II. 142
Finalement, pour pouvoir faire mes courses à l'aise, je me dirigeai
vers la caisse et, ma'dressant à unepetite vieilledame qui faisait la queue,
je lui demandai si je pouvais lui confier mon fils quelques instants,lui expliquant
je lui expliquai que cela ça cela m'arrangearitbien les bidonssi elle pouvait , qu'elle veuille bien me le garder..Elle eut l'air ravie. Elle eut l'air tout à fait ravie. Qu'il est mignon, dit-elle en repartant vers lui. S'il pleure, vous lui donnez un
biscuit, hein, dis-je,avant de partir en partant, et je lui tendis le paquet de biscuits de mon
fils. Oui, monsieur, dit-elle, et ellese pencha pour caresser la joue commença à jouer avec mon fils
de mon fils, le paquet de biscuit à la main. Qu'il est mignon, dit-elle
tandis que je m'éloignais. Mais s'il ne pleure pas, pas de biscuit, hein,
dis-je en revenant aussitôt. Pas de pleurs, pas de biscuits, hein, nous
sommes d'accord ? Oui, monsieur, dit-elle. Merci madame, dis-je, et je
m'éloignai (je me méfiais).
II. 142
Finalement, pour pouvoir faire mes courses à l'aise, je me dirigeai
vers la caisse et, ma'dressant à unepetite vieille qui faisait la queue,
je lui demandai si je pouvais lui confier mon fils quelques instants,
cela m'arrangearitbien les bidons. S'il pleure, vous lui donnez un
biscuit, hein, dis-je, et je lui tendis le paquet de biscuits de mon
fils. Oui, monsieur, dit-elle, et ellese pencha pour caresser la joue
de mon fils, le paquet de biscuit à la main. Qu'il est mignon, dit-elle
tandis que je m'éloignais. Mais s'il ne pleure pas, pas de biscuit, hein,
dis-je en revenant aussitôt. Pas de pleurs, pas de biscuits, hein, nous
sommes d'accord ? Oui, monsieur, dit-elle. Merci madame, dis-je, et je
m'éloignai (je me méfiais).
II. 142
Finalement, pour pouvoir faire mes courses à l'aise, je me dirigeai
vers la caisse et, ma'dressant à unepetite vieilledame qui faisait la queue,
je lui demandai si je pouvais lui confier mon fils quelques instants,lui expliquant
je lui expliquai que cela ça cela m'arrangearitbien les bidonssi elle pouvait , qu'elle veuille bien me le garder..Elle eut l'air ravie. Elle eut l'air tout à fait ravie. Qu'il est mignon, dit-elle en repartant vers lui. S'il pleure, vous lui donnez un
biscuit, hein, dis-je,avant de partir en partant, et je lui tendis le paquet de biscuits de mon
fils. Oui, monsieur, dit-elle, et ellese pencha pour caresser la joue commença à jouer avec mon fils
de mon fils, le paquet de biscuit à la main. Qu'il est mignon, dit-elle
tandis que je m'éloignais. Mais s'il ne pleure pas, pas de biscuit, hein,
dis-je en revenant aussitôt. Pas de pleurs, pas de biscuits, hein, nous
sommes d'accord ? Oui, monsieur, dit-elle. Merci madame, dis-je, et je
m'éloignai (je me méfiais).
II. 142
Finalement, pour pouvoir faire mes courses à l'aise, je me dirigeai
vers la caisse et, ma'dressant à unepetite vieille qui faisait la queue,
je lui demandai si je pouvais lui confier mon fils quelques instants,
cela m'arrangearitbien les bidons. S'il pleure, vous lui donnez un
biscuit, hein, dis-je, et je lui tendis le paquet de biscuits de mon
fils. Oui, monsieur, dit-elle, et ellese pencha pour caresser la joue
de mon fils, le paquet de biscuit à la main. Qu'il est mignon, dit-elle
tandis que je m'éloignais. Mais s'il ne pleure pas, pas de biscuit, hein,
dis-je en revenant aussitôt. Pas de pleurs, pas de biscuits, hein, nous
sommes d'accord ? Oui, monsieur, dit-elle. Merci madame, dis-je, et je
m'éloignai (je me méfiais).