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  1. Exploration des brouillons
  2. #02
  3. LRT_02_01_00151
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  • Tapuscrit

II. 151

 Ce matin-là,un jeudi je crois,  j'étais assis à ma table de travail

et je regardais par la fenêtre. J'enjolive à peine. Le jour ne se levait

ni ne tombait, à mon grand désappointement. J'aimetant assez  que le jour se

lève en effet, ou tombe à la rigueur, pourvu qu'il y ait de l'action.

A la fenêtre du troisième étage de l'immeuble qui me faisait face, je

pouvais voir une dameen robe de chambre <d1> , qui faisait de la peinture sur

chevalet [d1]en robe de chambre dans son appartement . Oh, ce n'était pas le carnaval de Rio,

du point de vue de l'action, mais c'était déjà quelque chose etje m'en 

contentais ,me trouvant aux premières loges en quelque sorte, à moins je me trouvais aux premières loges en quelque sorte, à moins 

d'une dizaine de mètres d'elle, assis à mon bureau en face de ma machine 

à écrire. Négligeant son propre travail qui n'avançait pas, je suivais ???  mes???  

suivantl'évolutiondu sien du sien. ??? .   avec curiosité et intérêten fumant une cigarette .

C'était une dame rousse d'une soixantaine d'années vêtue d'une ample

robe de chambre orientale, les cheveux relevés en chignon

II. 151

 Ce matin-là,un jeudi je crois,  j'étais assis à ma table de travail

et je regardais par la fenêtre. J'enjolive à peine. Le jour ne se levait

ni ne tombait, à mon grand désappointement. J'aimetant   que le jour se

lève en effet, ou tombe à la rigueur, pourvu qu'il y ait de l'action.

A la fenêtre du troisième étage de l'immeuble qui me faisait face, je

pouvais voir une dameen robe de chambre   qui faisait de la peinture sur

chevalet en robe de chambre dans son appartement . Oh, ce n'était pas le carnaval de Rio,

du point de vue de l'action, mais c'était déjà quelque chose etje m'en 

contentais ,me trouvant aux premières loges en quelque sorte, à moins  

d'une dizaine de mètres d'elle, assis à mon bureau en face de ma machine 

à écrire. Négligeant son propre travail qui n'avançait pas, je suivais  

l'évolutiondu sien   avec curiosité et intérêten fumant une cigarette .

C'était une dame rousse d'une soixantaine d'années vêtue d'une ample

robe de chambre orientale, les cheveux relevés en chignon

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II. 151

 Ce matin-là,un jeudi je crois,  j'étais assis à ma table de travail

et je regardais par la fenêtre. J'enjolive à peine. Le jour ne se levait

ni ne tombait, à mon grand désappointement. J'aimetant assez  que le jour se

lève en effet, ou tombe à la rigueur, pourvu qu'il y ait de l'action.

A la fenêtre du troisième étage de l'immeuble qui me faisait face, je

pouvais voir une dameen robe de chambre <d1> , qui faisait de la peinture sur

chevalet [d1]en robe de chambre dans son appartement . Oh, ce n'était pas le carnaval de Rio,

du point de vue de l'action, mais c'était déjà quelque chose etje m'en 

contentais ,me trouvant aux premières loges en quelque sorte, à moins je me trouvais aux premières loges en quelque sorte, à moins 

d'une dizaine de mètres d'elle, assis à mon bureau en face de ma machine 

à écrire. Négligeant son propre travail qui n'avançait pas, je suivais ???  mes???  

suivantl'évolutiondu sien du sien. ??? .   avec curiosité et intérêten fumant une cigarette .

C'était une dame rousse d'une soixantaine d'années vêtue d'une ample

robe de chambre orientale, les cheveux relevés en chignon

II. 151

 Ce matin-là,un jeudi je crois,  j'étais assis à ma table de travail

et je regardais par la fenêtre. J'enjolive à peine. Le jour ne se levait

ni ne tombait, à mon grand désappointement. J'aimetant   que le jour se

lève en effet, ou tombe à la rigueur, pourvu qu'il y ait de l'action.

A la fenêtre du troisième étage de l'immeuble qui me faisait face, je

pouvais voir une dameen robe de chambre   qui faisait de la peinture sur

chevalet en robe de chambre dans son appartement . Oh, ce n'était pas le carnaval de Rio,

du point de vue de l'action, mais c'était déjà quelque chose etje m'en 

contentais ,me trouvant aux premières loges en quelque sorte, à moins  

d'une dizaine de mètres d'elle, assis à mon bureau en face de ma machine 

à écrire. Négligeant son propre travail qui n'avançait pas, je suivais  

l'évolutiondu sien   avec curiosité et intérêten fumant une cigarette .

C'était une dame rousse d'une soixantaine d'années vêtue d'une ample

robe de chambre orientale, les cheveux relevés en chignon

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