II, 309
Ce soir-là, après avoir couché mon fils*, je
descendis dîner dans la
salle à manger de l'hôtel. Le patron* servait lui-même à table, et sa femme
faisait la cuisine,
qui lui donnait à l'occasion un coup de main dans la
salle. Nous n'étions
pas plus de deux ou trois clients dans l'hôtel,
peut-être y en avait-il
d'autres, mais je ne les voyais pratiquement
jamais. Mon fils* avait des horaires très réguliersréguliers et mangeait
très tôt en général, et il n'était pas question
La présence de mon fils* faisait que je n'avais pas les
mêmes horaires
que les autres clients, car il mangeait à heures fixes et
très tôt en
général, étant je dois dire assez tâtillon sur la question des
horaires.
Passé midi et sept heures, s'il n'avait pas à manger, c'était la
corria,
tout du moins les premières passes de véroniques.
Parfois je descendais mon fils* avec moi dans la salle à
manger et
je le faisais manger en même temps que moi. Mais dans ces cas-là,
j'étais pratiquement seul dans la salle à manger car mon fils* avait des
horaires très particuliers, assez nordiques
dirais-je, déjeuner à midi
et dîner à sept heures moins le quart; et il
était de plus assez tâtillon
sur la question de la ponctualité, son estomac
étant reglé comme une
petite horloge.
et, son estomac étant reglé comme une petite horloge, il était assez
tâtillon sur la question de la ponctualité. Ce qui ne l'empêchait pas
de manger du pain à tout bout de champ.
II, 309
Ce soir-là, après avoir couché mon fils*, je
descendis dîner dans la
salle à manger de l'hôtel. Le patron* servait lui-même à table, et sa femme
faisait la cuisine,
qui lui donnait à l'occasion un coup de main dans la
salle. Nous n'étions
pas plus de deux ou trois clients dans l'hôtel,
peut-être y en avait-il
d'autres, mais je ne les voyais pratiquement
jamais. Mon fils* avait des horaires très réguliers et mangeait
très tôt en général, et il n'était pas question
La présence de mon fils* faisait que je n'avais pas les
mêmes horaires
que les autres clients, car il mangeait à heures fixes et
très tôt en
général, étant je dois dire assez tâtillon sur la question des
horaires.
Passé midi et sept heures, s'il n'avait pas à manger, c'était la
corria,
tout du moins les premières passes de véroniques.
Parfois je descendais mon fils* avec moi dans la salle à
manger et
je le faisais manger en même temps que moi. Mais dans ces cas-là,
j'étais pratiquement seul dans la salle à manger car mon fils* avait des
horaires très particuliers, assez nordiques
dirais-je, déjeuner à midi
et dîner à sept heures moins le quart; et il
était de plus assez tâtillon
sur la question de la ponctualité, son estomac
étant reglé comme une
petite horloge.
et, son estomac étant reglé comme une petite horloge, il était assez
tâtillon sur la question de la ponctualité. Ce qui ne l'empêchait pas
de manger du pain à tout bout de champ.
II, 309
Ce soir-là, après avoir couché mon fils*, je
descendis dîner dans la
salle à manger de l'hôtel. Le patron* servait lui-même à table, et sa femme
faisait la cuisine,
qui lui donnait à l'occasion un coup de main dans la
salle. Nous n'étions
pas plus de deux ou trois clients dans l'hôtel,
peut-être y en avait-il
d'autres, mais je ne les voyais pratiquement
jamais. Mon fils* avait des horaires très réguliersréguliers et mangeait
très tôt en général, et il n'était pas question
La présence de mon fils* faisait que je n'avais pas les
mêmes horaires
que les autres clients, car il mangeait à heures fixes et
très tôt en
général, étant je dois dire assez tâtillon sur la question des
horaires.
Passé midi et sept heures, s'il n'avait pas à manger, c'était la
corria,
tout du moins les premières passes de véroniques.
Parfois je descendais mon fils* avec moi dans la salle à
manger et
je le faisais manger en même temps que moi. Mais dans ces cas-là,
j'étais pratiquement seul dans la salle à manger car mon fils* avait des
horaires très particuliers, assez nordiques
dirais-je, déjeuner à midi
et dîner à sept heures moins le quart; et il
était de plus assez tâtillon
sur la question de la ponctualité, son estomac
étant reglé comme une
petite horloge.
et, son estomac étant reglé comme une petite horloge, il était assez
tâtillon sur la question de la ponctualité. Ce qui ne l'empêchait pas
de manger du pain à tout bout de champ.
II, 309
Ce soir-là, après avoir couché mon fils*, je
descendis dîner dans la
salle à manger de l'hôtel. Le patron* servait lui-même à table, et sa femme
faisait la cuisine,
qui lui donnait à l'occasion un coup de main dans la
salle. Nous n'étions
pas plus de deux ou trois clients dans l'hôtel,
peut-être y en avait-il
d'autres, mais je ne les voyais pratiquement
jamais. Mon fils* avait des horaires très réguliers et mangeait
très tôt en général, et il n'était pas question
La présence de mon fils* faisait que je n'avais pas les
mêmes horaires
que les autres clients, car il mangeait à heures fixes et
très tôt en
général, étant je dois dire assez tâtillon sur la question des
horaires.
Passé midi et sept heures, s'il n'avait pas à manger, c'était la
corria,
tout du moins les premières passes de véroniques.
Parfois je descendais mon fils* avec moi dans la salle à
manger et
je le faisais manger en même temps que moi. Mais dans ces cas-là,
j'étais pratiquement seul dans la salle à manger car mon fils* avait des
horaires très particuliers, assez nordiques
dirais-je, déjeuner à midi
et dîner à sept heures moins le quart; et il
était de plus assez tâtillon
sur la question de la ponctualité, son estomac
étant reglé comme une
petite horloge.
et, son estomac étant reglé comme une petite horloge, il était assez
tâtillon sur la question de la ponctualité. Ce qui ne l'empêchait pas
de manger du pain à tout bout de champ.