II. 210
Je me dirigeai vesr le petit volet situéau rez-de-chaussée de la presque au pied
façade qui donnaitde plain-pied sur la route et devait correspondre à la chambre
des patrons de l'hôtel. La lune était presque entièrement voilée dans le
ciel, et je frappai[d1] doucement contre le bois<d1> une premièere fois, puis
une deuxième, un peu plus fort, et, ne recevant toujoursaucune pas de réponse,
j'appelai je finis par appeler, je donnai trois coups secs contre le volet . Un long moment s'écoula
encore, où je n'entendais toujours riende l'autre côté , et, comme je
m'apprêtais à frapper de nouveau,car il fallait que je rentre maintenant,
le volet s'entrouvrit, très lentement, et le patron de l'hôtel apparut dans l'entrebâille-
ment de la fenêtre, vêtu pour ce que je pouvais en juger d'un maillot de
corps et d'une veste de survêtement bordeautoute frippée qui tombait le long
de sa poitrine.Je ne voyais pas l'intérieur de la chambre derrière lui, [d2]Je voyais sa femme couchée dans le lit au fond de la pièce, et
qui disparaissait dans l'obscurité, et, sans rien dire,[d3] la main posée sur
le bois de la fenêtre, il me regardait dans les yeux d'un air méfiant
et presque menaçant. <d2> Je ne sus que dire et m'embrouillai quelque peu,pour dans mes explications, j'avais l'impressionen parlant de parler??? ??? ??? lorsque et qu'il ne me comprenait pas.
expliquanter sans conviction que j'avais été prendre l'air et que j'avais trouvé la porte
de l'hôtel fermée en revenant . Il me regardait sans rien dire, et<d3>me se plaisait
laissait parler visiblementne cherchant visiblement pas à me tendre la moindre perche. à me laisser me débatttre dans mes explications. Votre
fils a pleuré, finit-il par dire. Je le regardais sansrien dire bouger.Il a
pleuré, oui, ajouta-t-il, cinq minutes environ. Oui, il a pleuré Une dizaine de minutes environ, ajouta-t-il. Je continuais de la re-
regarder en silence. Et maintenant,(il dort)?, finis-je par dire à voix basse.
Il ne répondit pas tout de suite. Il ne répondit pas tout de suiteJe ne sais pas Il me dit qu'il ne savait pas , dit-ilfinit-il par dire,je n'ai qu'il n'avait pas été voir,je il croyaist qu'il y avait
quelqu'un dans la chambre.Je ne suis pas montévoir étais pas monté voir, dit-il
Il se tut,et ne je continuais de le regarder et me regarda brusquement dans les yeux
II. 210
Je me dirigeai vesr le petit volet situéau rez-de-chaussée de la
façade qui donnait sur la route et devait correspondre à la chambre
des patrons de l'hôtel. La lune était presque entièrement voilée dans le
ciel, et je frappai doucement contre le bois une premièere fois, puis
une deuxième, un peu plus fort, et, ne recevant toujoursaucune réponse,
je donnai trois coups secs contre le volet . Un long moment s'écoula
encore, où je n'entendais toujours riende l'autre côté , et, comme je
m'apprêtais à frapper de nouveau,car il fallait que je rentre maintenant,
le volet s'entrouvrit et le patron de l'hôtel apparut dans l'entrebâille-
ment de la fenêtre, vêtu pour ce que je pouvais en juger d'un maillot de
corps et d'une veste de survêtement bordeaufrippée qui tombait le long
de sa poitrine.Je ne voyais pas l'intérieur de la chambre derrière lui, Je voyais sa femme couchée dans le lit au fond de la pièce, et
qui disparaissait dans l'obscurité, et, sans rien dire, la main posée sur le bois de la fenêtre, il me regardait dans les yeux d'un air méfiant
et presque menaçant. Je ne sus que dire et m'embrouillai quelque peu,
expliquanter sans conviction que j'avais été prendre l'air et que j'avais trouvé la porte
de l'hôtel fermée en revenant . Il me regardait sans rien dire, etme
laissait parler visiblement me débatttre dans mes explications. Votre
fils a pleuré, finit-il par dire. Je le regardais sansrien dire .Il a
pleuré, oui, ajouta-t-il, cinq minutes environ. Je continuais de la re-
regarder en silence. Et maintenant,il dort, finis-je par dire à voix basse.
Je ne sais pas , dit-il,je n'ai pas été voir,je croyais qu'il y avait
quelqu'un dans la chambre.
II. 210
Je me dirigeai vesr le petit volet situéau rez-de-chaussée de la presque au pied
façade qui donnaitde plain-pied sur la route et devait correspondre à la chambre
des patrons de l'hôtel. La lune était presque entièrement voilée dans le
ciel, et je frappai[d1] doucement contre le bois<d1> une premièere fois, puis
une deuxième, un peu plus fort, et, ne recevant toujoursaucune pas de réponse,
j'appelai je finis par appeler, je donnai trois coups secs contre le volet . Un long moment s'écoula
encore, où je n'entendais toujours riende l'autre côté , et, comme je
m'apprêtais à frapper de nouveau,car il fallait que je rentre maintenant,
le volet s'entrouvrit, très lentement, et le patron de l'hôtel apparut dans l'entrebâille-
ment de la fenêtre, vêtu pour ce que je pouvais en juger d'un maillot de
corps et d'une veste de survêtement bordeautoute frippée qui tombait le long
de sa poitrine.Je ne voyais pas l'intérieur de la chambre derrière lui, [d2]Je voyais sa femme couchée dans le lit au fond de la pièce, et
qui disparaissait dans l'obscurité, et, sans rien dire,[d3] la main posée sur
le bois de la fenêtre, il me regardait dans les yeux d'un air méfiant
et presque menaçant. <d2> Je ne sus que dire et m'embrouillai quelque peu,pour dans mes explications, j'avais l'impressionen parlant de parler??? ??? ??? lorsque et qu'il ne me comprenait pas.
expliquanter sans conviction que j'avais été prendre l'air et que j'avais trouvé la porte
de l'hôtel fermée en revenant . Il me regardait sans rien dire, et<d3>me se plaisait
laissait parler visiblementne cherchant visiblement pas à me tendre la moindre perche. à me laisser me débatttre dans mes explications. Votre
fils a pleuré, finit-il par dire. Je le regardais sansrien dire bouger.Il a
pleuré, oui, ajouta-t-il, cinq minutes environ. Oui, il a pleuré Une dizaine de minutes environ, ajouta-t-il. Je continuais de la re-
regarder en silence. Et maintenant,(il dort)?, finis-je par dire à voix basse.
Il ne répondit pas tout de suite. Il ne répondit pas tout de suiteJe ne sais pas Il me dit qu'il ne savait pas , dit-ilfinit-il par dire,je n'ai qu'il n'avait pas été voir,je il croyaist qu'il y avait
quelqu'un dans la chambre.Je ne suis pas montévoir étais pas monté voir, dit-il
Il se tut,et ne je continuais de le regarder et me regarda brusquement dans les yeux
II. 210
Je me dirigeai vesr le petit volet situéau rez-de-chaussée de la
façade qui donnait sur la route et devait correspondre à la chambre
des patrons de l'hôtel. La lune était presque entièrement voilée dans le
ciel, et je frappai doucement contre le bois une premièere fois, puis
une deuxième, un peu plus fort, et, ne recevant toujoursaucune réponse,
je donnai trois coups secs contre le volet . Un long moment s'écoula
encore, où je n'entendais toujours riende l'autre côté , et, comme je
m'apprêtais à frapper de nouveau,car il fallait que je rentre maintenant,
le volet s'entrouvrit et le patron de l'hôtel apparut dans l'entrebâille-
ment de la fenêtre, vêtu pour ce que je pouvais en juger d'un maillot de
corps et d'une veste de survêtement bordeaufrippée qui tombait le long
de sa poitrine.Je ne voyais pas l'intérieur de la chambre derrière lui, Je voyais sa femme couchée dans le lit au fond de la pièce, et
qui disparaissait dans l'obscurité, et, sans rien dire, la main posée sur le bois de la fenêtre, il me regardait dans les yeux d'un air méfiant
et presque menaçant. Je ne sus que dire et m'embrouillai quelque peu,
expliquanter sans conviction que j'avais été prendre l'air et que j'avais trouvé la porte
de l'hôtel fermée en revenant . Il me regardait sans rien dire, etme
laissait parler visiblement me débatttre dans mes explications. Votre
fils a pleuré, finit-il par dire. Je le regardais sansrien dire .Il a
pleuré, oui, ajouta-t-il, cinq minutes environ. Je continuais de la re-
regarder en silence. Et maintenant,il dort, finis-je par dire à voix basse.
Je ne sais pas , dit-il,je n'ai pas été voir,je croyais qu'il y avait
quelqu'un dans la chambre.