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  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00010
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II. 10

 J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants

de la fenêtre. La ciel était immense et sombre devant moi, qui s'étendait

à perte de vue dans la nuit. Quelques longs nuages noirs, lentement, glis-

saient dans le halo de la lune. Rien ne bougeait alentour, et je voyais

la route qui sinuait au loindans l'obscurité jusqu'à la sortie du village.

L'air était comme parfumé d'un fonds d'odeur de pluie, chargé d'embruns

et de senteurs d'herbes mouillés, et je demeurais là deboutà la fenêtre dans la pénombre 

à respirer lentementl'air frais de la nuit cette odeur  à la fenêtre . Le port n'était pas visible

de ma fenêtre

II. 10

 J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants

de la fenêtre. La ciel était immense et sombre devant moi, qui s'étendait

à perte de vue dans la nuit. Quelques longs nuages noirs, lentement, glis-

saient dans le halo de la lune. Rien ne bougeait alentour, et je voyais

la route qui sinuait au loindans l'obscurité jusqu'à la sortie du village.

L'air était comme parfumé d'un fonds d'odeur de pluie, chargé d'embruns

et de senteurs d'herbes mouillés, et je demeurais là deboutà la fenêtre  

à respirer lentementl'air frais de la nuit  . Le port n'était pas visible

de ma fenêtre

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II. 10

 J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants

de la fenêtre. La ciel était immense et sombre devant moi, qui s'étendait

à perte de vue dans la nuit. Quelques longs nuages noirs, lentement, glis-

saient dans le halo de la lune. Rien ne bougeait alentour, et je voyais

la route qui sinuait au loindans l'obscurité jusqu'à la sortie du village.

L'air était comme parfumé d'un fonds d'odeur de pluie, chargé d'embruns

et de senteurs d'herbes mouillés, et je demeurais là deboutà la fenêtre dans la pénombre 

à respirer lentementl'air frais de la nuit cette odeur  à la fenêtre . Le port n'était pas visible

de ma fenêtre

II. 10

 J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants

de la fenêtre. La ciel était immense et sombre devant moi, qui s'étendait

à perte de vue dans la nuit. Quelques longs nuages noirs, lentement, glis-

saient dans le halo de la lune. Rien ne bougeait alentour, et je voyais

la route qui sinuait au loindans l'obscurité jusqu'à la sortie du village.

L'air était comme parfumé d'un fonds d'odeur de pluie, chargé d'embruns

et de senteurs d'herbes mouillés, et je demeurais là deboutà la fenêtre  

à respirer lentementl'air frais de la nuit  . Le port n'était pas visible

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