II. 174
Et quelles étaient les dimensions des choses dont il rêvait,les visages et les mains pouvaient-ils des proportions étaient-elles beaucoup plus grandes que lui,
Lorsque j'introduisis la clef dans la serrure de la porte de ma chambre,
ne quittant pas des yeux le petit escalier qui paratit du fond du couloir
et montait à l'étage supérieur, j'entendis une porte qui se fermait,et
j'étais en train de me dire que cela venait du rez-de-chaussée quand la
lumière s'éteignit au premier étage, plongeant le couloir dans le noir. Une
minuterie se mit en marche aussitôt, dont les pulsations résonnaient dans
l'obscurité, et il n'y avait pas d'autre bruit dans le couloir, seulement
ce bercement régulier de mécanisme d'horlogerie. Je finis d'ouvrir la porte;
et la première chose que je visen étant dans la pénombre, c'est le lit de mon filsqui reposait
au fond de la pièce contre le mur contre le murde la chambre. la petite couverture et le drap étaienttout sens
dessus-dessous, et mon fils était presque collé à la paroien tissu du lit, les
petits bras en bouclier autour de la poitrine, un peu de sueur perlant sur
son front à la naissance de ses cheveux. Il avait dû faire un petit cau-
chemar sans doute, et il dormait[d1] maintenant la bouche ouverte<d1>, avec ses
grosses jours rondes et ses petits bras potelés. Mais quel genre de cauche-
mars pouvait bien faire un aussi petit roupignoulet, me demandais-je,quelle
pouvait être la nature de ses craintes en le regardant dormir(c'éta
avec attendrissementaccroupi au pied du lit,(c'était vraiment un des types qui dormaitmait le plus
que je connaissaise,) | quelle pouvait être la nature de ses| craintes et de terreurs ?
ses épouvantes . ?Dans Etquelles dimensionsrévait-il, me demandais-je, avaient les terreurs de ses rêves, étaient-elles
??? quelles proportions avaient ??? ent les visages et les maosins dans ses rêves?
pouvaient bien avoir les visageset dans ses rêves, et les objets, les
voyait-il démesurément plus grands que lui ?|J'eus envie de le prendre
dans mes bras, maisje me contentai de lui caresserla joue les cheveux, etje le regardai ??? dormir avec attendrissement, c'était vraiment un des types qui dormait le plus que je connaissais, j'enlevai mon manteau et ôtai mes chaussures je préférai le laisser dormir en paix, et, après avoir
posé la main sur la tête,[d2]jJ'allai fermer le volet. J'(ôtai mes chaussure
et enlevai mon manteau,<d2> et, allumant la petite lampe de chevetà côté ??? sur la table de nuit
de mon lut chambre, je m'allongeaiainsi sur le lit,en chaussettes, la chemise entrouverte,
etlus ouvris Le Monde, ma foi.(Il ne se passait pas grand-chosedans le monde, en réalité, toujours les mêmes bouleversements à l'est.)
,que je lus en chaussettes, les pieds croisés sur la couverture,dont que je parcourusles pages avant d'éteindre la lumière.
Les choses, dans ses rêves, pouvaient bien être les dimensions Quellesproportions dimensions??? les visages et dles mains dans ses rêves, quelles proportions pouvaient prendre ses épouvantes ? Quelles dimensions pouvaient bien avoir les visages et
Les dimensions des visages et des mains étaient-elles à son échelle, ou les voyait-il démesurément plus grands que lui
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Lorsque j'introduisis la clef dans la serrure de la porte de ma chambre,
ne quittant pas des yeux le petit escalier qui paratit du fond du couloir
et montait à l'étage supérieur, j'entendis une porte qui se fermait,et
j'étais en train de me dire que cela venait du rez-de-chaussée quand la
lumière s'éteignit au premier étage, plongeant le couloir dans le noir. Une
minuterie se mit en marche aussitôt, dont les pulsations résonnaient dans
l'obscurité, et il n'y avait pas d'autre bruit dans le couloir, seulement
ce bercement régulier de mécanisme d'horlogerie. Je finis d'ouvrir la porte;
et la première chose que je vis dans la pénombre, c'est le lit de mon fils
contre le murde la chambre. la petite couverture et le drap étaient sens
dessus-dessous, et mon fils était presque collé à la paroien tissu , les
petits bras en bouclier autour de la poitrine, un peu de sueur perlant sur
son front à la naissance de ses cheveux. Il avait dû faire un petit cau-
chemar sans doute, et il dormait maintenant la bouche ouverte, avec ses
grosses jours rondes et ses petits bras potelés. Mais quel genre de cauche-
mars pouvait bien faire un aussi petit roupignoulet, me demandais-je,quelle
pouvait être la nature de ses craintes en le regardant dormir(c'éta
avec attendrissementaccroupi au pied du lit,(c'était vraiment un des types qui dormaitmait le plus
que je connaissaise,) quelle pouvait être la nature de ses craintes et de
ses épouvantes . ?Dans quelles dimensionsrévait-il, me demandais-je,
quelles proportions avaient les visages et les maosins dans ses rêves
pouvaient bien avoir les visageset dans ses rêves, et les objets, les
voyait-il démesurément plus grands que lui ?J'eus envie de le prendre
dans mes bras, mais je préférai le laisser dormir en paix, et, après avoir
posé la main sur la tête,jJ'allai fermer le volet. J'(ôtai mes chaussure
et enlevai mon manteau, et, allumant la petite lampe de chevetà côté
de mon lut , je m'allongeaiainsi ,en chaussettes, la chemise entrouverte,
etlus Le Monde, ma foi.(Il ne se passait pas grand-chosedans le monde, en réalité, toujours les mêmes bouleversements à l'est.)
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Et quelles étaient les dimensions des choses dont il rêvait,les visages et les mains pouvaient-ils des proportions étaient-elles beaucoup plus grandes que lui,
Lorsque j'introduisis la clef dans la serrure de la porte de ma chambre,
ne quittant pas des yeux le petit escalier qui paratit du fond du couloir
et montait à l'étage supérieur, j'entendis une porte qui se fermait,et
j'étais en train de me dire que cela venait du rez-de-chaussée quand la
lumière s'éteignit au premier étage, plongeant le couloir dans le noir. Une
minuterie se mit en marche aussitôt, dont les pulsations résonnaient dans
l'obscurité, et il n'y avait pas d'autre bruit dans le couloir, seulement
ce bercement régulier de mécanisme d'horlogerie. Je finis d'ouvrir la porte;
et la première chose que je visen étant dans la pénombre, c'est le lit de mon filsqui reposait
au fond de la pièce contre le mur contre le murde la chambre. la petite couverture et le drap étaienttout sens
dessus-dessous, et mon fils était presque collé à la paroien tissu du lit, les
petits bras en bouclier autour de la poitrine, un peu de sueur perlant sur
son front à la naissance de ses cheveux. Il avait dû faire un petit cau-
chemar sans doute, et il dormait[d1] maintenant la bouche ouverte<d1>, avec ses
grosses jours rondes et ses petits bras potelés. Mais quel genre de cauche-
mars pouvait bien faire un aussi petit roupignoulet, me demandais-je,quelle
pouvait être la nature de ses craintes en le regardant dormir(c'éta
avec attendrissementaccroupi au pied du lit,(c'était vraiment un des types qui dormaitmait le plus
que je connaissaise,) | quelle pouvait être la nature de ses| craintes et de terreurs ?
ses épouvantes . ?Dans Etquelles dimensionsrévait-il, me demandais-je, avaient les terreurs de ses rêves, étaient-elles
??? quelles proportions avaient ??? ent les visages et les maosins dans ses rêves?
pouvaient bien avoir les visageset dans ses rêves, et les objets, les
voyait-il démesurément plus grands que lui ?|J'eus envie de le prendre
dans mes bras, maisje me contentai de lui caresserla joue les cheveux, etje le regardai ??? dormir avec attendrissement, c'était vraiment un des types qui dormait le plus que je connaissais, j'enlevai mon manteau et ôtai mes chaussures je préférai le laisser dormir en paix, et, après avoir
posé la main sur la tête,[d2]jJ'allai fermer le volet. J'(ôtai mes chaussure
et enlevai mon manteau,<d2> et, allumant la petite lampe de chevetà côté ??? sur la table de nuit
de mon lut chambre, je m'allongeaiainsi sur le lit,en chaussettes, la chemise entrouverte,
etlus ouvris Le Monde, ma foi.(Il ne se passait pas grand-chosedans le monde, en réalité, toujours les mêmes bouleversements à l'est.)
,que je lus en chaussettes, les pieds croisés sur la couverture,dont que je parcourusles pages avant d'éteindre la lumière.
Les choses, dans ses rêves, pouvaient bien être les dimensions Quellesproportions dimensions??? les visages et dles mains dans ses rêves, quelles proportions pouvaient prendre ses épouvantes ? Quelles dimensions pouvaient bien avoir les visages et
Les dimensions des visages et des mains étaient-elles à son échelle, ou les voyait-il démesurément plus grands que lui
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Lorsque j'introduisis la clef dans la serrure de la porte de ma chambre,
ne quittant pas des yeux le petit escalier qui paratit du fond du couloir
et montait à l'étage supérieur, j'entendis une porte qui se fermait,et
j'étais en train de me dire que cela venait du rez-de-chaussée quand la
lumière s'éteignit au premier étage, plongeant le couloir dans le noir. Une
minuterie se mit en marche aussitôt, dont les pulsations résonnaient dans
l'obscurité, et il n'y avait pas d'autre bruit dans le couloir, seulement
ce bercement régulier de mécanisme d'horlogerie. Je finis d'ouvrir la porte;
et la première chose que je vis dans la pénombre, c'est le lit de mon fils
contre le murde la chambre. la petite couverture et le drap étaient sens
dessus-dessous, et mon fils était presque collé à la paroien tissu , les
petits bras en bouclier autour de la poitrine, un peu de sueur perlant sur
son front à la naissance de ses cheveux. Il avait dû faire un petit cau-
chemar sans doute, et il dormait maintenant la bouche ouverte, avec ses
grosses jours rondes et ses petits bras potelés. Mais quel genre de cauche-
mars pouvait bien faire un aussi petit roupignoulet, me demandais-je,quelle
pouvait être la nature de ses craintes en le regardant dormir(c'éta
avec attendrissementaccroupi au pied du lit,(c'était vraiment un des types qui dormaitmait le plus
que je connaissaise,) quelle pouvait être la nature de ses craintes et de
ses épouvantes . ?Dans quelles dimensionsrévait-il, me demandais-je,
quelles proportions avaient les visages et les maosins dans ses rêves
pouvaient bien avoir les visageset dans ses rêves, et les objets, les
voyait-il démesurément plus grands que lui ?J'eus envie de le prendre
dans mes bras, mais je préférai le laisser dormir en paix, et, après avoir
posé la main sur la tête,jJ'allai fermer le volet. J'(ôtai mes chaussure
et enlevai mon manteau, et, allumant la petite lampe de chevetà côté
de mon lut , je m'allongeaiainsi ,en chaussettes, la chemise entrouverte,
etlus Le Monde, ma foi.(Il ne se passait pas grand-chosedans le monde, en réalité, toujours les mêmes bouleversements à l'est.)