• Accueil
  • Le projet
  • L'inventaire
  • Exploration des brouillons
  • Expérimentations
  • Créations
  • À propos
  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00193
  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

II. 193

 J'étais debout sur le perronderrière la porte vitrée de l'entrée, attendant que le patron vienne m'ouvrir la porte principale. Je le voyais descendre dans le noir derrière la vitre qui s'avançait vers moi dans le couloir   et

je voyais le patronà travers la vitre quis'avançait se dirigeait  vers moi dans le couloir pour venir

m'ouvrirla porte principale. Son pantalon de pyjama flottait le long de sesjambes cuisses et sa

démarche était lente et voûtée, le pas lourd et les pieds nus dans des

savates. Il avait laissé la porte de sa chambre entrouverte derrière lui,

et avait allumé la veileuse jaunâtredu dans lecoulo couloir, qui jetait comme un

halo de clarté blafarde sur les mursdu rez-de-chaussée. Il s'agenouilla

au pied de la porte pour la déverrouiller, et me faire entrer, et je le et me fit entrer.J'entrai Je le suivis dans le couloir sans dire un mot. 

suivis dans le couloir. Sa veste de survêtement remontait légèrement dans

son dos, qui laissait un filet de chair grasse à nu sous les plispendouillant 

du vêtement, et le trousseau de clefs cliquetait dans ses mains tandis

qu'il avançait devant moide son pas lourd.. Il s'arrpêta devant la porte de sa chambre,

et, comme nous restions silencieux l'un et l'autredevant la porte, je finis par lui demander

si c'était lui qui avait fermé la baie vitrée de la salle à manger. La

baie vitrée de la salle à manger ? Il parut ne pas comprendre la question,

et, comme je la répétais, expliquant que quelqu'un avait refermé la baie

vitrée de la salle à manger pendant que je me trouvais dehors, il me dit

que non, que ce n'était pas lui.

 J'étais monté à l'étage,et je grimpais???   le petit escalier qui montait à la mansarde. 

II. 193

 J'étais debout sur le perronderrière la porte vitrée de l'entrée,   et

je voyais le patronquis'avançait  vers moi dans le couloir pour venir

m'ouvrir. Son pantalon de pyjama flottait le long de sesjambes  et sa

démarche était lente et voûtée, le pas lourd et les pieds nus dans des

savates. Il avait laissé la porte de sa chambre entrouverte derrière lui,

et avait allumé la veileuse jaunâtredu couloir qui jetait comme un

halo de clarté blafarde sur les mursdu rez-de-chaussée. Il s'agenouilla

au pied de la porte pour la déverrouiller et me faire entrer, et je le  

suivis dans le couloir. Sa veste de survêtement remontait légèrement dans

son dos, qui laissait un filet de chair grasse à nu sous les plispendouillant 

du vêtement, et le trousseau de clefs cliquetait dans ses mains tandis

qu'il avançait devant moi. Il s'arrpêta devant la porte de sa chambre,

et, comme nous restions silencieux l'un et l'autre, je finis par lui demander

si c'était lui qui avait fermé la baie vitrée de la salle à manger. La

baie vitrée de la salle à manger ? Il parut ne pas comprendre la question,

et, comme je la répétais, expliquant que quelqu'un avait refermé la baie

vitrée de la salle à manger pendant que je me trouvais dehors, il me dit

que non, que ce n'était pas lui.

 J'étais monté à l'étage, 

  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

II. 193

 J'étais debout sur le perronderrière la porte vitrée de l'entrée, attendant que le patron vienne m'ouvrir la porte principale. Je le voyais descendre dans le noir derrière la vitre qui s'avançait vers moi dans le couloir   et

je voyais le patronà travers la vitre quis'avançait se dirigeait  vers moi dans le couloir pour venir

m'ouvrirla porte principale. Son pantalon de pyjama flottait le long de sesjambes cuisses et sa

démarche était lente et voûtée, le pas lourd et les pieds nus dans des

savates. Il avait laissé la porte de sa chambre entrouverte derrière lui,

et avait allumé la veileuse jaunâtredu dans lecoulo couloir, qui jetait comme un

halo de clarté blafarde sur les mursdu rez-de-chaussée. Il s'agenouilla

au pied de la porte pour la déverrouiller, et me faire entrer, et je le et me fit entrer.J'entrai Je le suivis dans le couloir sans dire un mot. 

suivis dans le couloir. Sa veste de survêtement remontait légèrement dans

son dos, qui laissait un filet de chair grasse à nu sous les plispendouillant 

du vêtement, et le trousseau de clefs cliquetait dans ses mains tandis

qu'il avançait devant moide son pas lourd.. Il s'arrpêta devant la porte de sa chambre,

et, comme nous restions silencieux l'un et l'autredevant la porte, je finis par lui demander

si c'était lui qui avait fermé la baie vitrée de la salle à manger. La

baie vitrée de la salle à manger ? Il parut ne pas comprendre la question,

et, comme je la répétais, expliquant que quelqu'un avait refermé la baie

vitrée de la salle à manger pendant que je me trouvais dehors, il me dit

que non, que ce n'était pas lui.

 J'étais monté à l'étage,et je grimpais???   le petit escalier qui montait à la mansarde. 

II. 193

 J'étais debout sur le perronderrière la porte vitrée de l'entrée,   et

je voyais le patronquis'avançait  vers moi dans le couloir pour venir

m'ouvrir. Son pantalon de pyjama flottait le long de sesjambes  et sa

démarche était lente et voûtée, le pas lourd et les pieds nus dans des

savates. Il avait laissé la porte de sa chambre entrouverte derrière lui,

et avait allumé la veileuse jaunâtredu couloir qui jetait comme un

halo de clarté blafarde sur les mursdu rez-de-chaussée. Il s'agenouilla

au pied de la porte pour la déverrouiller et me faire entrer, et je le  

suivis dans le couloir. Sa veste de survêtement remontait légèrement dans

son dos, qui laissait un filet de chair grasse à nu sous les plispendouillant 

du vêtement, et le trousseau de clefs cliquetait dans ses mains tandis

qu'il avançait devant moi. Il s'arrpêta devant la porte de sa chambre,

et, comme nous restions silencieux l'un et l'autre, je finis par lui demander

si c'était lui qui avait fermé la baie vitrée de la salle à manger. La

baie vitrée de la salle à manger ? Il parut ne pas comprendre la question,

et, comme je la répétais, expliquant que quelqu'un avait refermé la baie

vitrée de la salle à manger pendant que je me trouvais dehors, il me dit

que non, que ce n'était pas lui.

 J'étais monté à l'étage, 

Mentions légales - Crédits - Code source