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  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00219
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  • Tapuscrit

II. 219

 La façade de l'hôtel se dressait devant moi dans l'obscurité, avec

son mauvais crépi blanc dont les aspérités donnaient un aspect rugueux

et grossier à la pierre. Sur le toit, à côté de la grande antenne de

télévision dirigée vers le pylone émetteur situé de l'autre côté de la

montagne, se dressait l'enseigne munieuse de l'hôtel composéed'un alignement  de lettres

de néon éteintes qu'un réseau de fines tiges métalliques maintenaitdressées à

la verticale dans la nuit. Tous les volets étaient fermés le long de

la façade, à l'exception de celui d'une chambre au premier étage, que le

vent faisait battre doucement contre le mur. Se pouvait-il que ce fût

celui de ma chambre ? Mais ne l'avais-je pas fermé avant de partir ?

Le vent soufflait en rafales, et j'eus très froid soudain, comme si tout

le froid de la nuit s'était brusquement abattu sur moi en un instant, et

j'eussubitement envie de pouvoir regagner ma chambre tout de suite, car j'étais

certain d'avoir fermé le volet avant de partir.

II. 219

 La façade de l'hôtel se dressait devant moi dans l'obscurité, avec

son mauvais crépi blanc dont les aspérités donnaient un aspect rugueux

et grossier à la pierre. Sur le toit, à côté de la grande antenne de

télévision dirigée vers le pylone émetteur situé de l'autre côté de la

montagne, se dressait l'enseigne munieuse de l'hôtel composée  de lettres

de néon éteintes qu'un réseau de fines tiges métalliques maintenait à

la verticale dans la nuit. Tous les volets étaient fermés le long de

la façade, à l'exception de celui d'une chambre au premier étage, que le

vent faisait battre doucement contre le mur. Se pouvait-il que ce fût

celui de ma chambre ? Mais ne l'avais-je pas fermé avant de partir ?

Le vent soufflait en rafales, et j'eus très froid soudain, comme si tout

le froid de la nuit s'était brusquement abattu sur moi en un instant, et

j'eus envie de pouvoir regagner ma chambre tout de suite, car j'étais

certain d'avoir fermé le volet avant de partir.

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II. 219

 La façade de l'hôtel se dressait devant moi dans l'obscurité, avec

son mauvais crépi blanc dont les aspérités donnaient un aspect rugueux

et grossier à la pierre. Sur le toit, à côté de la grande antenne de

télévision dirigée vers le pylone émetteur situé de l'autre côté de la

montagne, se dressait l'enseigne munieuse de l'hôtel composéed'un alignement  de lettres

de néon éteintes qu'un réseau de fines tiges métalliques maintenaitdressées à

la verticale dans la nuit. Tous les volets étaient fermés le long de

la façade, à l'exception de celui d'une chambre au premier étage, que le

vent faisait battre doucement contre le mur. Se pouvait-il que ce fût

celui de ma chambre ? Mais ne l'avais-je pas fermé avant de partir ?

Le vent soufflait en rafales, et j'eus très froid soudain, comme si tout

le froid de la nuit s'était brusquement abattu sur moi en un instant, et

j'eussubitement envie de pouvoir regagner ma chambre tout de suite, car j'étais

certain d'avoir fermé le volet avant de partir.

II. 219

 La façade de l'hôtel se dressait devant moi dans l'obscurité, avec

son mauvais crépi blanc dont les aspérités donnaient un aspect rugueux

et grossier à la pierre. Sur le toit, à côté de la grande antenne de

télévision dirigée vers le pylone émetteur situé de l'autre côté de la

montagne, se dressait l'enseigne munieuse de l'hôtel composée  de lettres

de néon éteintes qu'un réseau de fines tiges métalliques maintenait à

la verticale dans la nuit. Tous les volets étaient fermés le long de

la façade, à l'exception de celui d'une chambre au premier étage, que le

vent faisait battre doucement contre le mur. Se pouvait-il que ce fût

celui de ma chambre ? Mais ne l'avais-je pas fermé avant de partir ?

Le vent soufflait en rafales, et j'eus très froid soudain, comme si tout

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j'eus envie de pouvoir regagner ma chambre tout de suite, car j'étais

certain d'avoir fermé le volet avant de partir.

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