II. 243
du moins détruire celle dans laquelle était annoncée mon arrivée à Sasuelo.
Car je ne voulais plus, maintenant, que l'on sache que me trouvais à
Sasuelo.
J'étais seul dans la salle à manger déserte de l'hôtel, et je finissais
tranquillement la deuxième demi-bouteille de vin blanc que j'avais com-
mandée pendant le repas. Mon fils dormait maintenant, qui faisait des
nuits complètes depuis que nous étions arrivés à Sasuelo. J'étais assisdans le
au fond de la pièce, les jambes croisées, et je voyais le patron s'activer
derrière la porte entrouverte de l'office. Ma table jouxtait une grande
baie vitrée derrière laquelleon apercevait une terrasse désertes'étendait dans la nuit. , où s'étendait quelques ombres très sombres de tamaris.
Je remis les lettres dans ma poche et finis par quitter la salle à manger,
emportant avec moi mon verre et ma demi-bouteille de vin blanc. Toutes les
lumières étaient déjà éteintes au rez-de-chausséede l'hôtel, à part une
veilleuse jaunâtre qui brillait dans un angle du plafond, et la porte de
la chambre des patrons était entrouverte dans le couloir. Je jetai un coup
d'oeil à l'intérieur en passant, découvrant pour la première fois l'intimité
de leurs appartements, une chambre toute simple en réalité, qui donnait
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du moins détruire celle dans laquelle était annoncée mon arrivée à Sasuelo.
Car je ne voulais plus, maintenant, que l'on sache que me trouvais à
Sasuelo.
J'étais seul dans la salle à manger déserte de l'hôtel, et je finissais
tranquillement la deuxième demi-bouteille de vin blanc que j'avais com-
mandée pendant le repas. Mon fils dormait maintenant, qui faisait des
nuits complètes depuis que nous étions arrivés à Sasuelo. J'étais assis
au fond de la pièce, les jambes croisées, et je voyais le patron s'activer
derrière la porte entrouverte de l'office. Ma table jouxtait une grande
baie vitrée derrière laquelle une terrasse désertes'étendait dans la nuit.
Je remis les lettres dans ma poche et finis par quitter la salle à manger,
emportant avec moi mon verre et ma demi-bouteille de vin blanc. Toutes les
lumières étaient déjà éteintes au rez-de-chausséede l'hôtel, à part une
veilleuse jaunâtre qui brillait dans un angle du plafond, et la porte de
la chambre des patrons était entrouverte dans le couloir. Je jetai un coup
d'oeil à l'intérieur en passant, découvrant pour la première fois l'intimité
de leurs appartements, une chambre toute simple en réalité, qui donnait
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du moins détruire celle dans laquelle était annoncée mon arrivée à Sasuelo.
Car je ne voulais plus, maintenant, que l'on sache que me trouvais à
Sasuelo.
J'étais seul dans la salle à manger déserte de l'hôtel, et je finissais
tranquillement la deuxième demi-bouteille de vin blanc que j'avais com-
mandée pendant le repas. Mon fils dormait maintenant, qui faisait des
nuits complètes depuis que nous étions arrivés à Sasuelo. J'étais assisdans le
au fond de la pièce, les jambes croisées, et je voyais le patron s'activer
derrière la porte entrouverte de l'office. Ma table jouxtait une grande
baie vitrée derrière laquelleon apercevait une terrasse désertes'étendait dans la nuit. , où s'étendait quelques ombres très sombres de tamaris.
Je remis les lettres dans ma poche et finis par quitter la salle à manger,
emportant avec moi mon verre et ma demi-bouteille de vin blanc. Toutes les
lumières étaient déjà éteintes au rez-de-chausséede l'hôtel, à part une
veilleuse jaunâtre qui brillait dans un angle du plafond, et la porte de
la chambre des patrons était entrouverte dans le couloir. Je jetai un coup
d'oeil à l'intérieur en passant, découvrant pour la première fois l'intimité
de leurs appartements, une chambre toute simple en réalité, qui donnait
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du moins détruire celle dans laquelle était annoncée mon arrivée à Sasuelo.
Car je ne voulais plus, maintenant, que l'on sache que me trouvais à
Sasuelo.
J'étais seul dans la salle à manger déserte de l'hôtel, et je finissais
tranquillement la deuxième demi-bouteille de vin blanc que j'avais com-
mandée pendant le repas. Mon fils dormait maintenant, qui faisait des
nuits complètes depuis que nous étions arrivés à Sasuelo. J'étais assis
au fond de la pièce, les jambes croisées, et je voyais le patron s'activer
derrière la porte entrouverte de l'office. Ma table jouxtait une grande
baie vitrée derrière laquelle une terrasse désertes'étendait dans la nuit.
Je remis les lettres dans ma poche et finis par quitter la salle à manger,
emportant avec moi mon verre et ma demi-bouteille de vin blanc. Toutes les
lumières étaient déjà éteintes au rez-de-chausséede l'hôtel, à part une
veilleuse jaunâtre qui brillait dans un angle du plafond, et la porte de
la chambre des patrons était entrouverte dans le couloir. Je jetai un coup
d'oeil à l'intérieur en passant, découvrant pour la première fois l'intimité
de leurs appartements, une chambre toute simple en réalité, qui donnait