IV 499
J'étais retourné sur le port après le déjeuner, et je m'attardai quelques
instants sur la jetée en attendant le retour du taxi qui ne devait venir
me reprendre à Santagralo* que vers trois heures et demie. Je marchais le long du quai
en promenant lentement la poussette de mon fils* devant moi, et je m'arrêtai un instant pour m'asseoir sur une bite à la
hauteur d'un pêcheur* qui préparait des palangres debout dans le fond de
son bateau. Un poulpe affaissé, violacé et rose, reposait à ses pieds, et
il le ramassait de temps à autre comme un vieux torchon pour en couper
un fragment avec un petit couteau et appâter ses lignes. Chacune de ses
palangres compatait bien uneunevingtaine d'hameçons, qui étaient qui, répartis en rang d'oignons
tout au long de tout au long la ligne, qui séparés les uns des autres par une cordelette de quelques centimètres et qui pendaient dans le vide, fixés et, qui pendaient à l'extrémité à laquelle ils étaient fixés parétaient fixésà la ligneà l'extrémité de de fines cordelettes
de métal tressées, et, chaque fois qu'il venait de couper un morceau de
poulpe, ???? le corps flasque et mutilé dans le fond de la barque
du céphallopode qui faisait flop en atterrissant dans le fond de la barque il le glissait le fragment de poulpe ainsi découpédans le crochet d'un des hameçons diuencorerestélibre
avec un geste sûr et précis et continuait ??? ainsi à appâter sa ligne au fur
et à mesure. L'homme portait une casquette bleue et un caban un peu trop
étroit pour lui, me semblait-il, j'aurais pris la taille au-dessus, person-
nellement, et ne s'occupait absolument pas de nous, mon fils* ne lui prêtant
aucune attention non plus d'ailleurs, qui dormait la bouche ouverte dans
sa poussette. Je me levai de la bite pour m'approcherde lui, du bord de la jetée et, me penchant légèrement en avant vers la barque, et lui demandais s'il allaitpechersortir maintenant. Vous allez pêcher maintenant? lui demandais-je en me pencant
légèrement en avant vers la barque. Il ne répondit pas tout de suite,
acheva d'appâter un de ses hameçons. Demain, dit-il sans me regarder,
et notre conversation s'en tint là,je regagnai la place du village ------ qui
qui avait fait le tour de la question, somme toute , il sortirait demain si je voulais le savoir.
??? à côté de lui —> le ?? ??
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J'étais retourné sur le port après le déjeuner, et je m'attardai quelques
instants sur la jetée en attendant le retour du taxi qui ne devait venir
me reprendre que vers trois heures et demie. Je marchais le long du quai
en promenant la poussette de mon fils* devant moi, et je m'arrêtai à la
hauteur d'un pêcheur* qui préparait des palangres debout dans le fond de
son bateau. Un poulpe affaissé, violacé et rose, reposait à ses pieds, et
il le ramassait de temps à autre comme un vieux torchon pour en couper
un fragment avec un petit couteau et appâter ses lignes. Chacune de ses
palangres compatait bien unevingtaine d'hameçons, qui étaient qui, répartis en rang d'oignons
tout au long de la ligneet pendaient à l'extrémité à laquelle ils étaient fixés parà la ligne de fines cordelettes
de métal tressées, et, chaque fois qu'il venait de couper un morceau de
poulpe, il le glissait dans le crochet d'un des hameçons diuencorelibre
avec un geste sûr et précis et continuait ainsi à appâter sa ligne au fur
et à mesure. L'homme portait une casquette bleue et un caban un peu trop
étroit pour lui, me semblait-il, j'aurais pris la taille au-dessus, person-
nellement, et ne s'occupait absolument pas de nous, mon fils* ne lui prêtant
aucune attention non plus d'ailleurs, qui dormait la bouche ouverte dans
sa poussette. de lui, pecher Vous allez pêcher maintenant? lui demandais-je en me pencant
légèrement en avant vers la barque. Il ne répondit pas tout de suite,
acheva d'appâter un de ses hameçons. Demain, dit-il sans me regarder,
et notre conversation s'en tint là, qui
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J'étais retourné sur le port après le déjeuner, et je m'attardai quelques
instants sur la jetée en attendant le retour du taxi qui ne devait venir
me reprendre à Santagralo* que vers trois heures et demie. Je marchais le long du quai
en promenant lentement la poussette de mon fils* devant moi, et je m'arrêtai un instant pour m'asseoir sur une bite à la
hauteur d'un pêcheur* qui préparait des palangres debout dans le fond de
son bateau. Un poulpe affaissé, violacé et rose, reposait à ses pieds, et
il le ramassait de temps à autre comme un vieux torchon pour en couper
un fragment avec un petit couteau et appâter ses lignes. Chacune de ses
palangres compatait bien uneunevingtaine d'hameçons, qui étaient qui, répartis en rang d'oignons
tout au long de tout au long la ligne, qui séparés les uns des autres par une cordelette de quelques centimètres et qui pendaient dans le vide, fixés et, qui pendaient à l'extrémité à laquelle ils étaient fixés parétaient fixésà la ligneà l'extrémité de de fines cordelettes
de métal tressées, et, chaque fois qu'il venait de couper un morceau de
poulpe, ???? le corps flasque et mutilé dans le fond de la barque
du céphallopode qui faisait flop en atterrissant dans le fond de la barque il le glissait le fragment de poulpe ainsi découpédans le crochet d'un des hameçons diuencorerestélibre
avec un geste sûr et précis et continuait ??? ainsi à appâter sa ligne au fur
et à mesure. L'homme portait une casquette bleue et un caban un peu trop
étroit pour lui, me semblait-il, j'aurais pris la taille au-dessus, person-
nellement, et ne s'occupait absolument pas de nous, mon fils* ne lui prêtant
aucune attention non plus d'ailleurs, qui dormait la bouche ouverte dans
sa poussette. Je me levai de la bite pour m'approcherde lui, du bord de la jetée et, me penchant légèrement en avant vers la barque, et lui demandais s'il allaitpechersortir maintenant. Vous allez pêcher maintenant? lui demandais-je en me pencant
légèrement en avant vers la barque. Il ne répondit pas tout de suite,
acheva d'appâter un de ses hameçons. Demain, dit-il sans me regarder,
et notre conversation s'en tint là,je regagnai la place du village ------ qui
qui avait fait le tour de la question, somme toute , il sortirait demain si je voulais le savoir.
??? à côté de lui —> le ?? ??
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J'étais retourné sur le port après le déjeuner, et je m'attardai quelques
instants sur la jetée en attendant le retour du taxi qui ne devait venir
me reprendre que vers trois heures et demie. Je marchais le long du quai
en promenant la poussette de mon fils* devant moi, et je m'arrêtai à la
hauteur d'un pêcheur* qui préparait des palangres debout dans le fond de
son bateau. Un poulpe affaissé, violacé et rose, reposait à ses pieds, et
il le ramassait de temps à autre comme un vieux torchon pour en couper
un fragment avec un petit couteau et appâter ses lignes. Chacune de ses
palangres compatait bien unevingtaine d'hameçons, qui étaient qui, répartis en rang d'oignons
tout au long de la ligneet pendaient à l'extrémité à laquelle ils étaient fixés parà la ligne de fines cordelettes
de métal tressées, et, chaque fois qu'il venait de couper un morceau de
poulpe, il le glissait dans le crochet d'un des hameçons diuencorelibre
avec un geste sûr et précis et continuait ainsi à appâter sa ligne au fur
et à mesure. L'homme portait une casquette bleue et un caban un peu trop
étroit pour lui, me semblait-il, j'aurais pris la taille au-dessus, person-
nellement, et ne s'occupait absolument pas de nous, mon fils* ne lui prêtant
aucune attention non plus d'ailleurs, qui dormait la bouche ouverte dans
sa poussette. de lui, pecher Vous allez pêcher maintenant? lui demandais-je en me pencant
légèrement en avant vers la barque. Il ne répondit pas tout de suite,
acheva d'appâter un de ses hameçons. Demain, dit-il sans me regarder,
et notre conversation s'en tint là, qui