IV 498
J'étais retourné sur le port après le déjeuneren attendant le retour
du taxi qui me reconduirait à sasuelo*en attendant le retour du taxi qui ne devait me reprendre que vers trois heures et demie. Je marchai le long du quai en poussant devant moi la poussette etet je m'attardai quelques instant
sur la jetée à regarder un pêcheur* qui préparait des palandres debout dans le fond de son bateau. Un poulpe affaissé, violacé et rose, reposait à
ses pieds tout flasque et déjà sérieusement mutilé, et il le ramssait
de temps à autre comme un vieux torchon pour en couper un fragment avec
un petit couteau et appâter ses lignes.ChaqueChacune de sespalangres comptait bien
une vingtaine d'hameçons, et il gloisssait à chaque fois le morceau
de poulpe qu'il venait de découper dans le x l'hameçon dans le crochet dans la flèche de l'extrémité de l'hameçon d'un des hameçons avec un geste sûr et précis . L'homme
portait une casquette bleue et un caban un peu trop étroit pour lui, me
semblait-il, j'aurais pris la taille au-dessus personnelement, et ne
s'occupait absolument pas de nous, mon fils* ne lui prêtant aucune
attention non plus d'ailleurs,intrigué qu'il était par un oiseau qui tournoyait autour de la barque.qui dormait dans sa poussette.Vous allez pêcher maintenant ? dis-je.
Demain, dit-il, et notre conversation s'en tint là, précise, informative.<>
Il ne répondit pas d tout de suite, acheva de couper un mod'appâter
son hameçon. Demain, dit-il, et notre conversation s'en tint là,
Elle avait été d'une grande précision somme toute,
en me penchant légèrement en avant vers la barque. Il ne répondit
pas tout de suite, acheva d'appâtersonun de seshameçons. Demain, dit-il sans me regarder, et
notre conversation s'en tint là. Elle , quiavait été très précised'une grande précision, somme toute,
informative, exhaustive
qui pendaient sur toute leur longueur accrochésqui étaient ??? tout au long de la ligne fixés à des et pendaient à l'extrémité de fines cordelettesende
métal tressées
, le ? de la ?? je
?? ayant été ?
et chaque fois qu'il venait de
couper un morceau de poulpe,
il le glissait dans le
crochet d'un des
hameçons avec un geste
sûr et précis
pour appâter peu à peu
toute la ligne.
IV 498
J'étais retourné sur le port après le déjeuneren attendant le retour
du taxi qui me reconduirait à sasueloet je m'attardai quelques instant
sur la jetée à regarder un pêcheur* qui préparait des palandres debout dans le fond de son bateau. Un poulpe affaissé, violacé et rose, reposait à
ses pieds tout flasque et déjà sérieusement mutilé, et il le ramssait
de temps à autre comme un vieux torchon pour en couper un fragment avec
un petit couteau et appâter ses lignes.Chaquepalangres comptait bien
une vingtaine d'hameçons, et il gloisssait à chaque fois le morceau
de poulpe qu'il venait de découper avec un geste sûr et précis . L'homme
portait une casquette bleue et un caban un peu trop étroit pour lui, me
semblait-il, j'aurais pris la taille au-dessus personnelement, et ne
s'occupait absolument pas de nous, mon fils* ne lui prêtant aucune
attention non plus d'ailleurs,intrigué qu'il était par un oiseau qui tournoyait autour de la barque.Vous allez pêcher maintenant ? dis-je.
Demain, dit-il, et notre conversation s'en tint là, précise, informative.
Il ne répondit pas d tout de suite, acheva de couper un mod'appâter
son hameçon. Demain, dit-il, et notre conversation s'en tint là,
Elle avait été d'une grande précision somme toute,
en me penchant légèrement en avant vers la barque. Il ne répondit
pas tout de suite, acheva d'appâtersonhameçon. Demain, dit-il , et
notre conversation s'en tint là. Elleavait été très précise, somme toute,
informative, exhaustive
qui pendaient sur toute leur longueur accrochés à des cordelettesen
métal tressées
IV 498
J'étais retourné sur le port après le déjeuneren attendant le retour
du taxi qui me reconduirait à sasuelo*en attendant le retour du taxi qui ne devait me reprendre que vers trois heures et demie. Je marchai le long du quai en poussant devant moi la poussette etet je m'attardai quelques instant
sur la jetée à regarder un pêcheur* qui préparait des palandres debout dans le fond de son bateau. Un poulpe affaissé, violacé et rose, reposait à
ses pieds tout flasque et déjà sérieusement mutilé, et il le ramssait
de temps à autre comme un vieux torchon pour en couper un fragment avec
un petit couteau et appâter ses lignes.ChaqueChacune de sespalangres comptait bien
une vingtaine d'hameçons, et il gloisssait à chaque fois le morceau
de poulpe qu'il venait de découper dans le x l'hameçon dans le crochet dans la flèche de l'extrémité de l'hameçon d'un des hameçons avec un geste sûr et précis . L'homme
portait une casquette bleue et un caban un peu trop étroit pour lui, me
semblait-il, j'aurais pris la taille au-dessus personnelement, et ne
s'occupait absolument pas de nous, mon fils* ne lui prêtant aucune
attention non plus d'ailleurs,intrigué qu'il était par un oiseau qui tournoyait autour de la barque.qui dormait dans sa poussette.Vous allez pêcher maintenant ? dis-je.
Demain, dit-il, et notre conversation s'en tint là, précise, informative.<>
Il ne répondit pas d tout de suite, acheva de couper un mod'appâter
son hameçon. Demain, dit-il, et notre conversation s'en tint là,
Elle avait été d'une grande précision somme toute,
en me penchant légèrement en avant vers la barque. Il ne répondit
pas tout de suite, acheva d'appâtersonun de seshameçons. Demain, dit-il sans me regarder, et
notre conversation s'en tint là. Elle , quiavait été très précised'une grande précision, somme toute,
informative, exhaustive
qui pendaient sur toute leur longueur accrochésqui étaient ??? tout au long de la ligne fixés à des et pendaient à l'extrémité de fines cordelettesende
métal tressées
, le ? de la ?? je
?? ayant été ?
et chaque fois qu'il venait de
couper un morceau de poulpe,
il le glissait dans le
crochet d'un des
hameçons avec un geste
sûr et précis
pour appâter peu à peu
toute la ligne.
IV 498
J'étais retourné sur le port après le déjeuneren attendant le retour
du taxi qui me reconduirait à sasueloet je m'attardai quelques instant
sur la jetée à regarder un pêcheur* qui préparait des palandres debout dans le fond de son bateau. Un poulpe affaissé, violacé et rose, reposait à
ses pieds tout flasque et déjà sérieusement mutilé, et il le ramssait
de temps à autre comme un vieux torchon pour en couper un fragment avec
un petit couteau et appâter ses lignes.Chaquepalangres comptait bien
une vingtaine d'hameçons, et il gloisssait à chaque fois le morceau
de poulpe qu'il venait de découper avec un geste sûr et précis . L'homme
portait une casquette bleue et un caban un peu trop étroit pour lui, me
semblait-il, j'aurais pris la taille au-dessus personnelement, et ne
s'occupait absolument pas de nous, mon fils* ne lui prêtant aucune
attention non plus d'ailleurs,intrigué qu'il était par un oiseau qui tournoyait autour de la barque.Vous allez pêcher maintenant ? dis-je.
Demain, dit-il, et notre conversation s'en tint là, précise, informative.
Il ne répondit pas d tout de suite, acheva de couper un mod'appâter
son hameçon. Demain, dit-il, et notre conversation s'en tint là,
Elle avait été d'une grande précision somme toute,
en me penchant légèrement en avant vers la barque. Il ne répondit
pas tout de suite, acheva d'appâtersonhameçon. Demain, dit-il , et
notre conversation s'en tint là. Elleavait été très précise, somme toute,
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qui pendaient sur toute leur longueur accrochés à des cordelettesen
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