I. 348
Je ramassai le phoque, un peu confus, et le rendis à mon fils, qui
se mit à l'embrasser fougueusement en poussant des petits tayauts de joie
comme s'il le retrouvait après unetrès longue séparation. L'hôtelier,
qui n'avait toujours pas prononcé un mot, me regardait en silence, les
yeux très durs et presque menaçants. Une chambre ? finit-il par dire
d'une voix rauque, et il se releva avec difficulté pour passer derrière
le comptoir de la réception. Je dis que oui, une chambre, et, lui donnant
mon passeport, je lui demandai si je pouvais lui confier mon fils pour
quelques minutes, le temps d'aller récupérer mes affaires sur la place
(s'il pleure, vous lui donnez un biscuit, hein
L'hôtelier, qui était toujours accroupi sur le carrelage et qui n'avait
pas encore prononcé un mot,me nous regardait en silence, les yeux très
dutrs et presque menaçant.Une chambre ? finit-il par dire. Je dis que d'une voix rauque en se relevant
oui, une chambre, Il --> et, tandis qu'ilse relevait et passait derrière le
comptoir de la réceptionet consultait son registre, je lui demandai si je pouvais lui confier
mon fils pour quelques minutes, le temps d'aller récupérer mes
affaires sur la place (s'il pleure, vous lui donnez un biscuit, hein,
ajoutai-je en partant, et je posai le paquet de biscuit sur le comptoir)
I. 348
Je ramassai le phoque, un peu confus, et le rendis à mon fils, qui
se mit à l'embrasser fougueusement en poussant des petits tayauts de joie
comme s'il le retrouvait après unetrès longue séparation. L'hôtelier,
qui n'avait toujours pas prononcé un mot, me regardait en silence, les
yeux très durs et presque menaçants. Une chambre ? finit-il par dire
d'une voix rauque, et il se releva avec difficulté pour passer derrière
le comptoir de la réception. Je dis que oui, une chambre, et, lui donnant
mon passeport, je lui demandai si je pouvais lui confier mon fils pour
quelques minutes, le temps d'aller récupérer mes affaires sur la place
(s'il pleure, vous lui donnez un biscuit, hein
L'hôtelier, qui était toujours accroupi sur le carrelage et qui n'avait
pas encore prononcé un mot,me regardait en silence, les yeux très
dutrs et presque menaçant.Une chambre ? finit-il par dire. Je dis que
oui, une chambre, et, tandis qu'ilse relevait et passait derrière le
comptoir de la réception, je lui demandai si je pouvais lui confier
mon fils pour quelques minutes, le temps d'aller récupérer mes
affaires sur la place (s'il pleure, vous lui donnez un biscuit, hein,
ajoutai-je en partant, et je posai le paquet de biscuit sur le comptoir)
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Je ramassai le phoque, un peu confus, et le rendis à mon fils, qui
se mit à l'embrasser fougueusement en poussant des petits tayauts de joie
comme s'il le retrouvait après unetrès longue séparation. L'hôtelier,
qui n'avait toujours pas prononcé un mot, me regardait en silence, les
yeux très durs et presque menaçants. Une chambre ? finit-il par dire
d'une voix rauque, et il se releva avec difficulté pour passer derrière
le comptoir de la réception. Je dis que oui, une chambre, et, lui donnant
mon passeport, je lui demandai si je pouvais lui confier mon fils pour
quelques minutes, le temps d'aller récupérer mes affaires sur la place
(s'il pleure, vous lui donnez un biscuit, hein
L'hôtelier, qui était toujours accroupi sur le carrelage et qui n'avait
pas encore prononcé un mot,me nous regardait en silence, les yeux très
dutrs et presque menaçant.Une chambre ? finit-il par dire. Je dis que d'une voix rauque en se relevant
oui, une chambre, Il --> et, tandis qu'ilse relevait et passait derrière le
comptoir de la réceptionet consultait son registre, je lui demandai si je pouvais lui confier
mon fils pour quelques minutes, le temps d'aller récupérer mes
affaires sur la place (s'il pleure, vous lui donnez un biscuit, hein,
ajoutai-je en partant, et je posai le paquet de biscuit sur le comptoir)
I. 348
Je ramassai le phoque, un peu confus, et le rendis à mon fils, qui
se mit à l'embrasser fougueusement en poussant des petits tayauts de joie
comme s'il le retrouvait après unetrès longue séparation. L'hôtelier,
qui n'avait toujours pas prononcé un mot, me regardait en silence, les
yeux très durs et presque menaçants. Une chambre ? finit-il par dire
d'une voix rauque, et il se releva avec difficulté pour passer derrière
le comptoir de la réception. Je dis que oui, une chambre, et, lui donnant
mon passeport, je lui demandai si je pouvais lui confier mon fils pour
quelques minutes, le temps d'aller récupérer mes affaires sur la place
(s'il pleure, vous lui donnez un biscuit, hein
L'hôtelier, qui était toujours accroupi sur le carrelage et qui n'avait
pas encore prononcé un mot,me regardait en silence, les yeux très
dutrs et presque menaçant.Une chambre ? finit-il par dire. Je dis que
oui, une chambre, et, tandis qu'ilse relevait et passait derrière le
comptoir de la réception, je lui demandai si je pouvais lui confier
mon fils pour quelques minutes, le temps d'aller récupérer mes
affaires sur la place (s'il pleure, vous lui donnez un biscuit, hein,
ajoutai-je en partant, et je posai le paquet de biscuit sur le comptoir)