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  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00132
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II. 132

ancrés dans le bassin principal se balançaient doucement sous le vent dans

un cliquetis de bômes et d'haubans. Le ciel était bas et menaçant

au-dessus du village, et il n'y avait pratiquement personne dans la rue

principale. Le bar-tabac était ouvert, où quelques tables blanches désertes

étaient disposées en terrasse sur le trottoir, et une voiture passait de

temps à autredans le village, lentement, qui traversaitle village la rue principale sans s'arrêter.[Mon

fils se laissait conduire était rest demeurait  demeurait impassible  dans sa poussette,qui se laissait conduire[d1] la tête bien droite sous sa
cagoule
, et il en  regardait toutautour de lui ce qui défilait  avec une extrême curisité<d1>. Dans

le supermarché, ilcommença à tendre les bras pour tâcher de voulut  s'emparer

detout ce qui passait à sa portée, et je manoeuvrais sa poussette entre

les rayons avec un mélange de rapidité et d'adresse pour le prendre de

vitesse et l'éloigner des rayons,.pas maladroit ma foi dans ce gymkhana 

improvisé dans le magasin.  Un peu décontenancé, mon fils était rabattu

en arrière dans son siège à chacune de mes accélérations et mettait un

moment avant de se redresser, ce qui ne l'empêchait pas, une fois remis

d'aplomb, de tendre les bras à nouveauavec avidité pour tâchervouloir de jeter son petit

dévolu sur quelque produit entreposé à sa hauteur. Finalement, pour

pouvoir mes courses à l'aisetranquillement, je revins vers la caisse et, m'appro

chantpoliment  d'une vieille dame qui faisait la queur, je luidemandai expliquai poliment que 

si elle pouvait me garder mon fils quelques instants cela m'arrangerait les bidons qu'elle veuille bien me le garder quelques instants . Elle ent l   et et (ellelle ne fit aucune difficulté, 

eutmême l'air tout à fait raviede se le voir confier.Qu'il est mignon, dit-elle en se tournant vers lui S'il pleure, vous lui donnez un biscuit,hein hein,madame, lui 

dis-je en partant, et je lui tendis le paquet de biscuits de mon fils. Oui,

monsieur, dit-elle, et elle commença à jouer avec mon fils.Qu'il est 

mignon, dit-elle. Mais s'il ne pleure pas, pas de biscuit, hein, dis-je

en revant. Pas de pleurs, pas de biscuit,hein, n'est-ce pas heinmadame madame,  nous sommes d'accord ?

Oui, monsieur, dit-elle. Merci, madame, dis-je, et je m'éloignai (je me

méfiais).

et, non seulement elle ne fit aucune difficulté, mais eut même 

m'??? ' arranger les???   bidons, 

II. 132

ancrés dans le bassin principal se balançaient doucement sous le vent dans

un cliquetis de bômes et d'haubans. Le ciel était bas et menaçant

au-dessus du village, et il n'y avait pratiquement personne dans la rue

principale. Le bar-tabac était ouvert, où quelques tables blanches désertes

étaient disposées en terrasse sur le trottoir, et une voiture passait de

temps à autre, lentement, qui traversaitle village  sans s'arrêter.Mon

fils se laissait conduire   dans sa poussette, la tête bien droite sous sa cagoule, et il   regardait toutautour de lui   avec une extrême curisité. Dans

le supermarché, ilcommença à tendre les bras pour tâcher de   s'emparer

detout ce qui passait à sa portée, et je manoeuvrais sa poussette entre

les rayons avec un mélange de rapidité et d'adresse pour le prendre de

vitesse et l'éloigner des rayons,pas maladroit ma foi dans ce gymkhana 

improvisé dans le magasin.  Un peu décontenancé, mon fils était rabattu

en arrière dans son siège à chacune de mes accélérations et mettait un

moment avant de se redresser, ce qui ne l'empêchait pas, une fois remis

d'aplomb, de tendre les bras à nouveau pour tâcherde jeter son petit

dévolu sur quelque produit entreposé à sa hauteur. Finalement, pour

pouvoir mes courses à l'aise, je revins vers la caisse et, m'appro

chantpoliment  d'une vieille dame qui faisait la queur, je luidemandai  

si elle pouvait me garder mon fils quelques instants  . Elle ent l   et  ell 

eut l'air tout à fait ravie. S'il pleure, vous lui donnez un biscuit,hein , 

dis-je en partant, et je lui tendis le paquet de biscuits de mon fils. Oui,

monsieur, dit-elle, et elle commença à jouer avec mon fils.Qu'il est 

mignon, dit-elle. Mais s'il ne pleure pas, pas de biscuit, hein, dis-je

en revant. Pas de pleurs, pas de biscuit,hein,   nous sommes d'accord ?

Oui, monsieur, dit-elle. Merci, madame, dis-je, et je m'éloignai (je me

méfiais).

 

 

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II. 132

ancrés dans le bassin principal se balançaient doucement sous le vent dans

un cliquetis de bômes et d'haubans. Le ciel était bas et menaçant

au-dessus du village, et il n'y avait pratiquement personne dans la rue

principale. Le bar-tabac était ouvert, où quelques tables blanches désertes

étaient disposées en terrasse sur le trottoir, et une voiture passait de

temps à autredans le village, lentement, qui traversaitle village la rue principale sans s'arrêter.[Mon

fils se laissait conduire était rest demeurait  demeurait impassible  dans sa poussette,qui se laissait conduire[d1] la tête bien droite sous sa
cagoule
, et il en  regardait toutautour de lui ce qui défilait  avec une extrême curisité<d1>. Dans

le supermarché, ilcommença à tendre les bras pour tâcher de voulut  s'emparer

detout ce qui passait à sa portée, et je manoeuvrais sa poussette entre

les rayons avec un mélange de rapidité et d'adresse pour le prendre de

vitesse et l'éloigner des rayons,.pas maladroit ma foi dans ce gymkhana 

improvisé dans le magasin.  Un peu décontenancé, mon fils était rabattu

en arrière dans son siège à chacune de mes accélérations et mettait un

moment avant de se redresser, ce qui ne l'empêchait pas, une fois remis

d'aplomb, de tendre les bras à nouveauavec avidité pour tâchervouloir de jeter son petit

dévolu sur quelque produit entreposé à sa hauteur. Finalement, pour

pouvoir mes courses à l'aisetranquillement, je revins vers la caisse et, m'appro

chantpoliment  d'une vieille dame qui faisait la queur, je luidemandai expliquai poliment que 

si elle pouvait me garder mon fils quelques instants cela m'arrangerait les bidons qu'elle veuille bien me le garder quelques instants . Elle ent l   et et (ellelle ne fit aucune difficulté, 

eutmême l'air tout à fait raviede se le voir confier.Qu'il est mignon, dit-elle en se tournant vers lui S'il pleure, vous lui donnez un biscuit,hein hein,madame, lui 

dis-je en partant, et je lui tendis le paquet de biscuits de mon fils. Oui,

monsieur, dit-elle, et elle commença à jouer avec mon fils.Qu'il est 

mignon, dit-elle. Mais s'il ne pleure pas, pas de biscuit, hein, dis-je

en revant. Pas de pleurs, pas de biscuit,hein, n'est-ce pas heinmadame madame,  nous sommes d'accord ?

Oui, monsieur, dit-elle. Merci, madame, dis-je, et je m'éloignai (je me

méfiais).

et, non seulement elle ne fit aucune difficulté, mais eut même 

m'??? ' arranger les???   bidons, 

II. 132

ancrés dans le bassin principal se balançaient doucement sous le vent dans

un cliquetis de bômes et d'haubans. Le ciel était bas et menaçant

au-dessus du village, et il n'y avait pratiquement personne dans la rue

principale. Le bar-tabac était ouvert, où quelques tables blanches désertes

étaient disposées en terrasse sur le trottoir, et une voiture passait de

temps à autre, lentement, qui traversaitle village  sans s'arrêter.Mon

fils se laissait conduire   dans sa poussette, la tête bien droite sous sa cagoule, et il   regardait toutautour de lui   avec une extrême curisité. Dans

le supermarché, ilcommença à tendre les bras pour tâcher de   s'emparer

detout ce qui passait à sa portée, et je manoeuvrais sa poussette entre

les rayons avec un mélange de rapidité et d'adresse pour le prendre de

vitesse et l'éloigner des rayons,pas maladroit ma foi dans ce gymkhana 

improvisé dans le magasin.  Un peu décontenancé, mon fils était rabattu

en arrière dans son siège à chacune de mes accélérations et mettait un

moment avant de se redresser, ce qui ne l'empêchait pas, une fois remis

d'aplomb, de tendre les bras à nouveau pour tâcherde jeter son petit

dévolu sur quelque produit entreposé à sa hauteur. Finalement, pour

pouvoir mes courses à l'aise, je revins vers la caisse et, m'appro

chantpoliment  d'une vieille dame qui faisait la queur, je luidemandai  

si elle pouvait me garder mon fils quelques instants  . Elle ent l   et  ell 

eut l'air tout à fait ravie. S'il pleure, vous lui donnez un biscuit,hein , 

dis-je en partant, et je lui tendis le paquet de biscuits de mon fils. Oui,

monsieur, dit-elle, et elle commença à jouer avec mon fils.Qu'il est 

mignon, dit-elle. Mais s'il ne pleure pas, pas de biscuit, hein, dis-je

en revant. Pas de pleurs, pas de biscuit,hein,   nous sommes d'accord ?

Oui, monsieur, dit-elle. Merci, madame, dis-je, et je m'éloignai (je me

méfiais).

 

 

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