IV, 65
J’avançai jusqu’à l’escalier et je commençai à monter. Je montais lentement
au premier étage, une main posée sur la rampe et les yeux fixés devant moi
pour tâcher de percer quelque peu l’obscurité du couloir. Arrivé sur le
palier, j’hésitai un instant, et, comme je n’entendais
aucun
bruit et
toujours rien et
que
que
qu'il n'y avait
personne
ne se trouvait
dans le couloir
apparemment
, je
le
longeai
le couloir
sans
bruit jusqu’à la porte de la chambre
d’amis,
que j’
et je l'
ouvris lentement. Il
n’y avait personne dans la pièce, et
personne
ne semblait avoir dormi
n'avait dû dormir
là
depuis cet été
selon toute vraisemblance
sans doute
apparemment
, car le matelas était à nu sur
le sommier, avec deux grosses couvertures en laine pliées avec soin sur
le lit. Je ressortis de la pièce, et
je
me rendis compte que
remarquai alors
le couloir demeurait toujours aussi silencieux et désert
devant moi.
qu'une porte était ouverte au fond
du couloir. C'était la
porte de la chambre à coucher des
Biaggi
*
Se pouvait-il que c’était dans sa chambre
que
Biaggi
*
m’attendait ? Car
l
L
a porte de la chambre à coucher des Biaggi
était
ouverte au fond du couloir
,
.
Le couloir
était
désert
toujours aussi
silencieux et désert
sombre et silencieux
devant
en face
moi
et aucun bruit ne se faisait entendre
derrière la porte
de la chambre
.
Se pouvait-il que c’était là que
Biaggi
*
m’attendait ?
Je
m’avançai lentement jusqu’à la porte, et
, lorsque
lorsque
lorsque
m'arrêtant
un instant
marquant un
temps d'arrêt,
???
le mur,
je m’introduisis dans la pièce
,
.
je me rendis compte immédiatement qu’il n’y avait personne.
Se pouvait-il que c'était là que Biaggi m'attendait ?
<#D1>
se tenait sans bouger peut-être
Un des volets de la fenêtre
n’
était
mal
pas bien
fermé,
qui lais-sait pénétrer
et
qui laissait un mince entrebaillement
ouvert par lequel
un peu de
lumière de la lune
entrait
dans la pièce
et
[D1]
[
je
m'in
me rendis compte
immédiatement
immédiatement
qu’il n’y avait
personne.
dans la chambre à coucher des
Biaggi
*
|
par le mince
entrebâillement
qui
enveloppait
le
lit le
sol
et le couvre
lit.
qui
???
enveloppait la
chambre d'une
pénombre
lunaire.
Le
lit n'avait
pas été défait,
et il n'y avait
aucun sacs, ni
aucune valises
dans la pièce
Le lit n’avait pas été défait et je ne remarquai
la présence d’aucun sac, ni d’aucune
valise dans la pièce. Il n’y avait
aucune trace de présence dans aucune
des deux chambres
en réalité
,
aucun vêtement qui traînait sur les chaises, aucun
journaux sur les tables
de nuit. Il n’(y avait personne à l’étage et
la maison des
Biaggi
*
était
vide, apparemment.
IV, 65
J’avançai jusqu’à l’escalier et je commençai à monter. Je montais lentement
au premier étage, une main posée sur la rampe et les yeux fixés devant moi
pour tâcher de percer quelque peu l’obscurité du couloir. Arrivé sur le
palier, j’hésitai un instant, et, comme je n’entendais
aucun
bruit et
que
que
qu'il n'y avait
personne
ne se trouvait
dans le couloir
apparemment
, je
le
longeai
sans
bruit jusqu’à la porte de la chambre
d’amis,
que j’
ouvris lentement. Il
n’y avait personne dans la pièce, et
personne
ne semblait avoir dormi
n'avait dû dormir
là
depuis cet été
selon toute vraisemblance
sans doute
, car le matelas était à nu sur
le sommier, avec deux grosses couvertures en laine pliées avec soin sur
le lit. Je ressortis de la pièce, et
le couloir demeurait toujours aussi silencieux et désert
devant moi.
Se pouvait-il que c’était dans sa chambre que
Biaggi
m’attendait ? Car
l
a porte de la chambre à coucher des Biaggi
était
ouverte au fond du couloir
,
et aucun bruit ne se faisait entendre
derrière la porte
.
Je
m’avançai lentement jusqu’à la porte, et
, lorsque
lorsque
lorsque
m'arrêtant
un instant
je m’introduisis dans la pièce
,
je me rendis compte immédiatement qu’il n’y avait personne.
Se pouvait-il que c'était là que Biaggi m'attendait ?
Un des volets de la fenêtre
était
mal
fermé,
qui lais-sait pénétrer
un peu de
lumière de la lune
dans la pièce
et
[
je
m'in
me rendis compte
immédiatement
immédiatement
qu’il n’y avait personne.
dans la chambre à coucher des
Biaggi
|
Le lit n’avait pas été défait et je ne remarquai
la présence d’aucun sac, ni d’aucune
valise dans la pièce. Il n’y avait
aucune trace de présence dans aucune
des deux chambres
,
aucun vêtement qui traînait sur les chaises, aucun
journaux sur les tables
de nuit. Il n’(y avait personne à l’étage et
la maison des
Biaggi
*
était
vide, apparemment.
IV, 65
J’avançai jusqu’à l’escalier et je commençai à monter. Je montais lentement
au premier étage, une main posée sur la rampe et les yeux fixés devant moi
pour tâcher de percer quelque peu l’obscurité du couloir. Arrivé sur le
palier, j’hésitai un instant, et, comme je n’entendais
aucun
bruit et
toujours rien et
que
que
qu'il n'y avait
personne
ne se trouvait
dans le couloir
apparemment
, je
le
longeai
le couloir
sans
bruit jusqu’à la porte de la chambre
d’amis,
que j’
et je l'
ouvris lentement. Il
n’y avait personne dans la pièce, et
personne
ne semblait avoir dormi
n'avait dû dormir
là
depuis cet été
selon toute vraisemblance
sans doute
apparemment
, car le matelas était à nu sur
le sommier, avec deux grosses couvertures en laine pliées avec soin sur
le lit. Je ressortis de la pièce, et
je
me rendis compte que
remarquai alors
le couloir demeurait toujours aussi silencieux et désert
devant moi.
qu'une porte était ouverte au fond
du couloir. C'était la
porte de la chambre à coucher des
Biaggi
*
Se pouvait-il que c’était dans sa chambre
que
Biaggi
*
m’attendait ? Car
l
L
a porte de la chambre à coucher des Biaggi
était
ouverte au fond du couloir
,
.
Le couloir
était
désert
toujours aussi
silencieux et désert
sombre et silencieux
devant
en face
moi
et aucun bruit ne se faisait entendre
derrière la porte
de la chambre
.
Se pouvait-il que c’était là que
Biaggi
*
m’attendait ?
Je
m’avançai lentement jusqu’à la porte, et
, lorsque
lorsque
lorsque
m'arrêtant
un instant
marquant un
temps d'arrêt,
???
le mur,
je m’introduisis dans la pièce
,
.
je me rendis compte immédiatement qu’il n’y avait personne.
Se pouvait-il que c'était là que Biaggi m'attendait ?
<#D1>
se tenait sans bouger peut-être
Un des volets de la fenêtre
n’
était
mal
pas bien
fermé,
qui lais-sait pénétrer
et
qui laissait un mince entrebaillement
ouvert par lequel
un peu de
lumière de la lune
entrait
dans la pièce
et
[D1]
[
je
m'in
me rendis compte
immédiatement
immédiatement
qu’il n’y avait
personne.
dans la chambre à coucher des
Biaggi
*
|
par le mince
entrebâillement
qui
enveloppait
le
lit le
sol
et le couvre
lit.
qui
???
enveloppait la
chambre d'une
pénombre
lunaire.
Le
lit n'avait
pas été défait,
et il n'y avait
aucun sacs, ni
aucune valises
dans la pièce
Le lit n’avait pas été défait et je ne remarquai
la présence d’aucun sac, ni d’aucune
valise dans la pièce. Il n’y avait
aucune trace de présence dans aucune
des deux chambres
en réalité
,
aucun vêtement qui traînait sur les chaises, aucun
journaux sur les tables
de nuit. Il n’(y avait personne à l’étage et
la maison des
Biaggi
*
était
vide, apparemment.
IV, 65
J’avançai jusqu’à l’escalier et je commençai à monter. Je montais lentement
au premier étage, une main posée sur la rampe et les yeux fixés devant moi
pour tâcher de percer quelque peu l’obscurité du couloir. Arrivé sur le
palier, j’hésitai un instant, et, comme je n’entendais
aucun
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que
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qu'il n'y avait
personne
ne se trouvait
dans le couloir
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le
longeai
sans
bruit jusqu’à la porte de la chambre
d’amis,
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ouvris lentement. Il
n’y avait personne dans la pièce, et
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depuis cet été
selon toute vraisemblance
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le couloir demeurait toujours aussi silencieux et désert
devant moi.
Se pouvait-il que c’était dans sa chambre que
Biaggi
m’attendait ? Car
l
a porte de la chambre à coucher des Biaggi
était
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,
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derrière la porte
.
Je
m’avançai lentement jusqu’à la porte, et
, lorsque
lorsque
lorsque
m'arrêtant
un instant
je m’introduisis dans la pièce
,
je me rendis compte immédiatement qu’il n’y avait personne.
Se pouvait-il que c'était là que Biaggi m'attendait ?
Un des volets de la fenêtre
était
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un peu de
lumière de la lune
dans la pièce
et
[
je
m'in
me rendis compte
immédiatement
immédiatement
qu’il n’y avait personne.
dans la chambre à coucher des
Biaggi
|
Le lit n’avait pas été défait et je ne remarquai
la présence d’aucun sac, ni d’aucune
valise dans la pièce. Il n’y avait
aucune trace de présence dans aucune
des deux chambres
,
aucun vêtement qui traînait sur les chaises, aucun
journaux sur les tables
de nuit. Il n’(y avait personne à l’étage et
la maison des
Biaggi
*
était
vide, apparemment.