II. 108
Je m'étaisassis installé à la terrasse du bar-tabac pour prendre l'apéritif,
etil n'y avait pratiquement personne dans la rue principale. [mon fils,que j'avais installé se tenait à côté de moi dans sa poussette,immobile qui tenait
son biscuit en suspens à quelques centimètres de sa bouche ouvertele regard perdu vers le grand horizon. Il
avait déjà réussi à se débarrasser d'un de ses petits botillons et son
pied en chaussette battait quelque mesure mystérieuse qui devait résonner
doucereusement dans son esprit. Il n'y avait que trois tables sur le
trottoir, et nous voyions le port en face de nous, de l'autre côté de
la rue, où les mats des voiliers ancrés dans le bassin principal se balançaient doucement sous le vent
dans un cliquetis de bômes et d'haubans. Une voiture passait de temps à
autre dans le village, lentement, qui traversait la rue principale sans
s'arrêter.
II. 108
Je m'étaisassis à la terrasse du bar-tabac pour prendre l'apéritif,
etmon fils,que j'avais installé à côté de moi dans sa poussette,tenait
son biscuit en suspens à quelques centimètres de sa bouche ouverte. Il
avait déjà réussi à se débarrasser d'un de ses petits botillons et son
pied en chaussette battait quelque mesure mystérieuse qui devait résonner
doucereusement dans son esprit. Il n'y avait que trois tables sur le
trottoir, et nous voyions le port en face de nous, de l'autre côté de
la rue, où les mats des voiliers se balançaient doucement sous le vent
dans un cliquetis de bômes et d'haubans. Une voiture passait de temps à
autre dans le village, lentement, qui traversait la rue principale sans
s'arrêter.
II. 108
Je m'étaisassis installé à la terrasse du bar-tabac pour prendre l'apéritif,
etil n'y avait pratiquement personne dans la rue principale. [mon fils,que j'avais installé se tenait à côté de moi dans sa poussette,immobile qui tenait
son biscuit en suspens à quelques centimètres de sa bouche ouvertele regard perdu vers le grand horizon. Il
avait déjà réussi à se débarrasser d'un de ses petits botillons et son
pied en chaussette battait quelque mesure mystérieuse qui devait résonner
doucereusement dans son esprit. Il n'y avait que trois tables sur le
trottoir, et nous voyions le port en face de nous, de l'autre côté de
la rue, où les mats des voiliers ancrés dans le bassin principal se balançaient doucement sous le vent
dans un cliquetis de bômes et d'haubans. Une voiture passait de temps à
autre dans le village, lentement, qui traversait la rue principale sans
s'arrêter.
II. 108
Je m'étaisassis à la terrasse du bar-tabac pour prendre l'apéritif,
etmon fils,que j'avais installé à côté de moi dans sa poussette,tenait
son biscuit en suspens à quelques centimètres de sa bouche ouverte. Il
avait déjà réussi à se débarrasser d'un de ses petits botillons et son
pied en chaussette battait quelque mesure mystérieuse qui devait résonner
doucereusement dans son esprit. Il n'y avait que trois tables sur le
trottoir, et nous voyions le port en face de nous, de l'autre côté de
la rue, où les mats des voiliers se balançaient doucement sous le vent
dans un cliquetis de bômes et d'haubans. Une voiture passait de temps à
autre dans le village, lentement, qui traversait la rue principale sans
s'arrêter.