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  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00011
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  • Tapuscrit

II. 11

 J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants

de la fenêtre. Le ciel était immense et sombre devant moi, qui s'étendait

à perte de vue dans la nuit. Quelques longs nuages noirs, lentement, glis-

saient dans le halo de la lune. Rien ne bougeait alentour, et je voyais

la route qui sinuait au loindans l'obscurité jusqu'à la sortie du village. L'air était

comme parfumé d'un fonds d'odeur de pluie, chargé d'embruns et de senteurs

d'herbes mouillées, et je respiraisdemeurais là deboutà la fenêtre à à la fenêtre à respirer lentement l'infini de la nuit,à la fenêtre l'air frais de la nuit cette odeur  à la fenêtre. ,lentement,??? laissant pénéter l'air frais de la nuit dans mes bronches.  

Le port n'était pas visible de ma fenêtre, mais j'entendais le murmure

de la mer, tout près, quis'accordait intimement au silence qui régnait 

dans le village et  m'apportaitcomme  un soulagement des sens et de l'esprit

qui et  m'amena peu à peu à ne plus penser àrien aux Biaggi.J'étais très calme, et je respirais ne bougeais pas  

à la fenêtre.  Mon fils dormait derrière moi dans lapénombre chambre , et la faible

lumière de la lune qui entrait dans la pièce éclairait son visage endormi.

Il dormait la bouche ouverte dans son lit de voyage, immobile, le souffle

régulier, et je le regardais dormir sans bouger. Je rabattis le volet

finalement, et j'allai m'étendre tout habillé sur le lit, où je demeurai

un long momentsans bouger les yeux ouverts dans le noir.

de ce qui m'angoissait depuis quelques heures. 

II. 11

 J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants

de la fenêtre. Le ciel était immense et sombre devant moi, qui s'étendait

à perte de vue dans la nuit. Quelques longs nuages noirs, lentement, glis-

saient dans le halo de la lune. Rien ne bougeait alentour, et je voyais

la route qui sinuait au loin jusqu'à la sortie du village. L'air était

comme parfumé d'un fonds d'odeur de pluie, chargé d'embruns et de senteurs

d'herbes mouillées, et je respiraisl'air frais de la nuit   à la fenêtre. , 

Le port n'était pas visible de ma fenêtre, mais j'entendais le murmure

de la mer, tout près, quis'accordait intimement au silence qui régnait 

dans le village et  m'apportait  un soulagement des sens et de l'esprit

qui   m'amena peu à peu à ne plus penser àrien .J'étais calme, et je respirais  

à la fenêtre.  Mon fils dormait derrière moi dans lapénombre  , et la faible

lumière de la lune qui entrait dans la pièce éclairait son visage endormi.

Il dormait la bouche ouverte dans son lit de voyage, immobile, le souffle

régulier, et je le regardais dormir sans bouger. Je rabattis le volet

finalement, et j'allai m'étendre tout habillé sur le lit, où je demeurai

un long momentsans bouger les yeux ouverts dans le noir.

 

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II. 11

 J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants

de la fenêtre. Le ciel était immense et sombre devant moi, qui s'étendait

à perte de vue dans la nuit. Quelques longs nuages noirs, lentement, glis-

saient dans le halo de la lune. Rien ne bougeait alentour, et je voyais

la route qui sinuait au loindans l'obscurité jusqu'à la sortie du village. L'air était

comme parfumé d'un fonds d'odeur de pluie, chargé d'embruns et de senteurs

d'herbes mouillées, et je respiraisdemeurais là deboutà la fenêtre à à la fenêtre à respirer lentement l'infini de la nuit,à la fenêtre l'air frais de la nuit cette odeur  à la fenêtre. ,lentement,??? laissant pénéter l'air frais de la nuit dans mes bronches.  

Le port n'était pas visible de ma fenêtre, mais j'entendais le murmure

de la mer, tout près, quis'accordait intimement au silence qui régnait 

dans le village et  m'apportaitcomme  un soulagement des sens et de l'esprit

qui et  m'amena peu à peu à ne plus penser àrien aux Biaggi.J'étais très calme, et je respirais ne bougeais pas  

à la fenêtre.  Mon fils dormait derrière moi dans lapénombre chambre , et la faible

lumière de la lune qui entrait dans la pièce éclairait son visage endormi.

Il dormait la bouche ouverte dans son lit de voyage, immobile, le souffle

régulier, et je le regardais dormir sans bouger. Je rabattis le volet

finalement, et j'allai m'étendre tout habillé sur le lit, où je demeurai

un long momentsans bouger les yeux ouverts dans le noir.

de ce qui m'angoissait depuis quelques heures. 

II. 11

 J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants

de la fenêtre. Le ciel était immense et sombre devant moi, qui s'étendait

à perte de vue dans la nuit. Quelques longs nuages noirs, lentement, glis-

saient dans le halo de la lune. Rien ne bougeait alentour, et je voyais

la route qui sinuait au loin jusqu'à la sortie du village. L'air était

comme parfumé d'un fonds d'odeur de pluie, chargé d'embruns et de senteurs

d'herbes mouillées, et je respiraisl'air frais de la nuit   à la fenêtre. , 

Le port n'était pas visible de ma fenêtre, mais j'entendais le murmure

de la mer, tout près, quis'accordait intimement au silence qui régnait 

dans le village et  m'apportait  un soulagement des sens et de l'esprit

qui   m'amena peu à peu à ne plus penser àrien .J'étais calme, et je respirais  

à la fenêtre.  Mon fils dormait derrière moi dans lapénombre  , et la faible

lumière de la lune qui entrait dans la pièce éclairait son visage endormi.

Il dormait la bouche ouverte dans son lit de voyage, immobile, le souffle

régulier, et je le regardais dormir sans bouger. Je rabattis le volet

finalement, et j'allai m'étendre tout habillé sur le lit, où je demeurai

un long momentsans bouger les yeux ouverts dans le noir.

 

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