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  1. Exploration des brouillons
  2. #01
  3. LRT_01_01_00348
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  • Tapuscrit corrigé
  • Tapuscrit

I. 348

 Je ramassai le phoque, un peu confus, et le rendis à mon fils, qui

se mit à l'embrasser fougueusement en poussant des petits tayauts de joie

comme s'il le retrouvait après unetrès longue séparation. L'hôtelier,

qui n'avait toujours pas prononcé un mot, me regardait en silence, les

yeux très durs et presque menaçants. Une chambre ? finit-il par dire

d'une voix rauque, et il se releva avec difficulté pour passer derrière

le comptoir de la réception. Je dis que oui, une chambre, et, lui donnant

mon passeport, je lui demandai si je pouvais lui confier mon fils pour

quelques minutes, le temps d'aller récupérer mes affaires sur la place

(s'il pleure, vous lui donnez un biscuit, hein

L'hôtelier, qui était toujours accroupi sur le carrelage et qui n'avait

pas encore prononcé un mot,me nous regardait en silence, les yeux très

dutrs et presque menaçant.Une chambre ? finit-il par dire. Je dis que d'une voix rauque en se relevant 

oui, une chambre, Il -->  et, tandis qu'ilse relevait et passait derrière le

comptoir de la réceptionet consultait son registre, je lui demandai si je pouvais lui confier

mon fils pour quelques minutes, le temps d'aller récupérer mes

affaires sur la place (s'il pleure, vous lui donnez un biscuit, hein,

ajoutai-je en partant, et je posai le paquet de biscuit sur le comptoir)

I. 348

 Je ramassai le phoque, un peu confus, et le rendis à mon fils, qui

se mit à l'embrasser fougueusement en poussant des petits tayauts de joie

comme s'il le retrouvait après unetrès longue séparation. L'hôtelier,

qui n'avait toujours pas prononcé un mot, me regardait en silence, les

yeux très durs et presque menaçants. Une chambre ? finit-il par dire

d'une voix rauque, et il se releva avec difficulté pour passer derrière

le comptoir de la réception. Je dis que oui, une chambre, et, lui donnant

mon passeport, je lui demandai si je pouvais lui confier mon fils pour

quelques minutes, le temps d'aller récupérer mes affaires sur la place

(s'il pleure, vous lui donnez un biscuit, hein

L'hôtelier, qui était toujours accroupi sur le carrelage et qui n'avait

pas encore prononcé un mot,me  regardait en silence, les yeux très

dutrs et presque menaçant.Une chambre ? finit-il par dire. Je dis que  

oui, une chambre,   et, tandis qu'ilse relevait et passait derrière le

comptoir de la réception, je lui demandai si je pouvais lui confier

mon fils pour quelques minutes, le temps d'aller récupérer mes

affaires sur la place (s'il pleure, vous lui donnez un biscuit, hein,

ajoutai-je en partant, et je posai le paquet de biscuit sur le comptoir)

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I. 348

 Je ramassai le phoque, un peu confus, et le rendis à mon fils, qui

se mit à l'embrasser fougueusement en poussant des petits tayauts de joie

comme s'il le retrouvait après unetrès longue séparation. L'hôtelier,

qui n'avait toujours pas prononcé un mot, me regardait en silence, les

yeux très durs et presque menaçants. Une chambre ? finit-il par dire

d'une voix rauque, et il se releva avec difficulté pour passer derrière

le comptoir de la réception. Je dis que oui, une chambre, et, lui donnant

mon passeport, je lui demandai si je pouvais lui confier mon fils pour

quelques minutes, le temps d'aller récupérer mes affaires sur la place

(s'il pleure, vous lui donnez un biscuit, hein

L'hôtelier, qui était toujours accroupi sur le carrelage et qui n'avait

pas encore prononcé un mot,me nous regardait en silence, les yeux très

dutrs et presque menaçant.Une chambre ? finit-il par dire. Je dis que d'une voix rauque en se relevant 

oui, une chambre, Il -->  et, tandis qu'ilse relevait et passait derrière le

comptoir de la réceptionet consultait son registre, je lui demandai si je pouvais lui confier

mon fils pour quelques minutes, le temps d'aller récupérer mes

affaires sur la place (s'il pleure, vous lui donnez un biscuit, hein,

ajoutai-je en partant, et je posai le paquet de biscuit sur le comptoir)

I. 348

 Je ramassai le phoque, un peu confus, et le rendis à mon fils, qui

se mit à l'embrasser fougueusement en poussant des petits tayauts de joie

comme s'il le retrouvait après unetrès longue séparation. L'hôtelier,

qui n'avait toujours pas prononcé un mot, me regardait en silence, les

yeux très durs et presque menaçants. Une chambre ? finit-il par dire

d'une voix rauque, et il se releva avec difficulté pour passer derrière

le comptoir de la réception. Je dis que oui, une chambre, et, lui donnant

mon passeport, je lui demandai si je pouvais lui confier mon fils pour

quelques minutes, le temps d'aller récupérer mes affaires sur la place

(s'il pleure, vous lui donnez un biscuit, hein

L'hôtelier, qui était toujours accroupi sur le carrelage et qui n'avait

pas encore prononcé un mot,me  regardait en silence, les yeux très

dutrs et presque menaçant.Une chambre ? finit-il par dire. Je dis que  

oui, une chambre,   et, tandis qu'ilse relevait et passait derrière le

comptoir de la réception, je lui demandai si je pouvais lui confier

mon fils pour quelques minutes, le temps d'aller récupérer mes

affaires sur la place (s'il pleure, vous lui donnez un biscuit, hein,

ajoutai-je en partant, et je posai le paquet de biscuit sur le comptoir)

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