II. 10
J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants
de la fenêtre. La ciel était immense et sombre devant moi, qui s'étendait
à perte de vue dans la nuit. Quelques longs nuages noirs, lentement, glis-
saient dans le halo de la lune. Rien ne bougeait alentour, et je voyais
la route qui sinuait au loindans l'obscurité jusqu'à la sortie du village.
L'air était comme parfumé d'un fonds d'odeur de pluie, chargé d'embruns
et de senteurs d'herbes mouillés, et je demeurais là deboutà la fenêtre dans la pénombre
à respirer lentementl'air frais de la nuit cette odeur à la fenêtre . Le port n'était pas visible
de ma fenêtre
II. 10
J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants
de la fenêtre. La ciel était immense et sombre devant moi, qui s'étendait
à perte de vue dans la nuit. Quelques longs nuages noirs, lentement, glis-
saient dans le halo de la lune. Rien ne bougeait alentour, et je voyais
la route qui sinuait au loindans l'obscurité jusqu'à la sortie du village.
L'air était comme parfumé d'un fonds d'odeur de pluie, chargé d'embruns
et de senteurs d'herbes mouillés, et je demeurais là deboutà la fenêtre
à respirer lentementl'air frais de la nuit . Le port n'était pas visible
de ma fenêtre
II. 10
J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants
de la fenêtre. La ciel était immense et sombre devant moi, qui s'étendait
à perte de vue dans la nuit. Quelques longs nuages noirs, lentement, glis-
saient dans le halo de la lune. Rien ne bougeait alentour, et je voyais
la route qui sinuait au loindans l'obscurité jusqu'à la sortie du village.
L'air était comme parfumé d'un fonds d'odeur de pluie, chargé d'embruns
et de senteurs d'herbes mouillés, et je demeurais là deboutà la fenêtre dans la pénombre
à respirer lentementl'air frais de la nuit cette odeur à la fenêtre . Le port n'était pas visible
de ma fenêtre
II. 10
J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants
de la fenêtre. La ciel était immense et sombre devant moi, qui s'étendait
à perte de vue dans la nuit. Quelques longs nuages noirs, lentement, glis-
saient dans le halo de la lune. Rien ne bougeait alentour, et je voyais
la route qui sinuait au loindans l'obscurité jusqu'à la sortie du village.
L'air était comme parfumé d'un fonds d'odeur de pluie, chargé d'embruns
et de senteurs d'herbes mouillés, et je demeurais là deboutà la fenêtre
à respirer lentementl'air frais de la nuit . Le port n'était pas visible
de ma fenêtre