II. 223
La façade de l'hôtel se dressait devant moi dans l'obscurité, une
façade en mauvais crépis blanc, dont la surfaceétaient semblait toute parsemées
d'efflorescences d'un tapis d'efflorescencesen relief pierreuses qui donnaitdu un relief particulier à la pièce dont la surfacequi ??? comme un tapis d'efflorescences grossier et rugueuxet raboteux aspérités aspect glais dont la courbe régulièrement??? . Sur le toit,
à côté de la grande antenne de télévision dirigée vers le pylône recepteur
de l'autre côté de la montagne, se dressait l'enseigne lumineuse de
l'hôtelen lettres qui était composée en lettres de néon éteints qu'un
réseau de tiges métalliques obliquement disposées au flanc de chaque
lettre maintenait à la verticale dans la nuit. Tous les volets étaient
fermés, à l'exception de celui de ma chambre, que le vent faisait
battre doucement contre le mur.Se pouvait-il que ce fût celui de ma chambre ? Mais ne l'avais pas fermùé avant de
partir, ? se pouvait-il que le vent l'avait ainsi décroché ? Il y avait
quelques fenêtres au deuxième étage, et c'était là que Biaggi devait
se trouver sans doute. -- Ne m'étais-je pas avisé quele volet était qu'il était bien fermé avant de partir ?
émetteur situé de l'autre côté de la montagne, se dressait l'enseigne
lumineuse de l'hôtel composée degrandes lettres de néons éteintes qu'un
réseau de fines tiges métaliques maintenait à la vericale dans la nuit.
Tous les voletsde la façade de l'hôtel. étaient fermésle long de sur la façade de l'hôtel , à l'exeception
de celuide ma d'une chambrecependant au deuxième étage, que le vent faisait battre doucement
contre le mur. Jene me souvenaispas de pourtant de l'avoirlaissé ainsi ouvert,
et j'avais du mal à c roire que le ven t avait pu le décrocher tout seul. fermé avant de partir.
Le vent soufflait en rafales, et
J'eus très froid soudain , je ressentisen une fois tous le froid de la nuitet autour
de moi, du vent qui soufflaitfort et de en rafales, comme s'il s'était accumulé depuisquatre près de deux heures pour pénétrer bruquement en moi maintenant et j'eus envie depouvoir rejoindre regagner ma chambre tout de suiteaussitôt sans attendre , car j'étais certain d'avoir fermé le volet avant de partir. , car j'étai
certain de l'avoir fermé avant de partir
certain d'abvoir fermé le volet de lma chambre avant de partir.
II. 223
La façade de l'hôtel se dressait devant moi dans l'obscurité, une
façade en mauvais crépis blanc, dont la surfaceétaient toute parsemées
d'efflorescences d'un tapis d'efflorescencesen relief . Sur le toit,
à côté de la grande antenne de télévision dirigée vers le pylône recepteur
de l'autre côté de la montagne, se dressait l'enseigne lumineuse de
l'hôtelen lettres qui était composée en lettres de néon éteints qu'un
réseau de tiges métalliques obliquement disposées au flanc de chaque
lettre maintenait à la verticale dans la nuit. Tous les volets étaient
fermés, à l'exception de celui de ma chambre, que le vent faisait
battre doucement contre le mur. Mais ne l'avais pas fermùé avant de
partir, se pouvait-il que le vent l'avait ainsi décroché ? Il y avait
quelques fenêtres au deuxième étage, et c'était là que Biaggi devait
se trouver sans doute.
émetteur situé de l'autre côté de la montagne, se dressait l'enseigne
lumineuse de l'hôtel composée degrandes lettres de néons éteints qu'un
réseau de fines tiges métaliques maintenait à la vericale dans la nuit.
Tous les voletsétaient fermés sur la façade de l'hôtel , à l'exeception
de celuide ma chambrecependant , que le vent faisait battre doucement
contre le mur. Jene me souvenaispas de l'avoirlaissé ainsi ouvert,
et j'avais du mal à c roire que le ven t avait pu le décrocher tout seul.
J'eus très froid soudain , je ressentis tous le froid de la nuit autour
de moi, du vent qui soufflaitfort et de , car j'étai
certain de l'avoir fermé avant de partir
certain d'abvoir fermé le volet de lma chambre avant de partir.
II. 223
La façade de l'hôtel se dressait devant moi dans l'obscurité, une
façade en mauvais crépis blanc, dont la surfaceétaient semblait toute parsemées
d'efflorescences d'un tapis d'efflorescencesen relief pierreuses qui donnaitdu un relief particulier à la pièce dont la surfacequi ??? comme un tapis d'efflorescences grossier et rugueuxet raboteux aspérités aspect glais dont la courbe régulièrement??? . Sur le toit,
à côté de la grande antenne de télévision dirigée vers le pylône recepteur
de l'autre côté de la montagne, se dressait l'enseigne lumineuse de
l'hôtelen lettres qui était composée en lettres de néon éteints qu'un
réseau de tiges métalliques obliquement disposées au flanc de chaque
lettre maintenait à la verticale dans la nuit. Tous les volets étaient
fermés, à l'exception de celui de ma chambre, que le vent faisait
battre doucement contre le mur.Se pouvait-il que ce fût celui de ma chambre ? Mais ne l'avais pas fermùé avant de
partir, ? se pouvait-il que le vent l'avait ainsi décroché ? Il y avait
quelques fenêtres au deuxième étage, et c'était là que Biaggi devait
se trouver sans doute. -- Ne m'étais-je pas avisé quele volet était qu'il était bien fermé avant de partir ?
émetteur situé de l'autre côté de la montagne, se dressait l'enseigne
lumineuse de l'hôtel composée degrandes lettres de néons éteintes qu'un
réseau de fines tiges métaliques maintenait à la vericale dans la nuit.
Tous les voletsde la façade de l'hôtel. étaient fermésle long de sur la façade de l'hôtel , à l'exeception
de celuide ma d'une chambrecependant au deuxième étage, que le vent faisait battre doucement
contre le mur. Jene me souvenaispas de pourtant de l'avoirlaissé ainsi ouvert,
et j'avais du mal à c roire que le ven t avait pu le décrocher tout seul. fermé avant de partir.
Le vent soufflait en rafales, et
J'eus très froid soudain , je ressentisen une fois tous le froid de la nuitet autour
de moi, du vent qui soufflaitfort et de en rafales, comme s'il s'était accumulé depuisquatre près de deux heures pour pénétrer bruquement en moi maintenant et j'eus envie depouvoir rejoindre regagner ma chambre tout de suiteaussitôt sans attendre , car j'étais certain d'avoir fermé le volet avant de partir. , car j'étai
certain de l'avoir fermé avant de partir
certain d'abvoir fermé le volet de lma chambre avant de partir.
II. 223
La façade de l'hôtel se dressait devant moi dans l'obscurité, une
façade en mauvais crépis blanc, dont la surfaceétaient toute parsemées
d'efflorescences d'un tapis d'efflorescencesen relief . Sur le toit,
à côté de la grande antenne de télévision dirigée vers le pylône recepteur
de l'autre côté de la montagne, se dressait l'enseigne lumineuse de
l'hôtelen lettres qui était composée en lettres de néon éteints qu'un
réseau de tiges métalliques obliquement disposées au flanc de chaque
lettre maintenait à la verticale dans la nuit. Tous les volets étaient
fermés, à l'exception de celui de ma chambre, que le vent faisait
battre doucement contre le mur. Mais ne l'avais pas fermùé avant de
partir, se pouvait-il que le vent l'avait ainsi décroché ? Il y avait
quelques fenêtres au deuxième étage, et c'était là que Biaggi devait
se trouver sans doute.
émetteur situé de l'autre côté de la montagne, se dressait l'enseigne
lumineuse de l'hôtel composée degrandes lettres de néons éteints qu'un
réseau de fines tiges métaliques maintenait à la vericale dans la nuit.
Tous les voletsétaient fermés sur la façade de l'hôtel , à l'exeception
de celuide ma chambrecependant , que le vent faisait battre doucement
contre le mur. Jene me souvenaispas de l'avoirlaissé ainsi ouvert,
et j'avais du mal à c roire que le ven t avait pu le décrocher tout seul.
J'eus très froid soudain , je ressentis tous le froid de la nuit autour
de moi, du vent qui soufflaitfort et de , car j'étai
certain de l'avoir fermé avant de partir
certain d'abvoir fermé le volet de lma chambre avant de partir.