser lentement entre les arbres pourrejoindre la baie vitrée. regagner la terrasse.  Je me

? retournai encore une fois sur la terrasse et, m'accroupissant au pied de

? la baie vitrée, je commençai à essayer d'introduire la lame de la truelle

dans l'interstice qui séparait la vitre de la rainure d'appui pour tâcher

de débloquer la porte. Je n'y arrivai pas et je quittai la terrasse sans

me retourner, m'éloignai lentement sur la route. Je ne savais pas où j'allais,

je marchais au hasard, le col de mon manteau relevé pour me protéger du vent.

Je finis par passer le petit panneau tout abîmé qui marquait la sortie du

village, et la route devint plus sombre encore devant moi, qui montait vers

le hameau voisin en suivant les contours escarpés de la falaise. Des vagues

venaient mourir en contrebas sur les rochers sauvagesdu rivage dontles 

contours semblaient comme  aiguisés paret les contours  la lumière blanchâtre de la lune.

Je marchaisle long de la falaise  toujours sans me retourner, ignorant si quelqu'unme suivait m'avait suivi depuis l'hôtel 

et ne voulant pas le savoir, etde temps à autre, je voyais apparaître  le phare de l'île de Sasuelocontinuait 

d'apparaître au loin apparut au loin  dans la nuit, qui balayait un instant la surface de

la mer avant de disparaître de l'autre côté de l'île. Je marchai une

dizaine de minutes ainsi avant d'apercevoir devant moi la maison des

Biaggi dont le mur d'enceinte se dressait dans la nuit.

On apercevait les contours très sombres de la salle à manger de l'hôtel derrière les???  de la baie vitrée. 

les tables mises dans la pénombre qui étaient déjà prêtes pour le petit déjeuner du lendemain  

qui s'élevait dans la pénombre derrière la vitre, 

à travers la vitre, où les tables dressés pour le petit déjeuner se devinaient dans la pénombre, 

Je???  

derrière laquellese dessinaient  les contours très sombres de la salle à manger de l'hôtel, qui se dessinait dans la pénombre,     

et, se???  un instant l'intérieur de la salle à manger de l'hôtel dontles contours très sombres se devinaient à  travers la vitre,où les tables étaient déjà dressées pour lepetit-déjeuner ,  Jedevinais  apercevais les contours très sombres 

les nappes blanches???  sur les tables qui se dressaient dans pénombre.  

II. 80

par terre   àcôté de  deux  sacs de ciment vides qui luisaient sous un rayon

de lune. Je m'approchai sans bruit du petitmuret de pierres  et me penchai

sur le sol pour ramasser une truelle dans un vieux seau en fer, avant de

  repasser lentement entre les arbres pourrejoindre la baie vitrée.   Je me

 retournai encore une fois sur la terrasse et, m'accroupissant au pied de

 la baie vitrée, je commençai à essayer d'introduire la lame de la truelle

dans l'interstice qui séparait la vitre de la rainure d'appui pour tâcher

de débloquer la porte. Je n'y arrivai pas et je quittai la terrasse sans

me retourner, m'éloignai lentement sur la route. Je ne savais pas où j'allais,

je marchais au hasard, le col de mon manteau relevé pour me protéger du vent.

Je finis par passer le petit panneau tout abîmé qui marquait la sortie du

village, et la route devint plus sombre encore devant moi, qui montait vers

le hameau voisin en suivant les contours escarpés de la falaise. Des vagues

venaient mourir en contrebas sur les rochers sauvagesdu rivage dontles 

contours semblaient comme  aiguisés par  la lumière blanchâtre de la lune.

Je marchais  toujours sans me retourner, ignorant si quelqu'unme suivait  

et ne voulant pas le savoir, et  le phare de l'île de Sasuelocontinuait 

d'apparaître au loin   dans la nuit, qui balayait un instant la surface de

la mer avant de disparaître de l'autre côté de l'île. Je marchai une

dizaine de minutes ainsi avant d'apercevoir devant moi la maison des

Biaggi dont le mur d'enceinte se dressait dans la nuit.

 

 

 

 

 

 

 

 

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II. 80

par terre là  àcôté de  deuxgrands  sacs de ciment vides qui luisaient sous un rayon

de lune. Je m'approchai sans bruit du petitmuret de pierres tas de briques  et me penchai

sur le sol pour ramasser une truelle dans un vieux seau en fer, avant de

?  repasser lentement entre les arbres pourrejoindre la baie vitrée. regagner la terrasse.  Je me

? retournai encore une fois sur la terrasse et, m'accroupissant au pied de

? la baie vitrée, je commençai à essayer d'introduire la lame de la truelle

dans l'interstice qui séparait la vitre de la rainure d'appui pour tâcher

de débloquer la porte. Je n'y arrivai pas et je quittai la terrasse sans

me retourner, m'éloignai lentement sur la route. Je ne savais pas où j'allais,

je marchais au hasard, le col de mon manteau relevé pour me protéger du vent.

Je finis par passer le petit panneau tout abîmé qui marquait la sortie du

village, et la route devint plus sombre encore devant moi, qui montait vers

le hameau voisin en suivant les contours escarpés de la falaise. Des vagues

venaient mourir en contrebas sur les rochers sauvagesdu rivage dontles 

contours semblaient comme  aiguisés paret les contours  la lumière blanchâtre de la lune.

Je marchaisle long de la falaise  toujours sans me retourner, ignorant si quelqu'unme suivait m'avait suivi depuis l'hôtel 

et ne voulant pas le savoir, etde temps à autre, je voyais apparaître  le phare de l'île de Sasuelocontinuait 

d'apparaître au loin apparut au loin  dans la nuit, qui balayait un instant la surface de

la mer avant de disparaître de l'autre côté de l'île. Je marchai une

dizaine de minutes ainsi avant d'apercevoir devant moi la maison des

Biaggi dont le mur d'enceinte se dressait dans la nuit.

On apercevait les contours très sombres de la salle à manger de l'hôtel derrière les???  de la baie vitrée. 

les tables mises dans la pénombre qui étaient déjà prêtes pour le petit déjeuner du lendemain  

qui s'élevait dans la pénombre derrière la vitre, 

à travers la vitre, où les tables dressés pour le petit déjeuner se devinaient dans la pénombre, 

Je???  

derrière laquellese dessinaient  les contours très sombres de la salle à manger de l'hôtel, qui se dessinait dans la pénombre,     

et, se???  un instant l'intérieur de la salle à manger de l'hôtel dontles contours très sombres se devinaient à  travers la vitre,où les tables étaient déjà dressées pour lepetit-déjeuner ,  Jedevinais  apercevais les contours très sombres 

les nappes blanches???  sur les tables qui se dressaient dans pénombre.  

II. 80

par terre   àcôté de  deux  sacs de ciment vides qui luisaient sous un rayon

de lune. Je m'approchai sans bruit du petitmuret de pierres  et me penchai

sur le sol pour ramasser une truelle dans un vieux seau en fer, avant de

  repasser lentement entre les arbres pourrejoindre la baie vitrée.   Je me

 retournai encore une fois sur la terrasse et, m'accroupissant au pied de

 la baie vitrée, je commençai à essayer d'introduire la lame de la truelle

dans l'interstice qui séparait la vitre de la rainure d'appui pour tâcher

de débloquer la porte. Je n'y arrivai pas et je quittai la terrasse sans

me retourner, m'éloignai lentement sur la route. Je ne savais pas où j'allais,

je marchais au hasard, le col de mon manteau relevé pour me protéger du vent.

Je finis par passer le petit panneau tout abîmé qui marquait la sortie du

village, et la route devint plus sombre encore devant moi, qui montait vers

le hameau voisin en suivant les contours escarpés de la falaise. Des vagues

venaient mourir en contrebas sur les rochers sauvagesdu rivage dontles 

contours semblaient comme  aiguisés par  la lumière blanchâtre de la lune.

Je marchais  toujours sans me retourner, ignorant si quelqu'unme suivait  

et ne voulant pas le savoir, et  le phare de l'île de Sasuelocontinuait 

d'apparaître au loin   dans la nuit, qui balayait un instant la surface de

la mer avant de disparaître de l'autre côté de l'île. Je marchai une

dizaine de minutes ainsi avant d'apercevoir devant moi la maison des

Biaggi dont le mur d'enceinte se dressait dans la nuit.

 

 

 

 

 

 

 

 

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