IV 492
Après le déjeuner, j'avais été me promener J'étais retourné sur le port après le déjeuner, et je m'attardai
quelques instants sur la jetée en attendant le retour du taxi qui ne devait
venir me reprendre à Santagralo* que vers trois heures et demie. Je marchais
le long du quai en poussant lentement en promenant lentement la poussette de mon fils à la poignée de laquelle j'avais accrochéun sac de provisions le petit sac qui contenait les provisions que j'avais faites ce matin au supermarché devant
moi, et jem'arrêtai un instant pour m'asseoirfinis par m'asseoir sur la jetée arrivé au bout de la jetée, je m'arrêtai pour m'asseoir sur une unesur une bite d'amarrage , où je demeurais quelques instants à regarder à la hauteur d'une barque de pêche dans laquelleet je m'attardais là quelques instants à regarder unun pêcheur* préparait des palangres
debout dans le fond de bateau. Un poulpe affaissé, violacé et rose,
reposait à ses pieds, et il le ramssait de temps à autre comme un vieux
torchon pour en couper un fragment avec un petit couteau, gardant le
couteau entre ses lèvres le temps d'appâtersa ligneson hameçon. Chacune de ses palangres comptait environ une vingtaine d'hameçonsenviron au moins qui étaient répartis
en rang d'oignons tout au long de la ligne, et, chaque fois qu'il venait
de couper un morceau de poulpe, rejetant aussitôt à côté de lui sans plus s'y intéresser le mollusque le corps flasque du
cephalopode le poulpe à côté de lui à côté de lui, qui allait faire un flop mou et spongieux en
atterrissant dans le fond de la barque, il glissait le fragment de
poulpe ainsi découpé dans le crochet d'un des hameçons restés libres et continuait ainsi à et remplirssait ainsi sa ligne au fur et à mesure d'un geste toujours
sûr et précis de la main. L'homme portait une casquette bleue et un caban
un peu trop étroit pour lui, me semblait-il, j'aurais pris la taille
au-dessus personnellement, et ? ne s'occupait absolument pas de moi, ni
de mon fils*, mon fils *ne lui prêtant aucune attention non plus d'ailleurs,
qui dormait la bouche ouverte dans sa poussette, son petit anorak bleu
bien fermé autour de sa poitrine. Je me levai de la borne pour m'approcher
du bord de la jetée et, le regardai faire un instant de plus près, cherchai à lier conversation. Vous allez pêcher maintenant ? lui demandai-je en me penchant légèrement vers luien avantvers la barque me penchant légèrement en avant vers la barque, je le regardai faire un instant de plus près et lui demandai s'il allait
pêcher maintenant. Il ne répondit pas tout de suite, acheva d'appâter
un de ses hameçons. Demain, finit-il par dire, sans me regarder, et
notre conversation s'en tint là, qui avait fait le tour de la question
somme toute, il irait à la pêche demain, si je voulais le savoir— (et,
fort de cette information, je regagnai la place du village pour attendre le taxi.)
???
???
habileté
qu'il ???
de l'ignorance
de —>
? — le taxi,
la lumière
les nuages
le jour tombait
bien qu'il ne ???
que quatre heures.
IV 492
J'étais retourné sur le port après le déjeuner, et je m'attardai
quelques instants sur la jetée en attendant le retour du taxi qui ne devait
venir me reprendre à Santagralo* que vers trois heures et demie. Je marchais
le long du quai en promenant lentement la poussette de mon fils un sac de provisions au supermarché devant
moi, et jem'arrêtai un instant pour m'asseoir sur une bite d'amarrage à la hauteur d'une barque dans laquelleun pêcheur* préparait des palangres
debout dans le fond de bateau. Un poulpe affaissé, violacé et rose,
reposait à ses pieds, et il le ramssait de temps à autre comme un vieux
torchon pour en couper un fragment avec un petit couteau, gardant le
couteau entre ses lèvres le temps d'appâtersa ligne. Chacune de ses palangres comptait environ une vingtaine d'hameçonsenviron qui étaient répartis
en rang d'oignons tout au long de la ligne, et, chaque fois qu'il venait
de couper un morceau de poulpe, rejetant aussitôt le corps flasque du
cephalopode à côté de lui, qui allait faire un flop mou et spongieux en
atterrissant dans le fond de la barque, il glissait le fragment de
poulpe ainsi découpé dans le crochet d'un des hameçons restés libres et continuait ainsi à remplir sa ligne au fur et à mesure d'un geste toujours
sûr et précis de la main. L'homme portait une casquette bleue et un caban
un peu trop étroit pour lui, me semblait-il, j'aurais pris la taille
au-dessus personnellement, et ne s'occupait absolument pas de moi, ni
de mon fils*, mon fils *ne lui prêtant aucune attention non plus d'ailleurs,
qui dormait la bouche ouverte dans sa poussette, son petit anorak bleu
bien fermé autour de sa poitrine. Je me levai de la borne pour m'approcher
du bord de la jetée et, légèrement vers luivers la barque me penchant légèrement en avant vers la barque, je le regardai faire un instant de plus près et lui demandai s'il allait
pêcher maintenant. Il ne répondit pas tout de suite, acheva d'appâter
un de ses hameçons. Demain, finit-il par dire, sans me regarder, et
notre conversation s'en tint là, qui avait fait le tour de la question
somme toute, il irait à la pêche demain, si je voulais le savoir—et,
fort de cette information, je regagnai la place du village pour attendre le taxi.
IV 492
Après le déjeuner, j'avais été me promener J'étais retourné sur le port après le déjeuner, et je m'attardai
quelques instants sur la jetée en attendant le retour du taxi qui ne devait
venir me reprendre à Santagralo* que vers trois heures et demie. Je marchais
le long du quai en poussant lentement en promenant lentement la poussette de mon fils à la poignée de laquelle j'avais accrochéun sac de provisions le petit sac qui contenait les provisions que j'avais faites ce matin au supermarché devant
moi, et jem'arrêtai un instant pour m'asseoirfinis par m'asseoir sur la jetée arrivé au bout de la jetée, je m'arrêtai pour m'asseoir sur une unesur une bite d'amarrage , où je demeurais quelques instants à regarder à la hauteur d'une barque de pêche dans laquelleet je m'attardais là quelques instants à regarder unun pêcheur* préparait des palangres
debout dans le fond de bateau. Un poulpe affaissé, violacé et rose,
reposait à ses pieds, et il le ramssait de temps à autre comme un vieux
torchon pour en couper un fragment avec un petit couteau, gardant le
couteau entre ses lèvres le temps d'appâtersa ligneson hameçon. Chacune de ses palangres comptait environ une vingtaine d'hameçonsenviron au moins qui étaient répartis
en rang d'oignons tout au long de la ligne, et, chaque fois qu'il venait
de couper un morceau de poulpe, rejetant aussitôt à côté de lui sans plus s'y intéresser le mollusque le corps flasque du
cephalopode le poulpe à côté de lui à côté de lui, qui allait faire un flop mou et spongieux en
atterrissant dans le fond de la barque, il glissait le fragment de
poulpe ainsi découpé dans le crochet d'un des hameçons restés libres et continuait ainsi à et remplirssait ainsi sa ligne au fur et à mesure d'un geste toujours
sûr et précis de la main. L'homme portait une casquette bleue et un caban
un peu trop étroit pour lui, me semblait-il, j'aurais pris la taille
au-dessus personnellement, et ? ne s'occupait absolument pas de moi, ni
de mon fils*, mon fils *ne lui prêtant aucune attention non plus d'ailleurs,
qui dormait la bouche ouverte dans sa poussette, son petit anorak bleu
bien fermé autour de sa poitrine. Je me levai de la borne pour m'approcher
du bord de la jetée et, le regardai faire un instant de plus près, cherchai à lier conversation. Vous allez pêcher maintenant ? lui demandai-je en me penchant légèrement vers luien avantvers la barque me penchant légèrement en avant vers la barque, je le regardai faire un instant de plus près et lui demandai s'il allait
pêcher maintenant. Il ne répondit pas tout de suite, acheva d'appâter
un de ses hameçons. Demain, finit-il par dire, sans me regarder, et
notre conversation s'en tint là, qui avait fait le tour de la question
somme toute, il irait à la pêche demain, si je voulais le savoir— (et,
fort de cette information, je regagnai la place du village pour attendre le taxi.)
???
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habileté
qu'il ???
de l'ignorance
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la lumière
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le jour tombait
bien qu'il ne ???
que quatre heures.
IV 492
J'étais retourné sur le port après le déjeuner, et je m'attardai
quelques instants sur la jetée en attendant le retour du taxi qui ne devait
venir me reprendre à Santagralo* que vers trois heures et demie. Je marchais
le long du quai en promenant lentement la poussette de mon fils un sac de provisions au supermarché devant
moi, et jem'arrêtai un instant pour m'asseoir sur une bite d'amarrage à la hauteur d'une barque dans laquelleun pêcheur* préparait des palangres
debout dans le fond de bateau. Un poulpe affaissé, violacé et rose,
reposait à ses pieds, et il le ramssait de temps à autre comme un vieux
torchon pour en couper un fragment avec un petit couteau, gardant le
couteau entre ses lèvres le temps d'appâtersa ligne. Chacune de ses palangres comptait environ une vingtaine d'hameçonsenviron qui étaient répartis
en rang d'oignons tout au long de la ligne, et, chaque fois qu'il venait
de couper un morceau de poulpe, rejetant aussitôt le corps flasque du
cephalopode à côté de lui, qui allait faire un flop mou et spongieux en
atterrissant dans le fond de la barque, il glissait le fragment de
poulpe ainsi découpé dans le crochet d'un des hameçons restés libres et continuait ainsi à remplir sa ligne au fur et à mesure d'un geste toujours
sûr et précis de la main. L'homme portait une casquette bleue et un caban
un peu trop étroit pour lui, me semblait-il, j'aurais pris la taille
au-dessus personnellement, et ne s'occupait absolument pas de moi, ni
de mon fils*, mon fils *ne lui prêtant aucune attention non plus d'ailleurs,
qui dormait la bouche ouverte dans sa poussette, son petit anorak bleu
bien fermé autour de sa poitrine. Je me levai de la borne pour m'approcher
du bord de la jetée et, légèrement vers luivers la barque me penchant légèrement en avant vers la barque, je le regardai faire un instant de plus près et lui demandai s'il allait
pêcher maintenant. Il ne répondit pas tout de suite, acheva d'appâter
un de ses hameçons. Demain, finit-il par dire, sans me regarder, et
notre conversation s'en tint là, qui avait fait le tour de la question
somme toute, il irait à la pêche demain, si je voulais le savoir—et,
fort de cette information, je regagnai la place du village pour attendre le taxi.