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  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00257
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  • Tapuscrit

II. 257

 J'avais rencontré Hélène pour la première fois il y a onze jours

exactement,c'était assez facile à retenir , et elle avait été ma maîtresse

le premier soir queje l'avais rencontrée nous nous étions  ???   connus . Depuis, je ne l'avais plus

revue. Nous nous étions ratés un soir dans une brasserie où elle m'avait

donné rendez-vous, ou plutôt jel 'avaisratée volontairement, fait en sortede la rater  que nous nous rations, j'étais 

arrivée en avance dans la brasserie et je m'étais assis dans une banquett 

d'angle où il était impossible de me voir. Effectivement, Car j'étais arrivé très en avance ce soir-là et  lorsqu'elleétait  

arrivaée elle-même,je nem'étais pas manifesté  me manifestai pas, demeurant assisdans  sur dans le fond de la salle surma  une banquette de bois qui faisait un angleau fond de la salle.  je ne bougeais pas,ne me cachais ni me manifestais,  la banquette à une table  elle jeta un coup d'oeil alentoursans me voir  et alla prendre place près

de la baie vitrée, . à une table que je pouvais surveiller dans un miroir 

sans être vu.  Elle était habillée joliment, avec un chemisier blanc et

je ne sais pas pourquoi,  unepetite   jupeample et verte ample  légère,ses lèvres et ses yeux étaient légèrement maquillés  et je la trouvai plutôt plus jolie que la première

fois que je l'avais vue. Elle m'attendit sans impatience, comme si elle

n'attendait personne, . prit un café et lus Le Monde. commanda un café prit un café et lus tranquillement le journal Elle  commanda un café et elle but deux gorgées, puis  Puis, aprèsune vingtaine de minutes 

demi-heure  environ, jetant de temps en temps un regardtranquille dehors à travers

la baie vitrée, elle prit un livre dans son sac,un livre jaune qui devait être  un classique Garnierà en juger par le format et la couleur de la couverture 

dont je ne parvins pas à lire le titre mais je n'arrivai pas à lire le titre,Jacques le Fataliste, par exemple, peut-être 

imaginai-je avec ce peu d'imagination qui me caractérise puisque c'était étant donné que  car 

le seul livre que j'avais jamais lu,  moi-même( dans cette collection s'entend.) , et Je ne la quittais pratiquement pas des yeux et je ressentais l  . Elle

lut une dizaine de pages commença à lire peut-être environ ,puis elle paya son café,  etreleva la tête un momentau départ 

qu'elle tournala tête avec insistance  dans ma directionet de sorte que  je crusmême  un instant qu'elle

m'avaitvu repéré. Mais non, ellefinit par  rangear  le livre dans son sac ???   etsortit payer son caféavec  un chapelet des pièces de un francqu'elle laissa tomber  sur la table . Il

était dix heures moins cinqlorsqu'elle sortit. quitta la brasserie  , elle ne  m'avait attendu cinquante cinq minutes, pas tout à fait attendu une heure --  et j'avais envie de la revoir. 

II. 257

 J'avais rencontré Hélène pour la première fois il y a onze jours

exactement,c'était assez facile à retenir , et elle avait été ma maîtresse

le premier soir queje l'avais rencontrée  . Depuis, je ne l'avais plus

revue. Nous nous étions ratés un soir dans une brasserie où elle m'avait

donné rendez-vous, ou plutôt jel 'avaisratée volontairement,  j'étais 

arrivée en avance dans la brasserie et je m'étais assis dans une banquett 

d'angle où il était impossible de me voir. Effectivement,   lorsqu'elle 

arriva ,  elle jeta un coup d'oeil alentour  et alla prendre place près

de la baie vitrée,  à une table que je pouvais surveiller dans un miroir 

sans être vu.  Elle était habillée joliment, avec un chemisier blanc et

 une  jupeample et    légère,  et je la trouvai plutôt plus jolie que la première

fois que je l'avais vue. Elle m'attendit sans impatience, comme si elle

n'attendait personne,  prit un café et lus Le Monde.    Puis, après 

demi-heure  environ, jetant de temps en temps un regard dehors à travers

la baie vitrée, elle prit un livre dans son sac,  un classique Garnier 

dont je ne parvins pas à lire le titre ,Jacques le Fataliste, par exemple,  

imaginai-je avec ce peu d'imagination qui me caractérise puisque c'était  

le seul livre que j'avais jamais lu,  moi-même( dans cette collection     . Elle

lut une dizaine de pages  peut-être  ,puis elle paya son café,  et un moment 

elle tournala tête   dans ma directionet   je crusmême  un instant qu'elle

m'avaitvu . Mais non, elle rangea  le livre dans son sac  etsortit  . Il

était dix heures moins cinq  , elle   m'avait attendu cinquante cinq minutes,  

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II. 257

 J'avais rencontré Hélène pour la première fois il y a onze jours

exactement,c'était assez facile à retenir , et elle avait été ma maîtresse

le premier soir queje l'avais rencontrée nous nous étions  ???   connus . Depuis, je ne l'avais plus

revue. Nous nous étions ratés un soir dans une brasserie où elle m'avait

donné rendez-vous, ou plutôt jel 'avaisratée volontairement, fait en sortede la rater  que nous nous rations, j'étais 

arrivée en avance dans la brasserie et je m'étais assis dans une banquett 

d'angle où il était impossible de me voir. Effectivement, Car j'étais arrivé très en avance ce soir-là et  lorsqu'elleétait  

arrivaée elle-même,je nem'étais pas manifesté  me manifestai pas, demeurant assisdans  sur dans le fond de la salle surma  une banquette de bois qui faisait un angleau fond de la salle.  je ne bougeais pas,ne me cachais ni me manifestais,  la banquette à une table  elle jeta un coup d'oeil alentoursans me voir  et alla prendre place près

de la baie vitrée, . à une table que je pouvais surveiller dans un miroir 

sans être vu.  Elle était habillée joliment, avec un chemisier blanc et

je ne sais pas pourquoi,  unepetite   jupeample et verte ample  légère,ses lèvres et ses yeux étaient légèrement maquillés  et je la trouvai plutôt plus jolie que la première

fois que je l'avais vue. Elle m'attendit sans impatience, comme si elle

n'attendait personne, . prit un café et lus Le Monde. commanda un café prit un café et lus tranquillement le journal Elle  commanda un café et elle but deux gorgées, puis  Puis, aprèsune vingtaine de minutes 

demi-heure  environ, jetant de temps en temps un regardtranquille dehors à travers

la baie vitrée, elle prit un livre dans son sac,un livre jaune qui devait être  un classique Garnierà en juger par le format et la couleur de la couverture 

dont je ne parvins pas à lire le titre mais je n'arrivai pas à lire le titre,Jacques le Fataliste, par exemple, peut-être 

imaginai-je avec ce peu d'imagination qui me caractérise puisque c'était étant donné que  car 

le seul livre que j'avais jamais lu,  moi-même( dans cette collection s'entend.) , et Je ne la quittais pratiquement pas des yeux et je ressentais l  . Elle

lut une dizaine de pages commença à lire peut-être environ ,puis elle paya son café,  etreleva la tête un momentau départ 

qu'elle tournala tête avec insistance  dans ma directionet de sorte que  je crusmême  un instant qu'elle

m'avaitvu repéré. Mais non, ellefinit par  rangear  le livre dans son sac ???   etsortit payer son caféavec  un chapelet des pièces de un francqu'elle laissa tomber  sur la table . Il

était dix heures moins cinqlorsqu'elle sortit. quitta la brasserie  , elle ne  m'avait attendu cinquante cinq minutes, pas tout à fait attendu une heure --  et j'avais envie de la revoir. 

II. 257

 J'avais rencontré Hélène pour la première fois il y a onze jours

exactement,c'était assez facile à retenir , et elle avait été ma maîtresse

le premier soir queje l'avais rencontrée  . Depuis, je ne l'avais plus

revue. Nous nous étions ratés un soir dans une brasserie où elle m'avait

donné rendez-vous, ou plutôt jel 'avaisratée volontairement,  j'étais 

arrivée en avance dans la brasserie et je m'étais assis dans une banquett 

d'angle où il était impossible de me voir. Effectivement,   lorsqu'elle 

arriva ,  elle jeta un coup d'oeil alentour  et alla prendre place près

de la baie vitrée,  à une table que je pouvais surveiller dans un miroir 

sans être vu.  Elle était habillée joliment, avec un chemisier blanc et

 une  jupeample et    légère,  et je la trouvai plutôt plus jolie que la première

fois que je l'avais vue. Elle m'attendit sans impatience, comme si elle

n'attendait personne,  prit un café et lus Le Monde.    Puis, après 

demi-heure  environ, jetant de temps en temps un regard dehors à travers

la baie vitrée, elle prit un livre dans son sac,  un classique Garnier 

dont je ne parvins pas à lire le titre ,Jacques le Fataliste, par exemple,  

imaginai-je avec ce peu d'imagination qui me caractérise puisque c'était  

le seul livre que j'avais jamais lu,  moi-même( dans cette collection     . Elle

lut une dizaine de pages  peut-être  ,puis elle paya son café,  et un moment 

elle tournala tête   dans ma directionet   je crusmême  un instant qu'elle

m'avaitvu . Mais non, elle rangea  le livre dans son sac  etsortit  . Il

était dix heures moins cinq  , elle   m'avait attendu cinquante cinq minutes,  

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