I. 347
Je ramassai le phoque, un peu confus, et le rendis à mon fils, qui
se mit à l'embrasser fougueusement en poussant des petits tayauts de
joie comme s'il le retrouvait après une très longue absence. Je le fis
taire en lui donnant unepetite claquesèche et violente sur la main
et,aidant l'hôtelier à se relever ??? je me sentais mal à l'aise, un peu mal à l'aise, tandis quede rage il mon fils rejetait le phoque de rageau loin sur le sol demandai de nouveau à l'hôtelier si je pouvais avoir une chambre pour
quelques nuits, trois ou quatre nuits, peut-être même davantage, je ne
savais pas très bien. Puis, tandis que l'hôtelier passait derrière le
comptoir de la réception et ouvrait son registre, je lui demandai si je
pouvais lui confier mon fils pour quelques minutes, le temps d'aller
récupérer mes affaires sur la place. S'il pleure, vous lui donnez un
biscuit,hein, expliquai-je en posant le paquet de biscuit sur le
comptoir, et je pris congé. Je m'arrêtai sur le seuil et me retournai.
Mais s'il ne pleure pas, pas de biscuit,hein,dis-je en me retournant. nous sommes d'accord, ajoutai-je.
(Pas de pleurs, pas de biscuits., hein, nous sommes d'accord)
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Je ramassai le phoque, un peu confus, et le rendis à mon fils, qui
se mit à l'embrasser fougueusement en poussant des petits tayauts de
joie comme s'il le retrouvait après une très longue absence. Je le fis
taire en lui donnant unepetite claquesèche et violente sur la main
et, demandai de nouveau à l'hôtelier si je pouvais avoir une chambre pour
quelques nuits, trois ou quatre nuits, peut-être même davantage, je ne
savais pas très bien. Puis, tandis que l'hôtelier passait derrière le
comptoir de la réception et ouvrait son registre, je lui demandai si je
pouvais lui confier mon fils pour quelques minutes, le temps d'aller
récupérer mes affaires sur la place. S'il pleure, vous lui donnez un
biscuit,hein, expliquai-je en posant le paquet de biscuit sur le
comptoir, et je pris congé. Je m'arrêtai sur le seuil et me retournai.
Mais s'il ne pleure pas, pas de biscuit,hein,dis-je en me retournant.
Pas de pleurs, pas de biscuits.
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Je ramassai le phoque, un peu confus, et le rendis à mon fils, qui
se mit à l'embrasser fougueusement en poussant des petits tayauts de
joie comme s'il le retrouvait après une très longue absence. Je le fis
taire en lui donnant unepetite claquesèche et violente sur la main
et,aidant l'hôtelier à se relever ??? je me sentais mal à l'aise, un peu mal à l'aise, tandis quede rage il mon fils rejetait le phoque de rageau loin sur le sol demandai de nouveau à l'hôtelier si je pouvais avoir une chambre pour
quelques nuits, trois ou quatre nuits, peut-être même davantage, je ne
savais pas très bien. Puis, tandis que l'hôtelier passait derrière le
comptoir de la réception et ouvrait son registre, je lui demandai si je
pouvais lui confier mon fils pour quelques minutes, le temps d'aller
récupérer mes affaires sur la place. S'il pleure, vous lui donnez un
biscuit,hein, expliquai-je en posant le paquet de biscuit sur le
comptoir, et je pris congé. Je m'arrêtai sur le seuil et me retournai.
Mais s'il ne pleure pas, pas de biscuit,hein,dis-je en me retournant. nous sommes d'accord, ajoutai-je.
(Pas de pleurs, pas de biscuits., hein, nous sommes d'accord)
I. 347
Je ramassai le phoque, un peu confus, et le rendis à mon fils, qui
se mit à l'embrasser fougueusement en poussant des petits tayauts de
joie comme s'il le retrouvait après une très longue absence. Je le fis
taire en lui donnant unepetite claquesèche et violente sur la main
et, demandai de nouveau à l'hôtelier si je pouvais avoir une chambre pour
quelques nuits, trois ou quatre nuits, peut-être même davantage, je ne
savais pas très bien. Puis, tandis que l'hôtelier passait derrière le
comptoir de la réception et ouvrait son registre, je lui demandai si je
pouvais lui confier mon fils pour quelques minutes, le temps d'aller
récupérer mes affaires sur la place. S'il pleure, vous lui donnez un
biscuit,hein, expliquai-je en posant le paquet de biscuit sur le
comptoir, et je pris congé. Je m'arrêtai sur le seuil et me retournai.
Mais s'il ne pleure pas, pas de biscuit,hein,dis-je en me retournant.
Pas de pleurs, pas de biscuits.