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  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00130
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II. 130

Finalement, pour pouvoir faire mes courses à l'aise, jerevins pour me dirigeai vers

la vcaisse et, m'adressant à une vieille dame qui faisait la queue, je

luidemandai sije pouvais le lui confier quelques instants  elle pouvait me  expliquai que cela m'arrangerait les bidons qu'elle veuille bien me

le garder quelques instants. Elle eut l'air tout à fait ravie. Qu'il est

mignon gracieux mignon, dit-elle en se penchant vers lui.Gracieux ? S'il pleure,

vous lui donnez un biscuit, hein, dis-je en partant, et je lui tendis le

paquet de biscuit de mon fils. Oui, monsieur, dit-elle, et elle commença

à jouer avec mon fils. Mais s'il ne pleure pas, pas de biscuit, hein,

dis-je en revenantaussitôt. Pas de pleurs, pas de biscuit, hein, nous

sommes d'accord ? Oui, monsieur, dit-elle. Merci, madame, dis-je, et je

m'éloignai (je me méfiais).

 Alors, il a pleuré ? dis-je en revenant. Non, non, pas du tout, dit-elle.

Oh, -- un tout petit peu, dit-elle en voyant mon regard sévère posé sur

le biscuit que mangeait mon fils(je le savais, je le savais). Ecoutez,

madame, dis-je d'une voix blanche. Elle me regardait, un peu mal à l'aise,

se tourna vers mon fils pour lui caresser la joue. Il vous ressemble, n'est-ce

pas, dit-elle. Ecoutez, madame, dis-je. Les yeux, les mêmes, dit-elle.<d1>Quant

au petit séducteur international à mon fils , lui,   , il écoutaoit en souriant d'aise,, lui, penché

en arrière dans sa poussette, et ses yeux allaient de moi à la dame. Avec

son biscuit. Méfie-toi, lui dis-je.[d1] Ecoutez, madame, dis-je,          j'étias 

très calme.     et je laissais tomber.  

J'avais quitté le supermarché après avoir dit au-revoir à la dame(<d2>

Au-revoir, madame, dis-je d'une voix très froide, et je quittai le magasin 

avec mon fils --[d2] même pas merci.  

    Bon. 

L'apéritif au tabac.Quelques tables dehors, blanches, terrasse déserte.

Je détache mon fils de la pousette. Il se redressen en s'accrochant

àa la table, allait de la table à la chaise. le sol humide de pluie,

les genoux sales. et retombait sur son petit derrière rembourré.

Je vais acheter des ciagrettes.

Quand je reviens, je lui demandai ce qu'il était en train de faire, là,

révérence parler.

Restaurant / Mon fils s'endort dans la poussette

                                  (mon fils était un des types qui dormait le plus 

                                                           que je connaissais). 

II. 130

Finalement, pour pouvoir faire mes courses à l'aise, je me dirigeai vers

la vcaisse et, m'adressant à une vieille dame qui faisait la queue, je

lui  expliquai que cela m'arrangerait les bidons qu'elle veuille bien me

le garder quelques instants. Elle eut l'air tout à fait ravie. Qu'il est

mignon gracieux , dit-elle en se penchant vers lui.Gracieux ? S'il pleure,

vous lui donnez un biscuit, hein, dis-je en partant, et je lui tendis le

paquet de biscuit de mon fils. Oui, monsieur, dit-elle, et elle commença

à jouer avec mon fils. Mais s'il ne pleure pas, pas de biscuit, hein,

dis-je en revenantaussitôt. Pas de pleurs, pas de biscuit, hein, nous

sommes d'accord ? Oui, monsieur, dit-elle. Merci, madame, dis-je, et je

m'éloignai (je me méfiais).

 Alors, il a pleuré ? dis-je en revenant. Non, non, pas du tout, dit-elle.

Oh, -- un tout petit peu, dit-elle en voyant mon regard sévère posé sur

le biscuit que mangeait mon fils(je le savais, je le savais). Ecoutez,

madame, dis-je d'une voix blanche. Elle me regardait, un peu mal à l'aise,

se tourna vers mon fils pour lui caresser la joue. Il vous ressemble, n'est-ce

pas, dit-elle. Ecoutez, madame, dis-je. Les yeux, les mêmes, dit-elle.Quant

au petit séducteur international    , il écoutaoit en souriant d'aise, penché

en arrière dans sa poussette, et ses yeux allaient de moi à la dame. Avec

son biscuit. Méfie-toi, lui dis-je. Ecoutez, madame, dis-je,          j'étias 

très calme.      

Au-revoir, madame, dis-je d'une voix très froide, et je quittai le magasin 

avec mon fils -- même pas merci.  

     

L'apéritif au tabac.Quelques tables dehors, blanches, terrasse déserte.

Je détache mon fils de la pousette. Il se redressen en s'accrochant

àa la table, allait de la table à la chaise. le sol humide de pluie,

les genoux sales. et retombait sur son petit derrière rembourré.

Je vais acheter des ciagrettes.

Quand je reviens, je lui demandai ce qu'il était en train de faire, là,

révérence parler.

                                   

                                                            

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II. 130

Finalement, pour pouvoir faire mes courses à l'aise, jerevins pour me dirigeai vers

la vcaisse et, m'adressant à une vieille dame qui faisait la queue, je

luidemandai sije pouvais le lui confier quelques instants  elle pouvait me  expliquai que cela m'arrangerait les bidons qu'elle veuille bien me

le garder quelques instants. Elle eut l'air tout à fait ravie. Qu'il est

mignon gracieux mignon, dit-elle en se penchant vers lui.Gracieux ? S'il pleure,

vous lui donnez un biscuit, hein, dis-je en partant, et je lui tendis le

paquet de biscuit de mon fils. Oui, monsieur, dit-elle, et elle commença

à jouer avec mon fils. Mais s'il ne pleure pas, pas de biscuit, hein,

dis-je en revenantaussitôt. Pas de pleurs, pas de biscuit, hein, nous

sommes d'accord ? Oui, monsieur, dit-elle. Merci, madame, dis-je, et je

m'éloignai (je me méfiais).

 Alors, il a pleuré ? dis-je en revenant. Non, non, pas du tout, dit-elle.

Oh, -- un tout petit peu, dit-elle en voyant mon regard sévère posé sur

le biscuit que mangeait mon fils(je le savais, je le savais). Ecoutez,

madame, dis-je d'une voix blanche. Elle me regardait, un peu mal à l'aise,

se tourna vers mon fils pour lui caresser la joue. Il vous ressemble, n'est-ce

pas, dit-elle. Ecoutez, madame, dis-je. Les yeux, les mêmes, dit-elle.<d1>Quant

au petit séducteur international à mon fils , lui,   , il écoutaoit en souriant d'aise,, lui, penché

en arrière dans sa poussette, et ses yeux allaient de moi à la dame. Avec

son biscuit. Méfie-toi, lui dis-je.[d1] Ecoutez, madame, dis-je,          j'étias 

très calme.     et je laissais tomber.  

J'avais quitté le supermarché après avoir dit au-revoir à la dame(<d2>

Au-revoir, madame, dis-je d'une voix très froide, et je quittai le magasin 

avec mon fils --[d2] même pas merci.  

    Bon. 

L'apéritif au tabac.Quelques tables dehors, blanches, terrasse déserte.

Je détache mon fils de la pousette. Il se redressen en s'accrochant

àa la table, allait de la table à la chaise. le sol humide de pluie,

les genoux sales. et retombait sur son petit derrière rembourré.

Je vais acheter des ciagrettes.

Quand je reviens, je lui demandai ce qu'il était en train de faire, là,

révérence parler.

Restaurant / Mon fils s'endort dans la poussette

                                  (mon fils était un des types qui dormait le plus 

                                                           que je connaissais). 

II. 130

Finalement, pour pouvoir faire mes courses à l'aise, je me dirigeai vers

la vcaisse et, m'adressant à une vieille dame qui faisait la queue, je

lui  expliquai que cela m'arrangerait les bidons qu'elle veuille bien me

le garder quelques instants. Elle eut l'air tout à fait ravie. Qu'il est

mignon gracieux , dit-elle en se penchant vers lui.Gracieux ? S'il pleure,

vous lui donnez un biscuit, hein, dis-je en partant, et je lui tendis le

paquet de biscuit de mon fils. Oui, monsieur, dit-elle, et elle commença

à jouer avec mon fils. Mais s'il ne pleure pas, pas de biscuit, hein,

dis-je en revenantaussitôt. Pas de pleurs, pas de biscuit, hein, nous

sommes d'accord ? Oui, monsieur, dit-elle. Merci, madame, dis-je, et je

m'éloignai (je me méfiais).

 Alors, il a pleuré ? dis-je en revenant. Non, non, pas du tout, dit-elle.

Oh, -- un tout petit peu, dit-elle en voyant mon regard sévère posé sur

le biscuit que mangeait mon fils(je le savais, je le savais). Ecoutez,

madame, dis-je d'une voix blanche. Elle me regardait, un peu mal à l'aise,

se tourna vers mon fils pour lui caresser la joue. Il vous ressemble, n'est-ce

pas, dit-elle. Ecoutez, madame, dis-je. Les yeux, les mêmes, dit-elle.Quant

au petit séducteur international    , il écoutaoit en souriant d'aise, penché

en arrière dans sa poussette, et ses yeux allaient de moi à la dame. Avec

son biscuit. Méfie-toi, lui dis-je. Ecoutez, madame, dis-je,          j'étias 

très calme.      

Au-revoir, madame, dis-je d'une voix très froide, et je quittai le magasin 

avec mon fils -- même pas merci.  

     

L'apéritif au tabac.Quelques tables dehors, blanches, terrasse déserte.

Je détache mon fils de la pousette. Il se redressen en s'accrochant

àa la table, allait de la table à la chaise. le sol humide de pluie,

les genoux sales. et retombait sur son petit derrière rembourré.

Je vais acheter des ciagrettes.

Quand je reviens, je lui demandai ce qu'il était en train de faire, là,

révérence parler.

                                   

                                                            

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