II. 83
pourtant, en le regardant de plus près, c'est que le fragment de fil de
pêche et la tête de poisson qui pendaient la veille hors de sa gueule
avaient disparu -- comme si quelqu'un, pendant la nuit, s'était rendu dans
le port pour les faire disparaître.
La nuit suivante, vers deux ou trois heures du matin, je quittai ma
chambre sans bruit pour me rendre dans le port. Je refermai la porte derrière
moi le plus doucement possible, et je m'éloignai lentement dans les couloirs
silencieux de l'hôtel, longeant une rangée de portes closes derrière les-
quelles aucun bruit ne se faisait entendre. Arrivé au bas des escaliers,
comme je savais pour m'y être déjà heurtéune de ces nuits dernières que la
porte principale de l'hôtel était verrouilléepour pendant la nuit, je m'engageai
dans le couloir du rez-de-chaussée et je n'avais pas fait trois pas en
direction de la réception que je m'arrêtai brusquement contre le mur, me
rendant compte qu'il y avait de la lumière sous la porte de la chambre des
patrons de l'hôtel. M'avaient-ils entendus descendre ? Venaient-ils tout
juste de rallumer ? Je restai un instant immobile contre le mur sans respirer
et, n'entendant aucun bruit derrière la porte, je me remis en route tout
doucement et m'introduisissans bruit dans la salle à manger de l'hôtel.
Il n'y avait pas un bruit dans lapièce, salle à manger et,sur le sol les quelques était tout baigné de clarté
lunaire la surface de la lune qui entraient dans la pièce par la grande baie vitrée formait comme une masse de clarté blanchâtre.. Le couvert du
petit-déjeuneravait déjà été était déjà dressésur les tables pour le lendemain matin dans la pièce,
les nappesblanches mises dans lafaible clarté lunaire qui entrait dans la pièce par la grande baie vitrée pénombre lunaire qui enveloppait les lieuxet formait sur le sol comme une masse de clarté blanchâtre, et, sur
chaque table, à côté du profil parfaitement découpé des tasses blanches
retournées dans les soucoupes, était disposée une petite corbeille en osier
remplie d'échantillons de beurre et de mignonettes de confiture. Je me dirigeai
silencieusement en silence en silence vers la baie vitrée, regardant un instant la terrasse désertedans la nuit
dans la nuit, où quelquesombres troncs de tamaris se devinaient dansl'obscurité l'ombre,
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pourtant, en le regardant de plus près, c'est que le fragment de fil de
pêche et la tête de poisson qui pendaient la veille hors de sa gueule
avaient disparu -- comme si quelqu'un, pendant la nuit, s'était rendu dans
le port pour les faire disparaître.
La nuit suivante, vers deux ou trois heures du matin, je quittai ma
chambre sans bruit pour me rendre dans le port. Je refermai la porte derrière
moi le plus doucement possible, et je m'éloignai lentement dans les couloirs
silencieux de l'hôtel, longeant une rangée de portes closes derrière les-
quelles aucun bruit ne se faisait entendre. Arrivé au bas des escaliers,
comme je savais pour m'y être déjà heurtéune de ces nuits dernières que la
porte principale de l'hôtel était verrouilléepour la nuit, je m'engageai
dans le couloir du rez-de-chaussée et je n'avais pas fait trois pas en
direction de la réception que je m'arrêtai brusquement contre le mur, me
rendant compte qu'il y avait de la lumière sous la porte de la chambre des
patrons de l'hôtel. M'avaient-ils entendus descendre ? Venaient-ils tout
juste de rallumer ? Je restai un instant immobile contre le mur sans respirer
et, n'entendant aucun bruit derrière la porte, je me remis en route tout
doucement et m'introduisissans bruit dans la salle à manger de l'hôtel.
Il n'y avait pas un bruit dans lapièce, etle sol était tout baigné de clarté
lunaire qui entrait dans la pièce par la grande baie vitrée . Le couvert du
petit-déjeuneravait déjà été dressésur les tables pour le lendemain matin ,
les nappes mises dans la pénombre lunaire qui enveloppait les lieux, et, sur
chaque table, à côté du profil parfaitement découpé des tasses blanches
retournées dans les soucoupes, était disposée une petite corbeille en osier
remplie d'échantillons de beurre et de mignonettes de confiture. Je me dirigeai
en silence vers la baie vitrée, regardant un instant la terrasse déserte
dans la nuit, où quelquesombres de tamaris se devinaient dansl'obscurité ,
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pourtant, en le regardant de plus près, c'est que le fragment de fil de
pêche et la tête de poisson qui pendaient la veille hors de sa gueule
avaient disparu -- comme si quelqu'un, pendant la nuit, s'était rendu dans
le port pour les faire disparaître.
La nuit suivante, vers deux ou trois heures du matin, je quittai ma
chambre sans bruit pour me rendre dans le port. Je refermai la porte derrière
moi le plus doucement possible, et je m'éloignai lentement dans les couloirs
silencieux de l'hôtel, longeant une rangée de portes closes derrière les-
quelles aucun bruit ne se faisait entendre. Arrivé au bas des escaliers,
comme je savais pour m'y être déjà heurtéune de ces nuits dernières que la
porte principale de l'hôtel était verrouilléepour pendant la nuit, je m'engageai
dans le couloir du rez-de-chaussée et je n'avais pas fait trois pas en
direction de la réception que je m'arrêtai brusquement contre le mur, me
rendant compte qu'il y avait de la lumière sous la porte de la chambre des
patrons de l'hôtel. M'avaient-ils entendus descendre ? Venaient-ils tout
juste de rallumer ? Je restai un instant immobile contre le mur sans respirer
et, n'entendant aucun bruit derrière la porte, je me remis en route tout
doucement et m'introduisissans bruit dans la salle à manger de l'hôtel.
Il n'y avait pas un bruit dans lapièce, salle à manger et,sur le sol les quelques était tout baigné de clarté
lunaire la surface de la lune qui entraient dans la pièce par la grande baie vitrée formait comme une masse de clarté blanchâtre.. Le couvert du
petit-déjeuneravait déjà été était déjà dressésur les tables pour le lendemain matin dans la pièce,
les nappesblanches mises dans lafaible clarté lunaire qui entrait dans la pièce par la grande baie vitrée pénombre lunaire qui enveloppait les lieuxet formait sur le sol comme une masse de clarté blanchâtre, et, sur
chaque table, à côté du profil parfaitement découpé des tasses blanches
retournées dans les soucoupes, était disposée une petite corbeille en osier
remplie d'échantillons de beurre et de mignonettes de confiture. Je me dirigeai
silencieusement en silence en silence vers la baie vitrée, regardant un instant la terrasse désertedans la nuit
dans la nuit, où quelquesombres troncs de tamaris se devinaient dansl'obscurité l'ombre,
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pourtant, en le regardant de plus près, c'est que le fragment de fil de
pêche et la tête de poisson qui pendaient la veille hors de sa gueule
avaient disparu -- comme si quelqu'un, pendant la nuit, s'était rendu dans
le port pour les faire disparaître.
La nuit suivante, vers deux ou trois heures du matin, je quittai ma
chambre sans bruit pour me rendre dans le port. Je refermai la porte derrière
moi le plus doucement possible, et je m'éloignai lentement dans les couloirs
silencieux de l'hôtel, longeant une rangée de portes closes derrière les-
quelles aucun bruit ne se faisait entendre. Arrivé au bas des escaliers,
comme je savais pour m'y être déjà heurtéune de ces nuits dernières que la
porte principale de l'hôtel était verrouilléepour la nuit, je m'engageai
dans le couloir du rez-de-chaussée et je n'avais pas fait trois pas en
direction de la réception que je m'arrêtai brusquement contre le mur, me
rendant compte qu'il y avait de la lumière sous la porte de la chambre des
patrons de l'hôtel. M'avaient-ils entendus descendre ? Venaient-ils tout
juste de rallumer ? Je restai un instant immobile contre le mur sans respirer
et, n'entendant aucun bruit derrière la porte, je me remis en route tout
doucement et m'introduisissans bruit dans la salle à manger de l'hôtel.
Il n'y avait pas un bruit dans lapièce, etle sol était tout baigné de clarté
lunaire qui entrait dans la pièce par la grande baie vitrée . Le couvert du
petit-déjeuneravait déjà été dressésur les tables pour le lendemain matin ,
les nappes mises dans la pénombre lunaire qui enveloppait les lieux, et, sur
chaque table, à côté du profil parfaitement découpé des tasses blanches
retournées dans les soucoupes, était disposée une petite corbeille en osier
remplie d'échantillons de beurre et de mignonettes de confiture. Je me dirigeai
en silence vers la baie vitrée, regardant un instant la terrasse déserte
dans la nuit, où quelquesombres de tamaris se devinaient dansl'obscurité ,