II. 99
Je m'étais installé à la terrasse du bar-tabac de la rue principale
de Santagralo, où les quelques tables en plastique blanc qui avaient été
installées dehors avaient pris la pluie etquelques gouttes s'attardaient encore surles plateaux la surface des tables. continuaient de dégoutter lentement.
Mon fils était assis à côté de moi sur une chaise, les petits pieds ballant
dans le vide, et il tenait son biscuit en suspens à quelques centimètres
de sa bouche, le regard perdu vers le grand horizon. Il avait réussi à se
débarrasser d'un de sespetits botillons et son pied en chaussette battait imper
ceptiblement la mesure de quelque tempo mystérieux. Il n'y avait pratiquement
personne dans la rue principale, et une voiture passait de temps à autre
devant nous, lentement, qui traversait le village sans s'arrêter et que mon
fils suivait des yeux. Le port s'étendait de l'autre côté de la rue, où les
hauts mâtsdénudés des voiliers ancrés dans le bassin principal se balançaient
doucement sous le vent dans un cliquetiscontinu de bômes et d'haubans.
II. 99
Je m'étais installé à la terrasse du bar-tabac de la rue principale
de Santagralo, où les quelques tables en plastique blanc qui avaient été
installées dehors avaient pris la pluie et continuaient de dégoutter lentement.
Mon fils était assis à côté de moi sur une chaise, les petits pieds ballant
dans le vide, et il tenait son biscuit en suspens à quelques centimètres
de sa bouche, le regard perdu vers le grand horizon. Il avait réussi à se
débarrasser d'un de sesbotillons et son pied en chaussette battait imper
ceptiblement la mesure de quelque tempo mystérieux. Il n'y avait pratiquement
personne dans la rue principale, et une voiture passait de temps à autre
devant nous, lentement, qui traversait le village sans s'arrêter et que mon
fils suivait des yeux. Le port s'étendait de l'autre côté de la rue, où les
hauts mâtsdénudés des voiliers ancrés dans le bassin principal se balançaient
doucement sous le vent dans un cliquetis de bômes et d'haubans.
II. 99
Je m'étais installé à la terrasse du bar-tabac de la rue principale
de Santagralo, où les quelques tables en plastique blanc qui avaient été
installées dehors avaient pris la pluie etquelques gouttes s'attardaient encore surles plateaux la surface des tables. continuaient de dégoutter lentement.
Mon fils était assis à côté de moi sur une chaise, les petits pieds ballant
dans le vide, et il tenait son biscuit en suspens à quelques centimètres
de sa bouche, le regard perdu vers le grand horizon. Il avait réussi à se
débarrasser d'un de sespetits botillons et son pied en chaussette battait imper
ceptiblement la mesure de quelque tempo mystérieux. Il n'y avait pratiquement
personne dans la rue principale, et une voiture passait de temps à autre
devant nous, lentement, qui traversait le village sans s'arrêter et que mon
fils suivait des yeux. Le port s'étendait de l'autre côté de la rue, où les
hauts mâtsdénudés des voiliers ancrés dans le bassin principal se balançaient
doucement sous le vent dans un cliquetiscontinu de bômes et d'haubans.
II. 99
Je m'étais installé à la terrasse du bar-tabac de la rue principale
de Santagralo, où les quelques tables en plastique blanc qui avaient été
installées dehors avaient pris la pluie et continuaient de dégoutter lentement.
Mon fils était assis à côté de moi sur une chaise, les petits pieds ballant
dans le vide, et il tenait son biscuit en suspens à quelques centimètres
de sa bouche, le regard perdu vers le grand horizon. Il avait réussi à se
débarrasser d'un de sesbotillons et son pied en chaussette battait imper
ceptiblement la mesure de quelque tempo mystérieux. Il n'y avait pratiquement
personne dans la rue principale, et une voiture passait de temps à autre
devant nous, lentement, qui traversait le village sans s'arrêter et que mon
fils suivait des yeux. Le port s'étendait de l'autre côté de la rue, où les
hauts mâtsdénudés des voiliers ancrés dans le bassin principal se balançaient
doucement sous le vent dans un cliquetis de bômes et d'haubans.