II. 109
ni par quelque coquetterie de principe que je ne voulais pas que l'on
donne de biscuit à mon fils quand il ne pleurait pas, mais tout simplement,
parce que, si on lui donnait des biscuits quand il ne pleurait pas, les
biscuits ne lui feraient plus aucun effet quand il pleurerait. Je suis
confuse, je ne savais pas, dit la dame, et elle me rendit précautionneusement
la tétinemouillée de mon fils queje lui pris des mains avec des pincettes en essayant de ne pas trop lui nous emberlificoter les doigts dans l'opération nous essayâmes de faire passerdignement de main
en main sans trop nous mouiller les doigts dans l'opération.
que nous nous fîmes passer avec des pincettes
II. 109
ni par quelque coquetterie de principe que je ne voulais pas que l'on
donne de biscuit à mon fils quand il ne pleurait pas, mais tout simplement,
parce que, si on lui donnait des biscuits quand il ne pleurait pas, les
biscuits ne lui feraient plus aucun effet quand il pleurerait. Je suis
confuse, je ne savais pas, dit la dame, et elle me rendit précautionneusement
la tétine de mon fils que nous essayâmes de faire passerdignement de main
en main sans trop nous mouiller les doigts dans l'opération.
II. 109
ni par quelque coquetterie de principe que je ne voulais pas que l'on
donne de biscuit à mon fils quand il ne pleurait pas, mais tout simplement,
parce que, si on lui donnait des biscuits quand il ne pleurait pas, les
biscuits ne lui feraient plus aucun effet quand il pleurerait. Je suis
confuse, je ne savais pas, dit la dame, et elle me rendit précautionneusement
la tétinemouillée de mon fils queje lui pris des mains avec des pincettes en essayant de ne pas trop lui nous emberlificoter les doigts dans l'opération nous essayâmes de faire passerdignement de main
en main sans trop nous mouiller les doigts dans l'opération.
que nous nous fîmes passer avec des pincettes
II. 109
ni par quelque coquetterie de principe que je ne voulais pas que l'on
donne de biscuit à mon fils quand il ne pleurait pas, mais tout simplement,
parce que, si on lui donnait des biscuits quand il ne pleurait pas, les
biscuits ne lui feraient plus aucun effet quand il pleurerait. Je suis
confuse, je ne savais pas, dit la dame, et elle me rendit précautionneusement
la tétine de mon fils que nous essayâmes de faire passerdignement de main
en main sans trop nous mouiller les doigts dans l'opération.