II, 300
Il faisait nuit dehors et me réveillai ???Sasuelo* et je m'attardai dans la salle à
manger de
l'hôtel à prendre le café après le dîner ce soir là .
J'étais seul dans
la pièce, et je voyais le patron*
s'activer derrière la porte entrouverte
de l'office. MaLa table où j'étais assis se trouvait au fond
de la pièce et jouxtait une
grande baie vitrée, derrière laquelle
j'apercevais une terrasse déserte
qui s'étendait dans l'obscurité, avec çà
et là les ombres très sombres
de troncs de tamaris. Mon fils* dormait à l'étage, et je n'étais pas inquiet de le
laisser seul sachant très bien qu'ilsavaisqui faisait sesdes nuits
complètes maintenant ??? du matin depuis notre
arrivée à Sasuelo. J'avais sorti de ma poche les quatre lettres
que
j'avais prises la veille dans la boîte aux lettres des Biaggi et je
les avais posées sur la table, les regardant pensivement en tournant ma
cuillère dans la tasse de café. Je me demandais ce qu'il fallait en faire
car, si je n'avais eu aucun scrupule à les prendre, pensant même un instant
pouvoir les remettre en mains propres aux Biaggi, je ne parvenais pas à
me résoudre à les ouvrir maintenant , pas plus qu'à les
détruire d'ailleurs
— tout du moins détruire celle dans laquelle était
annoncée mon arrivée
à Sasuelo*. Car je ne voulais
plus, maintenant, que l'on sache que je me
trouvais à Sasuelo*.
II, 300
Il faisait nuit dehors et je m'attardai dans la salle à
manger de
l'hôtel à prendre le café après le dîner ce soir là .
J'étais seul dans
la pièce, et je voyais le patron*
s'activer derrière la porte entrouverte
de l'office. Ma table se trouvait au fond
de la pièce et jouxtait une
grande baie vitrée, derrière laquelle
j'apercevais une terrasse déserte
qui s'étendait dans l'obscurité, avec çà
et là les ombres très sombres
de troncs de tamaris. Mon fils* dormait à l'étage, et je n'étais pas inquiet de le
laisser seul sachant très bien qu'ilsavais faisait ses nuits
complètes maintenant . J'avais sorti de ma poche les quatre lettres
que
j'avais prises la veille dans la boîte aux lettres des Biaggi et je
les avais posées sur la table, les regardant pensivement en tournant ma
cuillère dans la tasse de café. Je me demandais ce qu'il fallait en faire
car, si je n'avais eu aucun scrupule à les prendre, pensant même un instant
pouvoir les remettre en mains propres aux Biaggi, je ne parvenais pas à
me résoudre à les ouvrir maintenant , pas plus qu'à les
détruire d'ailleurs
— tout du moins détruire celle dans laquelle était
annoncée mon arrivée
à Sasuelo*. Car je ne voulais
plus, maintenant, que l'on sache que je me
trouvais à Sasuelo*.
II, 300
Il faisait nuit dehors et me réveillai ???Sasuelo* et je m'attardai dans la salle à
manger de
l'hôtel à prendre le café après le dîner ce soir là .
J'étais seul dans
la pièce, et je voyais le patron*
s'activer derrière la porte entrouverte
de l'office. MaLa table où j'étais assis se trouvait au fond
de la pièce et jouxtait une
grande baie vitrée, derrière laquelle
j'apercevais une terrasse déserte
qui s'étendait dans l'obscurité, avec çà
et là les ombres très sombres
de troncs de tamaris. Mon fils* dormait à l'étage, et je n'étais pas inquiet de le
laisser seul sachant très bien qu'ilsavaisqui faisait sesdes nuits
complètes maintenant ??? du matin depuis notre
arrivée à Sasuelo. J'avais sorti de ma poche les quatre lettres
que
j'avais prises la veille dans la boîte aux lettres des Biaggi et je
les avais posées sur la table, les regardant pensivement en tournant ma
cuillère dans la tasse de café. Je me demandais ce qu'il fallait en faire
car, si je n'avais eu aucun scrupule à les prendre, pensant même un instant
pouvoir les remettre en mains propres aux Biaggi, je ne parvenais pas à
me résoudre à les ouvrir maintenant , pas plus qu'à les
détruire d'ailleurs
— tout du moins détruire celle dans laquelle était
annoncée mon arrivée
à Sasuelo*. Car je ne voulais
plus, maintenant, que l'on sache que je me
trouvais à Sasuelo*.
II, 300
Il faisait nuit dehors et je m'attardai dans la salle à
manger de
l'hôtel à prendre le café après le dîner ce soir là .
J'étais seul dans
la pièce, et je voyais le patron*
s'activer derrière la porte entrouverte
de l'office. Ma table se trouvait au fond
de la pièce et jouxtait une
grande baie vitrée, derrière laquelle
j'apercevais une terrasse déserte
qui s'étendait dans l'obscurité, avec çà
et là les ombres très sombres
de troncs de tamaris. Mon fils* dormait à l'étage, et je n'étais pas inquiet de le
laisser seul sachant très bien qu'ilsavais faisait ses nuits
complètes maintenant . J'avais sorti de ma poche les quatre lettres
que
j'avais prises la veille dans la boîte aux lettres des Biaggi et je
les avais posées sur la table, les regardant pensivement en tournant ma
cuillère dans la tasse de café. Je me demandais ce qu'il fallait en faire
car, si je n'avais eu aucun scrupule à les prendre, pensant même un instant
pouvoir les remettre en mains propres aux Biaggi, je ne parvenais pas à
me résoudre à les ouvrir maintenant , pas plus qu'à les
détruire d'ailleurs
— tout du moins détruire celle dans laquelle était
annoncée mon arrivée
à Sasuelo*. Car je ne voulais
plus, maintenant, que l'on sache que je me
trouvais à Sasuelo*.