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  1. Exploration des brouillons
  2. #04
  3. LRT_04_01_00064
  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

IV, 64

J’avançai jusqu’à l’escalier et je commençai à monter. Je montais lentement
au premier étage, une main posée sur la rampe et les yeux fixés devant moi
pour tâcher de percer quelque peu l’obscurité du couloir. Arrivé sur le
palier, j’hésitai un instant, et, comme je n’entendais toujours rien, je
longeai le couloir sans bruit jusqu’à la porte de la chambre d’amis et je
l’ouvris lentement. Il n’y avait personne dans la pièce, et personne ne
semblait avoir dormi là depuis cet été apparemment, car le matelas était
à nu sur le sommier, avec deux grosees couvertures en laine pliées avec
soin sur le lit. Je ressortis de la pièce, et je remarquai alors qu’une
porte éta t i t ouverte au fond du couloir. Le couloir était toujours aussi
sombre et silencieux devant en face de moi, et aucun bruit ne se faisait entendre
derrière la porte de la chambre. Se pouvait-il que c’était là que Biaggi *
m’attendait ? Je m’avançai lentement jusqu’à la porte, et, marquant un
temps d’arrêt avant d’entrer, je m’introduisis dans la pièce la pièce qui était parfaitement vide dans la
pénombre
et
je me ne trouvai personne [D1] et découvris la chambre à coucher des Biaggi * découvris une pièce <#D1> parfaitement vide déserte dans l'obscurité
rendis compte qu’il n’y avait persopnne, dans la chambre à coucher des
Biaggi. *
Un des volets de la fenêtre n’était pas très bien fermé, et un peu de lumière de la lune rayon de lune entrait dans la pièce chambre à coucher par le mince entrebâillement , qui et enveloppait
la chambre la pièce d’une douce pénombre blanche. Le lit n’avait pas été défait,
que recouvrait un couvre-lit blanc , et il n’y avait aucune trace de présence
dans la cette la chambre. , pas plus que dans l’autre, Il n’y avait aucune trace de présence dans aucune des deux
chambres
, aucun vêtements qui traînait sur les chaises, aucun journaux
sur les tables de nuit. Il n’y avait personne à l’étage, et la maison
des Biaggi était vide, apparemment. Je m’approchais
de la
fenêtre
Un long filet de clarté
lunaire
recouvrait s’étendait se dessinait sur le sol,
Une douce pénombre blanche enveloppait la pièce, et le sol était recouvert
par
Le sol
une mare de blancheur recouvrait le sol sous la fenêtre s'étendait sur le sol près de la fenêtre et la chambre était ??? la pièce d'une
[D2] une douce pénombre blanche enveloppait
la chambre
et la chambre la pièce était silencieuse, qui baignait dans une <#D2> et laissait sur le sol un
filet de blancheur.
une mare
Une douce pénombre blanche
enveloppait la pièce, et un
long filet de blancheur
s'étendait sur le sol.
qui laissait sur le sol une longue traînée de blancheur lueur blanche. une longue trace blanche. La chambre
???
baignait dans
une douce clarté lunaire
la pénombre

IV, 64

J’avançai jusqu’à l’escalier et je commençai à monter. Je montais lentement
au premier étage, une main posée sur la rampe et les yeux fixés devant moi
pour tâcher de percer quelque peu l’obscurité du couloir. Arrivé sur le
palier, j’hésitai un instant, et, comme je n’entendais toujours rien, je
longeai le couloir sans bruit jusqu’à la porte de la chambre d’amis et je
l’ouvris lentement. Il n’y avait personne dans la pièce, et personne ne
semblait avoir dormi là depuis cet été apparemment, car le matelas était
à nu sur le sommier, avec deux grosees couvertures en laine pliées avec
soin sur le lit. Je ressortis de la pièce, et je remarquai alors qu’une
porte éta t t ouverte au fond du couloir. Le couloir était toujours aussi
sombre et silencieux devant moi, et aucun bruit ne se faisait entendre
derrière la porte de la chambre. Se pouvait-il que c’était là que Biaggi *
m’attendait ? Je m’avançai lentement jusqu’à la je me ne trouvai personne
rendis compte qu’il n’y avait persopnne, dans la chambre à coucher des Biaggi. Un des volets n’était pas bien fermé, et un peu de lumière de la lune entrait dans la pièce chambre à coucher par le mince entrebâillement qui enveloppait
la chambre la pièce d’une douce pénombre blanche. Le lit n’avait pas été défait,
que recouvrait un couvre-lit blanc , et il n’y avait aucune trace de présence
dans la cette chambre. Il n’y avait aucune trace de présence dans aucune des deux chambres , aucun vêtements qui traînait sur les chaises, aucun journaux
sur les tables de nuit. Il n’y avait personne à l’étage, et la maison
des Biaggi était vide, apparemment.

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IV, 64

J’avançai jusqu’à l’escalier et je commençai à monter. Je montais lentement
au premier étage, une main posée sur la rampe et les yeux fixés devant moi
pour tâcher de percer quelque peu l’obscurité du couloir. Arrivé sur le
palier, j’hésitai un instant, et, comme je n’entendais toujours rien, je
longeai le couloir sans bruit jusqu’à la porte de la chambre d’amis et je
l’ouvris lentement. Il n’y avait personne dans la pièce, et personne ne
semblait avoir dormi là depuis cet été apparemment, car le matelas était
à nu sur le sommier, avec deux grosees couvertures en laine pliées avec
soin sur le lit. Je ressortis de la pièce, et je remarquai alors qu’une
porte éta t i t ouverte au fond du couloir. Le couloir était toujours aussi
sombre et silencieux devant en face de moi, et aucun bruit ne se faisait entendre
derrière la porte de la chambre. Se pouvait-il que c’était là que Biaggi *
m’attendait ? Je m’avançai lentement jusqu’à la porte, et, marquant un
temps d’arrêt avant d’entrer, je m’introduisis dans la pièce la pièce qui était parfaitement vide dans la
pénombre
et
je me ne trouvai personne [D1] et découvris la chambre à coucher des Biaggi * découvris une pièce <#D1> parfaitement vide déserte dans l'obscurité
rendis compte qu’il n’y avait persopnne, dans la chambre à coucher des
Biaggi. *
Un des volets de la fenêtre n’était pas très bien fermé, et un peu de lumière de la lune rayon de lune entrait dans la pièce chambre à coucher par le mince entrebâillement , qui et enveloppait
la chambre la pièce d’une douce pénombre blanche. Le lit n’avait pas été défait,
que recouvrait un couvre-lit blanc , et il n’y avait aucune trace de présence
dans la cette la chambre. , pas plus que dans l’autre, Il n’y avait aucune trace de présence dans aucune des deux
chambres
, aucun vêtements qui traînait sur les chaises, aucun journaux
sur les tables de nuit. Il n’y avait personne à l’étage, et la maison
des Biaggi était vide, apparemment. Je m’approchais
de la
fenêtre
Un long filet de clarté
lunaire
recouvrait s’étendait se dessinait sur le sol,
Une douce pénombre blanche enveloppait la pièce, et le sol était recouvert
par
Le sol
une mare de blancheur recouvrait le sol sous la fenêtre s'étendait sur le sol près de la fenêtre et la chambre était ??? la pièce d'une
[D2] une douce pénombre blanche enveloppait
la chambre
et la chambre la pièce était silencieuse, qui baignait dans une <#D2> et laissait sur le sol un
filet de blancheur.
une mare
Une douce pénombre blanche
enveloppait la pièce, et un
long filet de blancheur
s'étendait sur le sol.
qui laissait sur le sol une longue traînée de blancheur lueur blanche. une longue trace blanche. La chambre
???
baignait dans
une douce clarté lunaire
la pénombre

IV, 64

J’avançai jusqu’à l’escalier et je commençai à monter. Je montais lentement
au premier étage, une main posée sur la rampe et les yeux fixés devant moi
pour tâcher de percer quelque peu l’obscurité du couloir. Arrivé sur le
palier, j’hésitai un instant, et, comme je n’entendais toujours rien, je
longeai le couloir sans bruit jusqu’à la porte de la chambre d’amis et je
l’ouvris lentement. Il n’y avait personne dans la pièce, et personne ne
semblait avoir dormi là depuis cet été apparemment, car le matelas était
à nu sur le sommier, avec deux grosees couvertures en laine pliées avec
soin sur le lit. Je ressortis de la pièce, et je remarquai alors qu’une
porte éta t t ouverte au fond du couloir. Le couloir était toujours aussi
sombre et silencieux devant moi, et aucun bruit ne se faisait entendre
derrière la porte de la chambre. Se pouvait-il que c’était là que Biaggi *
m’attendait ? Je m’avançai lentement jusqu’à la je me ne trouvai personne
rendis compte qu’il n’y avait persopnne, dans la chambre à coucher des Biaggi. Un des volets n’était pas bien fermé, et un peu de lumière de la lune entrait dans la pièce chambre à coucher par le mince entrebâillement qui enveloppait
la chambre la pièce d’une douce pénombre blanche. Le lit n’avait pas été défait,
que recouvrait un couvre-lit blanc , et il n’y avait aucune trace de présence
dans la cette chambre. Il n’y avait aucune trace de présence dans aucune des deux chambres , aucun vêtements qui traînait sur les chaises, aucun journaux
sur les tables de nuit. Il n’y avait personne à l’étage, et la maison
des Biaggi était vide, apparemment.

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