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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00314
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I. 314

 J'étais venu à Sasuelo pour voir les Biaggien réalité, qui s'était

retiré dans le villagedepuis une dizaine d'années quelques années plus tôt, et jusqu'à présent,par je ne sais quel??? ,  

je ne m'étais toujours pas manifesté auprès d'eux, évitant même les

parages de leur maison quand je me promenais dans le village. Le jour

de mon arrivée déjç, j'avais sans cesse repoussé le moment d'allerles trouver 

leur rendre visite, j'étais resté toute l'après-midi à l'hôtel, 

sans leur faire signe. , Leur maison se trouvait à moins de cinq lminutes 

à pieds de l'hôtel, sans leur téléphoner. 

Je me trouvais à moins de cinq minutesà pieds de leur maison, et, même

si je savais très bien que les voir m'attristerait et me ferait du mal,

rester ainsi  devoir ainsi presque me cacher pour qu'ils ne s'aperçoiven

pas de ma présence dans le village me semblait

Je me cachais presque pour qu'ils ne s'aperçoivent pas de ma présence

dans le village, je faisais des détours

A mesure que les jours passaient, de surcroît, ma crainte grandissait

qu'ils s'aperçoivent que j'étais dans le village et que je ne les

avais pas prévenu et,

A mesure que les jours passaient, il était devenu pour moi très

importante qu'ils ne s'aperçoivent pas de ma présence dans le village

et, même si je leur avais écrit une lettre pour les avertir de ma venue,

ils pouvaient toujours imaginer que quelque contre-temps m'avait

empêcher de venir. Je me cachais presque maintenant, je restais

de plus en plus souvent à l'hôtel. Un soir, pourtant, à la tombée

de la nuit, je finis par me décider à leyr faire une visite, très

brève, m'imaginais-je, juste pour leur signaler ma présence.

I. 314

 J'étais venu à Sasuelo pour voir les Biaggien réalité, qui s'était

retiré dans le villagedepuis une dizaine d'années , et jusqu'à présent, 

je ne m'étais toujours pas manifesté auprès d'eux, évitant même les

parages de leur maison quand je me promenais dans le village. Le jour

de mon arrivée déjç, j'avais sans cesse repoussé le moment d'aller 

leur rendre visite, j'étais resté toute l'après-midi à l'hôtel, 

sans leur faire signe.  Leur maison se trouvait à moins de cinq lminutes 

à pieds de l'hôtel,  

Je me trouvais à moins de cinq minutesà pieds de leur maison, et, même

si je savais très bien que les voir m'attristerait et me ferait du mal,

rester ainsi  devoir ainsi presque me cacher pour qu'ils ne s'aperçoiven

pas de ma présence dans le village me semblait

Je me cachais presque pour qu'ils ne s'aperçoivent pas de ma présence

dans le village, je faisais des détours

A mesure que les jours passaient, de surcroît, ma crainte grandissait

qu'ils s'aperçoivent que j'étais dans le village et que je ne les

avais pas prévenu et,

A mesure que les jours passaient, il était devenu pour moi très

importante qu'ils ne s'aperçoivent pas de ma présence dans le village

et, même si je leur avais écrit une lettre pour les avertir de ma venue,

ils pouvaient toujours imaginer que quelque contre-temps m'avait

empêcher de venir. Je me cachais presque maintenant, je restais

de plus en plus souvent à l'hôtel. Un soir, pourtant, à la tombée

de la nuit, je finis par me décider à leyr faire une visite, très

brève, m'imaginais-je, juste pour leur signaler ma présence.

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I. 314

 J'étais venu à Sasuelo pour voir les Biaggien réalité, qui s'était

retiré dans le villagedepuis une dizaine d'années quelques années plus tôt, et jusqu'à présent,par je ne sais quel??? ,  

je ne m'étais toujours pas manifesté auprès d'eux, évitant même les

parages de leur maison quand je me promenais dans le village. Le jour

de mon arrivée déjç, j'avais sans cesse repoussé le moment d'allerles trouver 

leur rendre visite, j'étais resté toute l'après-midi à l'hôtel, 

sans leur faire signe. , Leur maison se trouvait à moins de cinq lminutes 

à pieds de l'hôtel, sans leur téléphoner. 

Je me trouvais à moins de cinq minutesà pieds de leur maison, et, même

si je savais très bien que les voir m'attristerait et me ferait du mal,

rester ainsi  devoir ainsi presque me cacher pour qu'ils ne s'aperçoiven

pas de ma présence dans le village me semblait

Je me cachais presque pour qu'ils ne s'aperçoivent pas de ma présence

dans le village, je faisais des détours

A mesure que les jours passaient, de surcroît, ma crainte grandissait

qu'ils s'aperçoivent que j'étais dans le village et que je ne les

avais pas prévenu et,

A mesure que les jours passaient, il était devenu pour moi très

importante qu'ils ne s'aperçoivent pas de ma présence dans le village

et, même si je leur avais écrit une lettre pour les avertir de ma venue,

ils pouvaient toujours imaginer que quelque contre-temps m'avait

empêcher de venir. Je me cachais presque maintenant, je restais

de plus en plus souvent à l'hôtel. Un soir, pourtant, à la tombée

de la nuit, je finis par me décider à leyr faire une visite, très

brève, m'imaginais-je, juste pour leur signaler ma présence.

I. 314

 J'étais venu à Sasuelo pour voir les Biaggien réalité, qui s'était

retiré dans le villagedepuis une dizaine d'années , et jusqu'à présent, 

je ne m'étais toujours pas manifesté auprès d'eux, évitant même les

parages de leur maison quand je me promenais dans le village. Le jour

de mon arrivée déjç, j'avais sans cesse repoussé le moment d'aller 

leur rendre visite, j'étais resté toute l'après-midi à l'hôtel, 

sans leur faire signe.  Leur maison se trouvait à moins de cinq lminutes 

à pieds de l'hôtel,  

Je me trouvais à moins de cinq minutesà pieds de leur maison, et, même

si je savais très bien que les voir m'attristerait et me ferait du mal,

rester ainsi  devoir ainsi presque me cacher pour qu'ils ne s'aperçoiven

pas de ma présence dans le village me semblait

Je me cachais presque pour qu'ils ne s'aperçoivent pas de ma présence

dans le village, je faisais des détours

A mesure que les jours passaient, de surcroît, ma crainte grandissait

qu'ils s'aperçoivent que j'étais dans le village et que je ne les

avais pas prévenu et,

A mesure que les jours passaient, il était devenu pour moi très

importante qu'ils ne s'aperçoivent pas de ma présence dans le village

et, même si je leur avais écrit une lettre pour les avertir de ma venue,

ils pouvaient toujours imaginer que quelque contre-temps m'avait

empêcher de venir. Je me cachais presque maintenant, je restais

de plus en plus souvent à l'hôtel. Un soir, pourtant, à la tombée

de la nuit, je finis par me décider à leyr faire une visite, très

brève, m'imaginais-je, juste pour leur signaler ma présence.

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