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  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00131
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  • Tapuscrit

II. 131

 Le ciel était bas et menaçant au-dessus du village, et nous nous

dirigions vers le supermarché, mon filsdevant moi dans la poussette qui regardait

tout autour de lui avec une extrêmecuriosité, la tête bien droite sous attention, comme s'il devinait chaque chose pour la première fois qu'ilet la  l'avait 

sa cagoule.Arrivé Dans le magasintandis que j'apercevaisdans  entre les rayons en poussantlsa poussette, il tendait les bras pour essayer de s'emparer de tout ce qui passait à sa portée, il essaya de s'emparer de tout ce qui passait

sous la main, et j'étais obligé de manoeuvrer la poussette avec un mélange

de rapidité et d'adresse pourle predre de vitesse et  l'éloigner de justesse

des marchandises qu'il s'apprêtait à prendre dans les rayons. Un peu

décontenancé,mon fils il était rabattu en arrièredans son siège avec son phoque  à chacune

de mes accélérations et mettait un moment avant de se redresser, ce qui

ne l'empêchait pas, une fois remis d'aplomb, de tendre le bras à nouveau

dans l'intention pour essayer  de jeter son petit dévolu sur quelque produit entreposé

à sa hauteur. Finalement(il commençait à m'agacer), pouyr pouvoir faire mes courses tranquillement,

je revins vers la caisse et, m'adressantpoliment  à une vieille dame qui

faisait la queue, je luiexpliquai que cela m'arrangearit les bidons demandai si elle avait l'amabilité de bien vouloir 

qu'elle veuille bien  me le garder quelques instantsle temps que je fasse mes courses et. Elle eut l'air tout

à fait ravie.[d1]Qu'il est mignon, dit-elle.   S'il pleure, vous lui donnez

un biscuit,hein hein,lui dis-je en partant et je lui tendis le paquet de biscuits

de mon fils.<d1> Oui, monsieur, dit-elle, et elle commença à jouer avec mon fils.  Mais s'il ne pleure pas, pas de biscuits, hein, dis-je en

revenantméfiant. Pas de pleurs, pas de biscuit, hein,madame,  nous sommes

d'accord ? Oui, monsieur, dit-elle. Merci, madame, dis-je, et je m'éloignai

( je me méfiais).

II. 131

 Le ciel était bas et menaçant au-dessus du village, et nous nous

dirigions vers le supermarché, mon fils dans la poussette qui regardait

tout autour de lui avec une extrêmecuriosité, la tête bien droite sous  

sa cagoule. Dans le magasin, il essaya de s'emparer de tout ce qui passait

sous la main, et j'étais obligé de manoeuvrer la poussette avec un mélange

de rapidité et d'adresse pourle predre de vitesse et  l'éloigner de justesse

des marchandises qu'il s'apprêtait à prendre dans les rayons. Un peu

décontenancé,mon fils  était rabattu en arrièredans son siège   à chacune

de mes accélérations et mettait un moment avant de se redresser, ce qui

ne l'empêchait pas, une fois remis d'aplomb, de tendre le bras à nouveau

dans l'intention   de jeter son petit dévolu sur quelque produit entreposé

à sa hauteur. Finalement, pouyr pouvoir faire mes courses tranquillement,

je revins vers la caisse et, m'adressantpoliment  à une vieille dame qui

faisait la queue, je luiexpliquai que cela m'arrangearit les bidons  

qu'elle veuille bien  me le garder quelques instants. Elle eut l'air tout

à fait ravie.Qu'il est mignon, dit-elle.   S'il pleure, vous lui donnez

un biscuit,hein , dis-je en partant et je lui tendis le paquet de biscuits

de mon fils.   Mais s'il ne pleure pas, pas de biscuits, hein, dis-je en

revenant. Pas de pleurs, pas de biscuit, hein,madame,  nous sommes

d'accord ? Oui, monsieur, dit-elle. Merci, madame, dis-je, et je m'éloignai

( je me méfiais).

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II. 131

 Le ciel était bas et menaçant au-dessus du village, et nous nous

dirigions vers le supermarché, mon filsdevant moi dans la poussette qui regardait

tout autour de lui avec une extrêmecuriosité, la tête bien droite sous attention, comme s'il devinait chaque chose pour la première fois qu'ilet la  l'avait 

sa cagoule.Arrivé Dans le magasintandis que j'apercevaisdans  entre les rayons en poussantlsa poussette, il tendait les bras pour essayer de s'emparer de tout ce qui passait à sa portée, il essaya de s'emparer de tout ce qui passait

sous la main, et j'étais obligé de manoeuvrer la poussette avec un mélange

de rapidité et d'adresse pourle predre de vitesse et  l'éloigner de justesse

des marchandises qu'il s'apprêtait à prendre dans les rayons. Un peu

décontenancé,mon fils il était rabattu en arrièredans son siège avec son phoque  à chacune

de mes accélérations et mettait un moment avant de se redresser, ce qui

ne l'empêchait pas, une fois remis d'aplomb, de tendre le bras à nouveau

dans l'intention pour essayer  de jeter son petit dévolu sur quelque produit entreposé

à sa hauteur. Finalement(il commençait à m'agacer), pouyr pouvoir faire mes courses tranquillement,

je revins vers la caisse et, m'adressantpoliment  à une vieille dame qui

faisait la queue, je luiexpliquai que cela m'arrangearit les bidons demandai si elle avait l'amabilité de bien vouloir 

qu'elle veuille bien  me le garder quelques instantsle temps que je fasse mes courses et. Elle eut l'air tout

à fait ravie.[d1]Qu'il est mignon, dit-elle.   S'il pleure, vous lui donnez

un biscuit,hein hein,lui dis-je en partant et je lui tendis le paquet de biscuits

de mon fils.<d1> Oui, monsieur, dit-elle, et elle commença à jouer avec mon fils.  Mais s'il ne pleure pas, pas de biscuits, hein, dis-je en

revenantméfiant. Pas de pleurs, pas de biscuit, hein,madame,  nous sommes

d'accord ? Oui, monsieur, dit-elle. Merci, madame, dis-je, et je m'éloignai

( je me méfiais).

II. 131

 Le ciel était bas et menaçant au-dessus du village, et nous nous

dirigions vers le supermarché, mon fils dans la poussette qui regardait

tout autour de lui avec une extrêmecuriosité, la tête bien droite sous  

sa cagoule. Dans le magasin, il essaya de s'emparer de tout ce qui passait

sous la main, et j'étais obligé de manoeuvrer la poussette avec un mélange

de rapidité et d'adresse pourle predre de vitesse et  l'éloigner de justesse

des marchandises qu'il s'apprêtait à prendre dans les rayons. Un peu

décontenancé,mon fils  était rabattu en arrièredans son siège   à chacune

de mes accélérations et mettait un moment avant de se redresser, ce qui

ne l'empêchait pas, une fois remis d'aplomb, de tendre le bras à nouveau

dans l'intention   de jeter son petit dévolu sur quelque produit entreposé

à sa hauteur. Finalement, pouyr pouvoir faire mes courses tranquillement,

je revins vers la caisse et, m'adressantpoliment  à une vieille dame qui

faisait la queue, je luiexpliquai que cela m'arrangearit les bidons  

qu'elle veuille bien  me le garder quelques instants. Elle eut l'air tout

à fait ravie.Qu'il est mignon, dit-elle.   S'il pleure, vous lui donnez

un biscuit,hein , dis-je en partant et je lui tendis le paquet de biscuits

de mon fils.   Mais s'il ne pleure pas, pas de biscuits, hein, dis-je en

revenant. Pas de pleurs, pas de biscuit, hein,madame,  nous sommes

d'accord ? Oui, monsieur, dit-elle. Merci, madame, dis-je, et je m'éloignai

( je me méfiais).

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