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  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00260
  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

II, 260

à moitié pour me ménager un passage, je ne bougeai pas pas pénétrai sans bruit dans la maison
par le garage .

Les murs étaient très sombres dans le garage, qui se détachaient à peine
de l'obscurité, et une voiture était garée là dans le noir, une Renault
rouge qui appartenait à Hélène Biaggi, me semblait-il, tandis que, le
long des murs, divers objets étaient entreposés dans l'ombre, des bidons
d'huile et d'essence, des cannes à pêche, deux lourdes rames en bois couchées
par terre l'une à côté de l'autre sur le sol . Je passai à côté de la voiture et ouvris
la petite porte métallique du fond, basse et que suivaient deux marches,
pour entrer dans une pièce tout aussi sombre, une sorte de cellier que je quittai aussitôt. où, à
côté d'une grande étagère remplie de produits d'entretien et de boîtes de
conserve ??? , se dessinaient les contours d'un casier à bouteille presque vide.
A mesure que je progressais Je c bougeais de progress ais er dans la maison,l'obscurité semblait s'épaissir
devant moi,
sans bruit au rez de chaussée de la villa, et tous les
volets étaient
fermés, qui
paraissaient
très noirs
derrière
les vitres
des fenêtres
et les volets me paraissaient presque très noirs eux aussi de l'extérieur eux aussi de l'extérieur eux aussi
de l'extérieur
de la maison
derrière la
vitre
des fenêtres
derrière les vitres
des fermées
des fenêtres fermées feermées du rez-de-chaussée de la villa. Je continuais de progresser au
rez-de-chaussée rez-de-chaussée de la maison, et tous les
volets étaient fermés au rez de chaussée,
qui paraissaient très noirs derrière les vitres des fenêtres de la villa
et paraissaient très noirs derrière
les vitres des
fenêtres de la villa J'étais sans bruit
et j'apercevais tous les les volets étaient fermés derrière
les vitres, qui paraissaient
très noirs mais aussi de l'extérieur de la
maison
Je passai j'avançai sans bruit introduisis m'introduisis dans le grand ves-
tibule de l'entrée et et, hésitant un instant sur la ??? et je , je m'immobilisai au pied de l'escalier qui
montait au premier étage. J'apercevais la rampe en haut des marches, et une porte du couloir qui disparaissait dans l'obscurité où Biaggi * m'attendait sans doute, qui se tenait de l'autre côté du couloir la rampe se dressait en haut des marches, devant moi dans l'obscurité et j'apercevais je devinais
une porte du couloir qui disparaissait
dans l'obscurité
le couloir
en haut des marches, où la porte d'une chambre à coucher une porte était entrouverte.
Il n'y avait aucun bruit dans la maison, et, juste
devant moi, à côté d'un porte-manteau où pendaient les formes inquiétantes
d'un pardessus et de deux imperméables, se trouvait un grand miroir ovale circulaire
dont la surface était si sombre que, bien que je me fusse trouvé à moins
de trois mètres de lui, on ne distinguait aucun reflet de mon corps dans
la g ??? lace , seulement l'obscurité dense et immuable du vestibule désert.

Je finis par traverser le vestibule et, laissant à ma droite le salon
qui s'étendait en silence dans l'obscurité, avec le grand chambranle de
pierre de la cheminée qui se découpait dans la pénombre au fond de la pièce , je m'engageai dans
un couloir étroit qui passait sous la charpente de l'escalier et se prolongeait
jusqu'à la cuisine en se retrécissant. Je ne voyais pas à trois mètres devant
moi et, continuant de prendre appui contre les murs pour avancer, j'entrai
sans bruit dans la cuisine et me dirigeai lentement seulement vers l'évier sur le
rebord duquel une bouteille de white-spirit reposait dans l'obscurité la pénombre . Tout

II, 260

à moitié pour me ménager un passage, je pénétrai sans bruit dans la maison
par le garage .

Les murs étaient très sombres dans le garage, qui se détachaient à peine
de l'obscurité, et une voiture était garée là dans le noir, une Renault
rouge qui appartenait à Hélène Biaggi, me semblait-il, tandis que, le
long des murs, divers objets étaient entreposés dans l'ombre, des bidons
d'huile et d'essence, des cannes à pêche, deux lourdes rames en bois couchées
par terre l'une à côté de l'autre . Je passai à côté de la voiture et ouvris
la petite porte métallique du fond, basse et que suivaient deux marches,
pour entrer dans une pièce tout aussi sombre, une sorte de cellier où, à
côté d'une grande étagère remplie de produits d'entretien et de boîtes de
conserve se dessinaient les contours d'un casier à bouteille presque vide.
A mesure que je progressais dans la maison,l'obscurité semblait s'épaissir devant moi, et les volets me paraissaient presque très noirs eux aussi de l'extérieur eux aussi de l'extérieur eux aussi de l'extérieur de la maison derrière la vitre des fenêtres derrière les vitres des
fenêtres fermées du rez-de-chaussée de la villa. Je passai j'avançai sans bruit introduisis dans le ves-
tibule et, hésitant un instant , je m'immobilisai au pied de l'escalier qui
montait au premier étage. Il n'y avait aucun bruit dans la maison, et, juste
devant moi, à côté d'un porte-manteau où pendaient les formes inquiétantes
d'un pardessus et de deux imperméables, se trouvait un grand miroir ovale
dont la surface était si sombre que, bien que je me fusse trouvé à moins
de trois mètres de lui, on ne distinguait aucun reflet de mon corps dans
la g , seulement l'obscurité dense et immuable du vestibule désert.

Je finis par traverser le vestibule et, laissant à ma droite le salon
qui s'étendait en silence dans l'obscurité, avec le grand chambranle de
pierre de la cheminée qui se découpait dans la pénombre , je m'engageai dans
un couloir étroit qui passait sous la charpente de l'escalier et se prolongeait
jusqu'à la cuisine en se retrécissant. Je ne voyais pas à trois mètres devant
moi et, continuant de prendre appui contre les murs pour avancer, j'entrai
sans bruit dans la cuisine et me dirigeai lentement vers l'évier sur le
rebord duquel une bouteille de white-spirit reposait dans l'obscurité . Tout

  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

II, 260

à moitié pour me ménager un passage, je ne bougeai pas pas pénétrai sans bruit dans la maison
par le garage .

Les murs étaient très sombres dans le garage, qui se détachaient à peine
de l'obscurité, et une voiture était garée là dans le noir, une Renault
rouge qui appartenait à Hélène Biaggi, me semblait-il, tandis que, le
long des murs, divers objets étaient entreposés dans l'ombre, des bidons
d'huile et d'essence, des cannes à pêche, deux lourdes rames en bois couchées
par terre l'une à côté de l'autre sur le sol . Je passai à côté de la voiture et ouvris
la petite porte métallique du fond, basse et que suivaient deux marches,
pour entrer dans une pièce tout aussi sombre, une sorte de cellier que je quittai aussitôt. où, à
côté d'une grande étagère remplie de produits d'entretien et de boîtes de
conserve ??? , se dessinaient les contours d'un casier à bouteille presque vide.
A mesure que je progressais Je c bougeais de progress ais er dans la maison,l'obscurité semblait s'épaissir
devant moi,
sans bruit au rez de chaussée de la villa, et tous les
volets étaient
fermés, qui
paraissaient
très noirs
derrière
les vitres
des fenêtres
et les volets me paraissaient presque très noirs eux aussi de l'extérieur eux aussi de l'extérieur eux aussi
de l'extérieur
de la maison
derrière la
vitre
des fenêtres
derrière les vitres
des fermées
des fenêtres fermées feermées du rez-de-chaussée de la villa. Je continuais de progresser au
rez-de-chaussée rez-de-chaussée de la maison, et tous les
volets étaient fermés au rez de chaussée,
qui paraissaient très noirs derrière les vitres des fenêtres de la villa
et paraissaient très noirs derrière
les vitres des
fenêtres de la villa J'étais sans bruit
et j'apercevais tous les les volets étaient fermés derrière
les vitres, qui paraissaient
très noirs mais aussi de l'extérieur de la
maison
Je passai j'avançai sans bruit introduisis m'introduisis dans le grand ves-
tibule de l'entrée et et, hésitant un instant sur la ??? et je , je m'immobilisai au pied de l'escalier qui
montait au premier étage. J'apercevais la rampe en haut des marches, et une porte du couloir qui disparaissait dans l'obscurité où Biaggi * m'attendait sans doute, qui se tenait de l'autre côté du couloir la rampe se dressait en haut des marches, devant moi dans l'obscurité et j'apercevais je devinais
une porte du couloir qui disparaissait
dans l'obscurité
le couloir
en haut des marches, où la porte d'une chambre à coucher une porte était entrouverte.
Il n'y avait aucun bruit dans la maison, et, juste
devant moi, à côté d'un porte-manteau où pendaient les formes inquiétantes
d'un pardessus et de deux imperméables, se trouvait un grand miroir ovale circulaire
dont la surface était si sombre que, bien que je me fusse trouvé à moins
de trois mètres de lui, on ne distinguait aucun reflet de mon corps dans
la g ??? lace , seulement l'obscurité dense et immuable du vestibule désert.

Je finis par traverser le vestibule et, laissant à ma droite le salon
qui s'étendait en silence dans l'obscurité, avec le grand chambranle de
pierre de la cheminée qui se découpait dans la pénombre au fond de la pièce , je m'engageai dans
un couloir étroit qui passait sous la charpente de l'escalier et se prolongeait
jusqu'à la cuisine en se retrécissant. Je ne voyais pas à trois mètres devant
moi et, continuant de prendre appui contre les murs pour avancer, j'entrai
sans bruit dans la cuisine et me dirigeai lentement seulement vers l'évier sur le
rebord duquel une bouteille de white-spirit reposait dans l'obscurité la pénombre . Tout

II, 260

à moitié pour me ménager un passage, je pénétrai sans bruit dans la maison
par le garage .

Les murs étaient très sombres dans le garage, qui se détachaient à peine
de l'obscurité, et une voiture était garée là dans le noir, une Renault
rouge qui appartenait à Hélène Biaggi, me semblait-il, tandis que, le
long des murs, divers objets étaient entreposés dans l'ombre, des bidons
d'huile et d'essence, des cannes à pêche, deux lourdes rames en bois couchées
par terre l'une à côté de l'autre . Je passai à côté de la voiture et ouvris
la petite porte métallique du fond, basse et que suivaient deux marches,
pour entrer dans une pièce tout aussi sombre, une sorte de cellier où, à
côté d'une grande étagère remplie de produits d'entretien et de boîtes de
conserve se dessinaient les contours d'un casier à bouteille presque vide.
A mesure que je progressais dans la maison,l'obscurité semblait s'épaissir devant moi, et les volets me paraissaient presque très noirs eux aussi de l'extérieur eux aussi de l'extérieur eux aussi de l'extérieur de la maison derrière la vitre des fenêtres derrière les vitres des
fenêtres fermées du rez-de-chaussée de la villa. Je passai j'avançai sans bruit introduisis dans le ves-
tibule et, hésitant un instant , je m'immobilisai au pied de l'escalier qui
montait au premier étage. Il n'y avait aucun bruit dans la maison, et, juste
devant moi, à côté d'un porte-manteau où pendaient les formes inquiétantes
d'un pardessus et de deux imperméables, se trouvait un grand miroir ovale
dont la surface était si sombre que, bien que je me fusse trouvé à moins
de trois mètres de lui, on ne distinguait aucun reflet de mon corps dans
la g , seulement l'obscurité dense et immuable du vestibule désert.

Je finis par traverser le vestibule et, laissant à ma droite le salon
qui s'étendait en silence dans l'obscurité, avec le grand chambranle de
pierre de la cheminée qui se découpait dans la pénombre , je m'engageai dans
un couloir étroit qui passait sous la charpente de l'escalier et se prolongeait
jusqu'à la cuisine en se retrécissant. Je ne voyais pas à trois mètres devant
moi et, continuant de prendre appui contre les murs pour avancer, j'entrai
sans bruit dans la cuisine et me dirigeai lentement vers l'évier sur le
rebord duquel une bouteille de white-spirit reposait dans l'obscurité . Tout

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