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devait se trouver à Sasuelo*, selon elle, puisqu'il n'était pas à Paris*.
Il devait même se trouver dans le village depuis le vingt-sept octobre, très
exactement, car si Hélène* ne se trompait pas et qu'il était effectivement
revenu à Sasuelo* juste après l'enterrement, cela remontait à près d'une
semaine maintenant, et je songeai qu'il était donc là le jour de mon
arrivée, puisque c'était dans la matinée du vingt-huit que je m'étais ins-
tallé à l'hôtel.Ce qui faitDe sortequ'il m'avait vu arriver dans le village selon
toute vraisemblance, et je me ??? alors qu'en réalitéque c'était lui en conséquenceréalité qui s'était caché
de moi pendant ces quelques jours, évitant de sortir de chez lui ou ne
sortant que la nuit quand il pensait ne pas me trouver dans le village,
alors que, dans le même temps, je croyais me cacher moi-même et prenais
parallèlement le même type de précautions pour éviter les parages de sa
maison tant j'étais persuadé alors qu'Hélène* et lui ils s'y trouvaient tous les
deux. Car c'était en quelque sorte pour lesles voir les Biaggi* que je m'étais rendu
à Sasuelo*, pour voir Hélène* oui — même si j'avais tout fait pour que mon
séjour s'achevât sans que j'eusse pu la voir.
Mais cette nuit, me demandais-je, où Biaggi* était-il cette nuit ?
Hélène* avait les yeux entrouverts, la tête légèrement inclinée sur
le côté, et elle me regardait, gardant ma main dans la sienne et un bras
enroulé autour de l'oreiller. Elle me dit à voix basse qu'elle avait sommeil et me
demanda la permission d'éteindre la lumière. Nous parlâmes encore un peu
dans le noir, les mains enlacées, et je continuais à fumer à côté d'elle,
regardant l'extrémité incandescente de ma cigarette qui brillait et se
dilatait un instant dans le noir chaque fois que je tirais une bouffée.
Hélène* avait fermé les yeux maintenant et, sans les rouvrir, à voix basse,
presque tout endormie, elle me dit que je pouvaism'engagea à venir la rejoindre dans leson lit. J'éteignis très lentement ma cigarette dans le cendrier et lui
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devait se trouver à Sasuelo*, selon elle, puisqu'il n'était pas à Paris*.
Il devait se trouver dans le village depuis le vingt-sept octobre, très
exactement, car si Hélène* ne se trompait pas et qu'il était effectivement
revenu à Sasuelo* juste après l'enterrement, cela remontait à près d'une
semaine maintenant, et je songeai qu'il était donc là le jour de mon
arrivée puisque c'était dans la matinée du vingt-huit que je m'étais ins-
tallé à l'hôtel.Ce qui faitqu'il m'avait vu arriver dans le village selon
toute vraisemblance, que c'était lui en conséquence qui s'était caché
de moi pendant ces quelques jours, évitant de sortir de chez lui ou ne
sortant que la nuit quand il pensait ne pas me trouver dans le village,
alors que, dans le même temps, je croyais me cacher moi-même et prenais
parallèlement le même type de précautions pour éviter les parages de sa
maison tant j'étais persuadé alors qu'Hélène et lui ils s'y trouvaient tous les
deux. Car c'était en quelque sorte pour les voir que je m'étais rendu
à Sasuelo*, pour voir Hélène* oui — même si j'avais tout fait pour que mon
séjour s'achevât sans que j'eusse pu la voir.
Mais cette nuit, me demandais-je, où Biaggi* était-il cette nuit ?
Hélène* avait les yeux entrouverts, la tête légèrement inclinée sur
le côté, et elle me regardait, gardant ma main dans la sienne et un bras
enroulé autour de l'oreiller. Elle me dit qu'elle avait sommeil et me
demanda la permission d'éteindre la lumière. Nous parlâmes encore un peu
dans le noir, les mains enlacées, et je continuais à fumer à côté d'elle,
regardant l'extrémité incandescente de ma cigarette qui brillait et se
dilatait un instant dans le noir chaque fois que je tirais une bouffée.
Hélène* avait fermé les yeux maintenant et, sans les rouvrir, à voix basse,
presque tout endormie, elle me dit que je pouvais venir la rejoindre dans le lit. J'éteignis très lentement ma cigarette dans le cendrier et lui
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devait se trouver à Sasuelo*, selon elle, puisqu'il n'était pas à Paris*.
Il devait même se trouver dans le village depuis le vingt-sept octobre, très
exactement, car si Hélène* ne se trompait pas et qu'il était effectivement
revenu à Sasuelo* juste après l'enterrement, cela remontait à près d'une
semaine maintenant, et je songeai qu'il était donc là le jour de mon
arrivée, puisque c'était dans la matinée du vingt-huit que je m'étais ins-
tallé à l'hôtel.Ce qui faitDe sortequ'il m'avait vu arriver dans le village selon
toute vraisemblance, et je me ??? alors qu'en réalitéque c'était lui en conséquenceréalité qui s'était caché
de moi pendant ces quelques jours, évitant de sortir de chez lui ou ne
sortant que la nuit quand il pensait ne pas me trouver dans le village,
alors que, dans le même temps, je croyais me cacher moi-même et prenais
parallèlement le même type de précautions pour éviter les parages de sa
maison tant j'étais persuadé alors qu'Hélène* et lui ils s'y trouvaient tous les
deux. Car c'était en quelque sorte pour lesles voir les Biaggi* que je m'étais rendu
à Sasuelo*, pour voir Hélène* oui — même si j'avais tout fait pour que mon
séjour s'achevât sans que j'eusse pu la voir.
Mais cette nuit, me demandais-je, où Biaggi* était-il cette nuit ?
Hélène* avait les yeux entrouverts, la tête légèrement inclinée sur
le côté, et elle me regardait, gardant ma main dans la sienne et un bras
enroulé autour de l'oreiller. Elle me dit à voix basse qu'elle avait sommeil et me
demanda la permission d'éteindre la lumière. Nous parlâmes encore un peu
dans le noir, les mains enlacées, et je continuais à fumer à côté d'elle,
regardant l'extrémité incandescente de ma cigarette qui brillait et se
dilatait un instant dans le noir chaque fois que je tirais une bouffée.
Hélène* avait fermé les yeux maintenant et, sans les rouvrir, à voix basse,
presque tout endormie, elle me dit que je pouvaism'engagea à venir la rejoindre dans leson lit. J'éteignis très lentement ma cigarette dans le cendrier et lui
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devait se trouver à Sasuelo*, selon elle, puisqu'il n'était pas à Paris*.
Il devait se trouver dans le village depuis le vingt-sept octobre, très
exactement, car si Hélène* ne se trompait pas et qu'il était effectivement
revenu à Sasuelo* juste après l'enterrement, cela remontait à près d'une
semaine maintenant, et je songeai qu'il était donc là le jour de mon
arrivée puisque c'était dans la matinée du vingt-huit que je m'étais ins-
tallé à l'hôtel.Ce qui faitqu'il m'avait vu arriver dans le village selon
toute vraisemblance, que c'était lui en conséquence qui s'était caché
de moi pendant ces quelques jours, évitant de sortir de chez lui ou ne
sortant que la nuit quand il pensait ne pas me trouver dans le village,
alors que, dans le même temps, je croyais me cacher moi-même et prenais
parallèlement le même type de précautions pour éviter les parages de sa
maison tant j'étais persuadé alors qu'Hélène et lui ils s'y trouvaient tous les
deux. Car c'était en quelque sorte pour les voir que je m'étais rendu
à Sasuelo*, pour voir Hélène* oui — même si j'avais tout fait pour que mon
séjour s'achevât sans que j'eusse pu la voir.
Mais cette nuit, me demandais-je, où Biaggi* était-il cette nuit ?
Hélène* avait les yeux entrouverts, la tête légèrement inclinée sur
le côté, et elle me regardait, gardant ma main dans la sienne et un bras
enroulé autour de l'oreiller. Elle me dit qu'elle avait sommeil et me
demanda la permission d'éteindre la lumière. Nous parlâmes encore un peu
dans le noir, les mains enlacées, et je continuais à fumer à côté d'elle,
regardant l'extrémité incandescente de ma cigarette qui brillait et se
dilatait un instant dans le noir chaque fois que je tirais une bouffée.
Hélène* avait fermé les yeux maintenant et, sans les rouvrir, à voix basse,
presque tout endormie, elle me dit que je pouvais venir la rejoindre dans le lit. J'éteignis très lentement ma cigarette dans le cendrier et lui