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  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00100
  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

II. 100

 Je m'étais installé à la terrasse du bar-tabacde la rue principale de Santagralo, où les quelques tables

en plastique blanc qui avaient été installées dehors avaient pris la pluie

et continuaient de dégoutter lentement, quelques gouttes d'eau intactes

s'attardant encore çà et là sur le dossier des chaises.[Mon fils se tenait

à côté de moi dans sa poussette, la tête bien droite sous sa cagoule, et

terminait pensivement son biscuit les yeux perdus dans le vague. Il avait

réussi à se débarrasser d'un de ses petits botillons  et son pied en chaus-

sette battait lentement quelque mesure mystérieuse qui devait résonner

dans son esprit.] 

Mon fils était assis à côté de moidans sa poussette, la tête bien droite sur une chaise, les petits pieds ballants dans le vide 

sous sa cagoule, et il tenait son biscuit en suspens à quelques centimètres

de sa boucheouverte, le regard perdu vers le grand horizon. Il avait

réussi à se débarrasser d'un de ses petits botillons et son pied en chaus-

sette batait lentementla mesure de quelquemesure tempo mystérieusex. Il n'y avait pratiquement

personne dansle village la rue principale, et une voiture passait de temps à autredevantmoi nous, lentement

qui traversaitla rue principale le village sans s'arrêter et que mon fils suivait des yeux,tandis qu'en face de moi, de l'autre 

côté de la rue, [je pouvais voir le port Dans lLe port,que l'on apercevait de l'autre côté de la rue, s'étendait de l'autre côté de la rue, où les mâts de voiliers ancrés , où,de l'autre côté de la rue quelques voiliers ancrés dans

le bassin principal se balançaient doucement sous le vent dans un cliquetis

continu de bômes et d'haubans.

II. 100

 Je m'étais installé à la terrasse du bar-tabac, où les quelques tables

en plastique blanc qui avaient été installées dehors avaient pris la pluie

et continuaient de dégoutter lentement, quelques gouttes d'eau intactes

s'attardant encore çà et là sur le dossier des chaises.Mon fils se tenait

à côté de moi dans sa poussette, la tête bien droite sous sa cagoule, et

terminait pensivement son biscuit les yeux perdus dans le vague. Il avait

réussi à se débarrasser d'un de ses petits botillons  et son pied en chaus-

sette battait lentement quelque mesure mystérieuse qui devait résonner

dans son esprit. 

Mon fils était assis à côté de moidans sa poussette, la tête bien droite  

sous sa cagoule, et il tenait son biscuit en suspens à quelques centimètres

de sa boucheouverte, le regard perdu vers le grand horizon. Il avait

réussi à se débarrasser d'un de ses petits botillons et son pied en chaus-

sette batait lentement quelquemesure  mystérieuse. Il n'y avait pratiquement

personne dansle village et une voiture passait de temps à autre, lentement

qui traversaitla rue principale ,tandis qu'en face de moi, de l'autre 

côté de la rue, je pouvais voir le port  , oùquelques voiliers ancrés dans

le bassin principal se balançaient doucement sous le vent dans un cliquetis

continu de bômes et d'haubans.

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II. 100

 Je m'étais installé à la terrasse du bar-tabacde la rue principale de Santagralo, où les quelques tables

en plastique blanc qui avaient été installées dehors avaient pris la pluie

et continuaient de dégoutter lentement, quelques gouttes d'eau intactes

s'attardant encore çà et là sur le dossier des chaises.[Mon fils se tenait

à côté de moi dans sa poussette, la tête bien droite sous sa cagoule, et

terminait pensivement son biscuit les yeux perdus dans le vague. Il avait

réussi à se débarrasser d'un de ses petits botillons  et son pied en chaus-

sette battait lentement quelque mesure mystérieuse qui devait résonner

dans son esprit.] 

Mon fils était assis à côté de moidans sa poussette, la tête bien droite sur une chaise, les petits pieds ballants dans le vide 

sous sa cagoule, et il tenait son biscuit en suspens à quelques centimètres

de sa boucheouverte, le regard perdu vers le grand horizon. Il avait

réussi à se débarrasser d'un de ses petits botillons et son pied en chaus-

sette batait lentementla mesure de quelquemesure tempo mystérieusex. Il n'y avait pratiquement

personne dansle village la rue principale, et une voiture passait de temps à autredevantmoi nous, lentement

qui traversaitla rue principale le village sans s'arrêter et que mon fils suivait des yeux,tandis qu'en face de moi, de l'autre 

côté de la rue, [je pouvais voir le port Dans lLe port,que l'on apercevait de l'autre côté de la rue, s'étendait de l'autre côté de la rue, où les mâts de voiliers ancrés , où,de l'autre côté de la rue quelques voiliers ancrés dans

le bassin principal se balançaient doucement sous le vent dans un cliquetis

continu de bômes et d'haubans.

II. 100

 Je m'étais installé à la terrasse du bar-tabac, où les quelques tables

en plastique blanc qui avaient été installées dehors avaient pris la pluie

et continuaient de dégoutter lentement, quelques gouttes d'eau intactes

s'attardant encore çà et là sur le dossier des chaises.Mon fils se tenait

à côté de moi dans sa poussette, la tête bien droite sous sa cagoule, et

terminait pensivement son biscuit les yeux perdus dans le vague. Il avait

réussi à se débarrasser d'un de ses petits botillons  et son pied en chaus-

sette battait lentement quelque mesure mystérieuse qui devait résonner

dans son esprit. 

Mon fils était assis à côté de moidans sa poussette, la tête bien droite  

sous sa cagoule, et il tenait son biscuit en suspens à quelques centimètres

de sa boucheouverte, le regard perdu vers le grand horizon. Il avait

réussi à se débarrasser d'un de ses petits botillons et son pied en chaus-

sette batait lentement quelquemesure  mystérieuse. Il n'y avait pratiquement

personne dansle village et une voiture passait de temps à autre, lentement

qui traversaitla rue principale ,tandis qu'en face de moi, de l'autre 

côté de la rue, je pouvais voir le port  , oùquelques voiliers ancrés dans

le bassin principal se balançaient doucement sous le vent dans un cliquetis

continu de bômes et d'haubans.

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