IV, 66
J’avançai jusqu’à l’escalier et je commençai à monter. Je montais lentement
au premier étage, une main posée sur la rampe et les yeux fixés devant moi
pour tâcher de percer quelque peu l’obscurité du couloir. Arrivé sur le
palier, j’hésitai un instant, et, comme je n’entendais aucun bruit et
que
personne ne se trouvait dans le couloir apparemment, je le longeai sans
bruit jusqu’à la porte de la chambre d’amis, que j’ouvris
lentement
Les volets et les rideaux étaient fermés dans la pièce
,
|
et
qui sentait fortement
le renfermé,
Il n’y avait personne dans la pièce
, et
selon toute vraisemblance
personne
n’avait dû
ne semblait avoir
dormi
r
là depuis
longtemps
depuis cet été sans doute
,
.
Les rideaux et
les volets étaient
fermés
cet été
sans doute,
selon toute vraisemblance
|
, car
les volets
étaient fermés et
le matelas était à nu sur le sommier, avec deux grosses
couvertures
en laine
pliées
avec soin sur le lit
que l'on
devinait
dans l'obscurité
. Je ressortis de la
pièce, et le couloir demeurait
toujours aussi silencieux
et désert
devant moi.
Se pouvait-il que
c'était dans sa chambre que
Biaggi
m'attendait dans sa chambre
m'attendait
? Car la
porte de la
L
a
porte de la chambre à coucher des Biaggi était
???
ouverte au fond du
couloir,
et lorsque je poussai la porte
je m'y introduisis.
J'étais dans la pièce
la première chose que je vis
et aucun bruit ne se faisait entendre
dans
la pièce
derrière la porte.
Je m'avancai lentement
dans le couloir,
jusqu'à la porte
et, lorsque je m'introduisis dans la
chambre,
la première
chose que je vis,
je me rendis compte immédiatement qu'il
n'y avait personne
le lit n'avait pas
été défait
La chambre était parfaitement
vide dans l'obscurité,
Les volets étaient fermés,
l'un d'eux
Un des volets
de la fenêtre
n'était
pas très bien
fermé qui laissait
un mince
entrebaillement
pénétrer
un rayon de lune dans
un peu de lumière de la lune dans
la pièce
par le
mince entrebaillement,
et
le
Le
le
lit n'avait pas été défait,
et je ne remarquai
la présence d'aucun
sac, ni d'aucune
valises dans la pièce.
Il n'y avait aucune
IV, 66
J’avançai jusqu’à l’escalier et je commençai à monter. Je montais lentement
au premier étage, une main posée sur la rampe et les yeux fixés devant moi
pour tâcher de percer quelque peu l’obscurité du couloir. Arrivé sur le
palier, j’hésitai un instant, et, comme je n’entendais aucun bruit et
que
personne ne se trouvait dans le couloir apparemment, je le longeai sans
bruit jusqu’à la porte de la chambre d’amis, que j’ouvris
Les volets et les rideaux étaient fermés dans la pièce
qui sentait fortement le renfermé,
, et
personne
n’avait dû
dormi
r
là depuis
cet été
sans doute,
selon toute vraisemblance
le matelas était à nu sur le sommier, avec deux grosses
couvertures
pliées
avec soin sur le lit
. Je ressortis de la
pièce, et le couloir demeurait
toujours aussi silencieux
devant moi.
L
IV, 66
J’avançai jusqu’à l’escalier et je commençai à monter. Je montais lentement
au premier étage, une main posée sur la rampe et les yeux fixés devant moi
pour tâcher de percer quelque peu l’obscurité du couloir. Arrivé sur le
palier, j’hésitai un instant, et, comme je n’entendais aucun bruit et
que
personne ne se trouvait dans le couloir apparemment, je le longeai sans
bruit jusqu’à la porte de la chambre d’amis, que j’ouvris
lentement
Les volets et les rideaux étaient fermés dans la pièce
,
|
et
qui sentait fortement
le renfermé,
Il n’y avait personne dans la pièce
, et
selon toute vraisemblance
personne
n’avait dû
ne semblait avoir
dormi
r
là depuis
longtemps
depuis cet été sans doute
,
.
Les rideaux et
les volets étaient
fermés
cet été
sans doute,
selon toute vraisemblance
|
, car
les volets
étaient fermés et
le matelas était à nu sur le sommier, avec deux grosses
couvertures
en laine
pliées
avec soin sur le lit
que l'on
devinait
dans l'obscurité
. Je ressortis de la
pièce, et le couloir demeurait
toujours aussi silencieux
et désert
devant moi.
Se pouvait-il que
c'était dans sa chambre que
Biaggi
m'attendait dans sa chambre
m'attendait
? Car la
porte de la
L
a
porte de la chambre à coucher des Biaggi était
???
ouverte au fond du
couloir,
et lorsque je poussai la porte
je m'y introduisis.
J'étais dans la pièce
la première chose que je vis
et aucun bruit ne se faisait entendre
dans
la pièce
derrière la porte.
Je m'avancai lentement
dans le couloir,
jusqu'à la porte
et, lorsque je m'introduisis dans la
chambre,
la première
chose que je vis,
je me rendis compte immédiatement qu'il
n'y avait personne
le lit n'avait pas
été défait
La chambre était parfaitement
vide dans l'obscurité,
Les volets étaient fermés,
l'un d'eux
Un des volets
de la fenêtre
n'était
pas très bien
fermé qui laissait
un mince
entrebaillement
pénétrer
un rayon de lune dans
un peu de lumière de la lune dans
la pièce
par le
mince entrebaillement,
et
le
Le
le
lit n'avait pas été défait,
et je ne remarquai
la présence d'aucun
sac, ni d'aucune
valises dans la pièce.
Il n'y avait aucune
IV, 66
J’avançai jusqu’à l’escalier et je commençai à monter. Je montais lentement
au premier étage, une main posée sur la rampe et les yeux fixés devant moi
pour tâcher de percer quelque peu l’obscurité du couloir. Arrivé sur le
palier, j’hésitai un instant, et, comme je n’entendais aucun bruit et
que
personne ne se trouvait dans le couloir apparemment, je le longeai sans
bruit jusqu’à la porte de la chambre d’amis, que j’ouvris
Les volets et les rideaux étaient fermés dans la pièce
qui sentait fortement le renfermé,
, et
personne
n’avait dû
dormi
r
là depuis
cet été
sans doute,
selon toute vraisemblance
le matelas était à nu sur le sommier, avec deux grosses
couvertures
pliées
avec soin sur le lit
. Je ressortis de la
pièce, et le couloir demeurait
toujours aussi silencieux
devant moi.
L