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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00309
  • Facsimilé 
  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

I. 309

 Je ne faisais rien, non, le temps passait lentement et je dormais

beaucoup, presque autant que mon fils (qui est pourtant un des types

qui dort le plus que je connaisse). C'était en quelque sorte à cause des

Biaggi que je me trouvais ici. Car c'était pour aller voir les Biaggi

que je m'étais rendu à Sasuelo, pour cette unique raison,. même si, dans 

le même temps, je savais très bien que les revoir m'attristerait et me 

ferait du mal. Le jour de mon arrivéed'ailleurs pourtant, j'avais sans cesse

repoussé le moment de'aller leur rendre visite, j'étais resté presque toute

l'après-mididans ma chambre d' à l'hôtel, me reprochant mollement mon inconséquencedu  du reste  d'ailleurs, 

reste, tout en me disant que s'il était plus simple pour moi d'être

compliqué, autant rester simple. Je méditais lâchement ce raisonnement délicieux

allongé en chaussettes sur mon lit et, poussant à son terme sa logique

imparable, j'avais alorsdécidé de renoncer tout à fait à décidé abandonnétout à fait  complètement l'idée d' aller voir voir

les Biaggipendant mon séjour pendant mon séjour, et ce n'est que le lendemain matin,

voulant mettre un terme à la tournure d'emballement incontrôléobsessionnel que

la question d'aller ou non voir les Biaggi commençait à prendre dans

mon esprit, que j'avais fini par me décider à leur faire une visite,

très brève, m'imaginais-je, juste pour leur signaler ma présence (de

toute manière, les Biaggi n'était pas là)à Sasuelo en ce moment).

 J'abvais bien fait de venir.

I. 309

 Je ne faisais rien, non, le temps passait lentement et je dormais

beaucoup, presque autant que mon fils (qui est pourtant un des types

qui dort le plus que je connaisse). C'était en quelque sorte à cause des

Biaggi que je me trouvais ici. Car c'était pour aller voir les Biaggi

que je m'étais rendu à Sasuelo, pour cette unique raison, même si, dans 

le même temps, je savais très bien que les revoir m'attristerait et me 

ferait du mal. Le jour de mon arrivéed'ailleurs , j'avais sans cesse

repoussé le moment de leur rendre visite, j'étais resté presque toute

l'après-midi à l'hôtel, me reprochant mollement mon inconséquencedu  

reste, tout en me disant que s'il était plus simple pour moi d'être

compliqué, autant rester simple. Je méditais lâchement ce raisonnement délicieux

allongé en chaussettes sur mon lit et, poussant à son terme sa logique

imparable, j'avais alorsdécidé de renoncer tout à fait à aller voir voir

les Biaggipendant mon séjour , et ce n'est que le lendemain matin,

voulant mettre un terme à la tournure d'emballement incontrôléque

la question d'aller ou non voir les Biaggi commençait à prendre dans

mon esprit, que j'avais fini par me décider à leur faire une visite,

très brève, m'imaginais-je, juste pour leur signaler ma présence (de

toute manière, les Biaggi n'était pas là).

 J'abvais bien fait de venir.

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I. 309

 Je ne faisais rien, non, le temps passait lentement et je dormais

beaucoup, presque autant que mon fils (qui est pourtant un des types

qui dort le plus que je connaisse). C'était en quelque sorte à cause des

Biaggi que je me trouvais ici. Car c'était pour aller voir les Biaggi

que je m'étais rendu à Sasuelo, pour cette unique raison,. même si, dans 

le même temps, je savais très bien que les revoir m'attristerait et me 

ferait du mal. Le jour de mon arrivéed'ailleurs pourtant, j'avais sans cesse

repoussé le moment de'aller leur rendre visite, j'étais resté presque toute

l'après-mididans ma chambre d' à l'hôtel, me reprochant mollement mon inconséquencedu  du reste  d'ailleurs, 

reste, tout en me disant que s'il était plus simple pour moi d'être

compliqué, autant rester simple. Je méditais lâchement ce raisonnement délicieux

allongé en chaussettes sur mon lit et, poussant à son terme sa logique

imparable, j'avais alorsdécidé de renoncer tout à fait à décidé abandonnétout à fait  complètement l'idée d' aller voir voir

les Biaggipendant mon séjour pendant mon séjour, et ce n'est que le lendemain matin,

voulant mettre un terme à la tournure d'emballement incontrôléobsessionnel que

la question d'aller ou non voir les Biaggi commençait à prendre dans

mon esprit, que j'avais fini par me décider à leur faire une visite,

très brève, m'imaginais-je, juste pour leur signaler ma présence (de

toute manière, les Biaggi n'était pas là)à Sasuelo en ce moment).

 J'abvais bien fait de venir.

I. 309

 Je ne faisais rien, non, le temps passait lentement et je dormais

beaucoup, presque autant que mon fils (qui est pourtant un des types

qui dort le plus que je connaisse). C'était en quelque sorte à cause des

Biaggi que je me trouvais ici. Car c'était pour aller voir les Biaggi

que je m'étais rendu à Sasuelo, pour cette unique raison, même si, dans 

le même temps, je savais très bien que les revoir m'attristerait et me 

ferait du mal. Le jour de mon arrivéed'ailleurs , j'avais sans cesse

repoussé le moment de leur rendre visite, j'étais resté presque toute

l'après-midi à l'hôtel, me reprochant mollement mon inconséquencedu  

reste, tout en me disant que s'il était plus simple pour moi d'être

compliqué, autant rester simple. Je méditais lâchement ce raisonnement délicieux

allongé en chaussettes sur mon lit et, poussant à son terme sa logique

imparable, j'avais alorsdécidé de renoncer tout à fait à aller voir voir

les Biaggipendant mon séjour , et ce n'est que le lendemain matin,

voulant mettre un terme à la tournure d'emballement incontrôléque

la question d'aller ou non voir les Biaggi commençait à prendre dans

mon esprit, que j'avais fini par me décider à leur faire une visite,

très brève, m'imaginais-je, juste pour leur signaler ma présence (de

toute manière, les Biaggi n'était pas là).

 J'abvais bien fait de venir.

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