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  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00149
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II. 149

 Le lendemain matin, un taxi vint nous prendre à l'hôtel vers dix heures,

et nous roulions depuis un moment déjà sur une route pluvieuse qui montait

entre les arbres. Mon fils se tenait à côté de moi à l'arrière du taxi,

les james bien écartées sur le siège et les deux petits pieds à la verti-

cales que chaussaient des botillons en cuir. Une de ses mains reposait

sur ma cuisse et, de l'autre, il serrait son phoque en peluche contre sa

poitrine. Sa têtine transparente remuait lentement dans sa bouche et il

avait un air terriblement sérieux et pensif. Le chauffeur,dont j'apercevais qui portait des lunettes à verres teintés 

la nuque massive en face de moi, conduisait sans dire un mot depuis le

départ de l'hôtel, se contentant de et relevait la tête de temps à autre pourm'observer discrètement dans le rétro-

vseurderrière ses lunettes à verres teintés. Je m'étais procuré 'avais trouvé son numéro

de téléphoneen consultant dans  le vieil annuaire de la réception de l'hôtel

et je l'avais appelé en début de matinée pour qu'il me conduise à Santagralo,

le petit port voisin, où j'avais l'intention de faire quelques courses.

II. 149

 Le lendemain matin, un taxi vint nous prendre à l'hôtel vers dix heures,

et nous roulions depuis un moment déjà sur une route pluvieuse qui montait

entre les arbres. Mon fils se tenait à côté de moi à l'arrière du taxi,

les james bien écartées sur le siège et les deux petits pieds à la verti-

cales que chaussaient des botillons en cuir. Une de ses mains reposait

sur ma cuisse et, de l'autre, il serrait son phoque en peluche contre sa

poitrine. Sa têtine transparente remuait lentement dans sa bouche et il

avait un air terriblement sérieux et pensif. Le chauffeur,dont j'apercevais  

la nuque massive en face de moi, conduisait sans dire un mot depuis le

départ de l'hôtel, se contentant de m'observer discrètement dans le rétro-

vseurderrière ses lunettes à verres teintés. Je m'étais procuré  son numéro

de téléphoneen consultant   le vieil annuaire de la réception de l'hôtel

et je l'avais appelé en début de matinée pour qu'il me conduise à Santagralo,

le petit port voisin, où j'avais l'intention de faire quelques courses.

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II. 149

 Le lendemain matin, un taxi vint nous prendre à l'hôtel vers dix heures,

et nous roulions depuis un moment déjà sur une route pluvieuse qui montait

entre les arbres. Mon fils se tenait à côté de moi à l'arrière du taxi,

les james bien écartées sur le siège et les deux petits pieds à la verti-

cales que chaussaient des botillons en cuir. Une de ses mains reposait

sur ma cuisse et, de l'autre, il serrait son phoque en peluche contre sa

poitrine. Sa têtine transparente remuait lentement dans sa bouche et il

avait un air terriblement sérieux et pensif. Le chauffeur,dont j'apercevais qui portait des lunettes à verres teintés 

la nuque massive en face de moi, conduisait sans dire un mot depuis le

départ de l'hôtel, se contentant de et relevait la tête de temps à autre pourm'observer discrètement dans le rétro-

vseurderrière ses lunettes à verres teintés. Je m'étais procuré 'avais trouvé son numéro

de téléphoneen consultant dans  le vieil annuaire de la réception de l'hôtel

et je l'avais appelé en début de matinée pour qu'il me conduise à Santagralo,

le petit port voisin, où j'avais l'intention de faire quelques courses.

II. 149

 Le lendemain matin, un taxi vint nous prendre à l'hôtel vers dix heures,

et nous roulions depuis un moment déjà sur une route pluvieuse qui montait

entre les arbres. Mon fils se tenait à côté de moi à l'arrière du taxi,

les james bien écartées sur le siège et les deux petits pieds à la verti-

cales que chaussaient des botillons en cuir. Une de ses mains reposait

sur ma cuisse et, de l'autre, il serrait son phoque en peluche contre sa

poitrine. Sa têtine transparente remuait lentement dans sa bouche et il

avait un air terriblement sérieux et pensif. Le chauffeur,dont j'apercevais  

la nuque massive en face de moi, conduisait sans dire un mot depuis le

départ de l'hôtel, se contentant de m'observer discrètement dans le rétro-

vseurderrière ses lunettes à verres teintés. Je m'étais procuré  son numéro

de téléphoneen consultant   le vieil annuaire de la réception de l'hôtel

et je l'avais appelé en début de matinée pour qu'il me conduise à Santagralo,

le petit port voisin, où j'avais l'intention de faire quelques courses.

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