II. 117
ni par quelque coquetterie de principe que je ne voulais pas que l'on
donne de biscuit à mon fils quand il pleurait pas, mais tout simplement,
parce que, si on lui donnait des biscuits quand il ne pleurait pas, les
biscuits ne lui feraient plus aucun effet quand il pleurerait.Vous me Où est sa tétine ? dis-je.
suivez ? dis-je. Je suis confuse,je ne sais pas, dit la dame, et elle me rendit précau-
tionneusement la tétine mouillée de mon fils que nousfîmes essayâmes de faire passerdignement de main
en mainavec des pincettes en essayant de ne pas sans trop nous caresser les
doigts dans l'opértion.(allez, au revoir, madame, dis-je)
II. 117
ni par quelque coquetterie de principe que je ne voulais pas que l'on
donne de biscuit à mon fils quand il pleurait pas, mais tout simplement,
parce que, si on lui donnait des biscuits quand il ne pleurait pas, les
biscuits ne lui feraient plus aucun effet quand il pleurerait.Vous me
suivez ? dis-je. Je suis confuse, dit la dame, et elle me rendit précau-
tionneusement la tétine mouillée de mon fils que nousfîmes passer de main
en mainavec des pincettes en essayant de ne pas trop nous caresser les
doigts dans l'opértion.
II. 117
ni par quelque coquetterie de principe que je ne voulais pas que l'on
donne de biscuit à mon fils quand il pleurait pas, mais tout simplement,
parce que, si on lui donnait des biscuits quand il ne pleurait pas, les
biscuits ne lui feraient plus aucun effet quand il pleurerait.Vous me Où est sa tétine ? dis-je.
suivez ? dis-je. Je suis confuse,je ne sais pas, dit la dame, et elle me rendit précau-
tionneusement la tétine mouillée de mon fils que nousfîmes essayâmes de faire passerdignement de main
en mainavec des pincettes en essayant de ne pas sans trop nous caresser les
doigts dans l'opértion.(allez, au revoir, madame, dis-je)
II. 117
ni par quelque coquetterie de principe que je ne voulais pas que l'on
donne de biscuit à mon fils quand il pleurait pas, mais tout simplement,
parce que, si on lui donnait des biscuits quand il ne pleurait pas, les
biscuits ne lui feraient plus aucun effet quand il pleurerait.Vous me
suivez ? dis-je. Je suis confuse, dit la dame, et elle me rendit précau-
tionneusement la tétine mouillée de mon fils que nousfîmes passer de main
en mainavec des pincettes en essayant de ne pas trop nous caresser les
doigts dans l'opértion.