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  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00012
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II. 12

                                                                                                qui se mêlaient à la nuit 

 J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants

de la fenêtre. Le ciel était immense et sombre devant moi, presque uniformément noir. Quelques longs

nuagesnoirs sombres effilés, lentement, glissaient dans la halo de la lune. Rien ne

bougeait alentour, et je voyais la route qui sinuait au loindans la nuit 

jusqu'à la sortie du village. L'air était comme parfuméd'un fonds d'odeur de pluie de pluie, chargé

d'embruns et de senteursde plantes d'herbes mouillées, et je respiraisà la fenêtre  l'odeur fraîche de

la nuità la fenêtre, qui m'apportait un soulagement des sens et de l'esprit.

II. 12

                                                                                                 

 J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants

de la fenêtre. Le ciel était immense et sombre devant moi. Quelques longs

nuagesnoirs , lentement, glissaient dans la halo de la lune. Rien ne

bougeait alentour, et je voyais la route qui sinuait au loindans la nuit 

jusqu'à la sortie du village. L'air était comme parfumé de pluie, chargé

d'embruns et de senteursde plantes , et je respirais  l'odeur fraîche de

la nuità la fenêtre, qui m'apportait un soulagement des sens et de l'esprit.

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II. 12

                                                                                                qui se mêlaient à la nuit 

 J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants

de la fenêtre. Le ciel était immense et sombre devant moi, presque uniformément noir. Quelques longs

nuagesnoirs sombres effilés, lentement, glissaient dans la halo de la lune. Rien ne

bougeait alentour, et je voyais la route qui sinuait au loindans la nuit 

jusqu'à la sortie du village. L'air était comme parfuméd'un fonds d'odeur de pluie de pluie, chargé

d'embruns et de senteursde plantes d'herbes mouillées, et je respiraisà la fenêtre  l'odeur fraîche de

la nuità la fenêtre, qui m'apportait un soulagement des sens et de l'esprit.

II. 12

                                                                                                 

 J'avais regagné ma chambre et j'avais ouvert en grand les deux battants

de la fenêtre. Le ciel était immense et sombre devant moi. Quelques longs

nuagesnoirs , lentement, glissaient dans la halo de la lune. Rien ne

bougeait alentour, et je voyais la route qui sinuait au loindans la nuit 

jusqu'à la sortie du village. L'air était comme parfumé de pluie, chargé

d'embruns et de senteursde plantes , et je respirais  l'odeur fraîche de

la nuità la fenêtre, qui m'apportait un soulagement des sens et de l'esprit.

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